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L’ambassadeur de l’Inde Abhay Kumar a organisé jeudi dernier une rencontre avec le Professeur François Rajaoson, président de l’Académie malagasy. Durant cette rencontre, le diplomate indien s'est adressé à une session spéciale réalisée avec la partie malagasy. Lors de sa prise de parole, il a mis l’accent sur la manière de renforcer les liens culturels et académiques entre l’Inde et Madagascar.

La Région d'Analanjirofo en émoi. « J'habite dans cette Région depuis des années mais jamais je n'ai entendu pareil drame », lance un agent de l'administration face à l'accident maritime qui s'est produit, hier matin, à Soanierana Ivongo. Un boutre rempli de passagers, 230 selon une source locale, s'est renversé en pleine mer faisant ainsi de nombreuses victimes. Hier en début d'après-midi, au moins une vingtaine de personnes auraient trouvé la mort selon un bilan officieux provisoire.

Depuis le 27 novembre dernier, l'Ambassade de Madagascar à l'île Maurice a décidé d'établir une liste des malagasy souhaitant revenir au pays, en vue bien évidemment de l'organisation d'un vol de rapatriement. Ce dernier se fera ainsi samedi, le jour de Noël. Les liaisons aériennes entre les deux pays ont en effet été suspendues à cause de la recrudescence de l'épidémie de Covid-19 à l'île Maurice. Avec ce vol, les Malagasy résidant ou travaillant à Maurice vont pouvoir revenir au pays.

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La une du 20 décembre 2021

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Des contradictions aberrantes

Allons-nous réellement combattre ou non la corruption et asseoir vraiment la Justice équitable ? Des questions fondamentales auxquelles les dirigeants politiques se doivent de clarifier par des réponses nettes et transparentes.
Le Président de la République Rajoelina Andry Nirina s’engage publiquement, depuis la campagne électorale, de lutter contre la corruption et pour une Justice équitable (Velirano point III). On ne doit pas le trahir.
La volonté réelle de lutter contre la corruption et la mise en place effective de la Justice équitable signifie, par ricochet, saper à la base les fondements de l’impunité ! Toutefois, les observateurs politiques, la Société civile, la vraie, et les concitoyens responsables enfin bref l’opinion publique, constatent certaines contradictions et s’inquiètent de l’absence quelque part de la volonté politique tangible pour ce faire.
La Haute Cour de Justice (HCJ) existe bel et bien depuis 2019. Mais elle a toutes les difficultés pour pouvoir fonctionner effectivement. Apparemment, la HCJ se trouve dans une situation d’attente incompréhensible. Les tergiversations de l’Assemblée nationale le paralysent et le pénalisent. Des dossiers compromettant d’au moins douze anciens hauts dirigeants ont été transmis à Tsimbazaza, plus précisément à la Commission d’accusation en 2020. Jusqu’à ce jour, les juges de la Haute Cour n’en ont eu vent des suites à donner. Deux ans après, les députés membres de la Commission spéciale d’accusation, présidée par le député Honoré Tsabotokay, ne parviennent pas à rendre leur « verdict ».
Madame la présidente de l’AN, lors de son récent discours, est monté au créneau pour dénoncer diplomatiquement l’attitude de la Commission d’accusation. Elle propose qu’on révise le texte fondamental y afférent. En effet, les articles 131, 133 et 134 exigent le vote à la majorité absolue des députés comme préalable aux accusations des hauts dirigeants dont le Président de la République jusqu’aux députés et sénateurs. En terme clair, le bon fonctionnement de la HCJ est soumis à la bonne volonté des députés autrement dit dépend du caprice de la politique. Le perchoir de Tsimbazaza n’est pas le premier à soulever la question et le réclamer. Un certain Jacques Randrianasolo, ancien procureur général de la Cour d’Appel (PGCA) et premier Garde des Sceaux de l’ère Rajoelina, l’a déjà pointé du doigt comme étant une contradiction aberrante dans la lutte contre la corruption et pour l’instauration d’une Justice équitable et donc par ricochet contre l’impunité. En outre, la lourdeur de la procédure handicape beaucoup à la volonté d’assainir le pays.
Sous d’autres cieux, dans les pays où la démocratie s’érige en système irrévocable et où le sacro-saint principe « personne n’est au-dessus de la loi » s’applique en lettre d’or, la chasse aux délinquants, quel que soit leur rang, ne plaisante point.
A quoi joue-t-on exactement ? De la tromperie ou d’actes constructifs ! Si les députés se déclarent incompétents, qu’ils le disent ! Le pays ne peut plus se permettre de rater l’opportunité que le régime Orange lui offre pour assainir le pays. Le Chef de l’Etat tient sa parole. A nous tous de jouer la vraie note. Il ne faut pas le contredire ni le trahir.
Ndrianaivo


Sur le trône. L’édition 2021 des championnats de Madagascar, qui s’est achevée hier au Golf club Andakana, a sacré des nouvelles têtes. Contrairement aux années précédentes où des champions se sont succédé à eux-mêmes, cette fois-ci, aucun des tenants du titre n’est parvenu à conserver son bien. A l’issue des six jours de compétition intense, les champions de Madagascar 2021 ont pour
nom : Johary Raveloarison, Tamby Rakotonjanahary et Noyon Monique, au lieu et à la place de Jean Bà, Akesson Bertil Karl et Manitra Ratsimbazafy.
Du côté des pros, le dénouement est connu depuis jeudi avec le sacre pour la première fois de Johary Raveloarison qui a descendu sur son piédestal Jean Baptiste Ramarozatovo, multiple vainqueur du championnat national. C’est un Johary, visiblement ému et entouré de sa femme et de ses deux enfants,  qui est monté sur scène hier pour recevoir la coupe, symbolisant sa victoire finale, ainsi que les différentes primes offertes par les sponsors dont entre autres une moto et un chèque de 3 millions Ar. A l’issue des trois tours, le nouveau champion de Madagascar est monté sur le trône national après une lutte plus qu’acharnée livrée avec Faber Maverick, vice-champion, et Jean Baptiste Ramarozatovo. Le public a été tenu en haleine par les combats entre ces trois titans du golf malagasy.
Le suspens a été également de mise hier à la dernière journée des championnats des amateurs. C’est également le cas chez les hommes où il a fallu attendre  l’issue des deux derniers  trous pour que le camp de Tamby Rakotonjanahary puisse pousser un ouf de soulagement et crier victoire. Champion de Madagascar junior l’année dernière, Tamby a rendu une carte de moins un à la dernière journée d’hier. Excusez du peu. Il rafle le titre dès sa première année dans la catégorie supérieure, une sacrée performance pour ce jeune qui, dès hier, a laissé la voie libre à son successeur l’année prochaine. « Je ne participerai pas au prochain championnat national, c’est un plaisir de quitter le golf malagasy sur une victoire majeure », a-t-il annoncé à l’assistance. Le tout nouveau champion de Madagascar va poursuivre en effet ses études au Canada, a précisé son père. Avis est ainsi lancé aux prétendants.
Chez les dames, Noyon Monique est récompensée de ses bons débuts à ce sommet national. Leader au premier et second tour du championnat 2021, elle a conservé son avance jusqu’à la fin et ce malgré une  dernière journée chaotique où elle a fait un 91, son plus mauvais score sur les trois tours. Noyon Monique a bien tenu le coup en comptant une avance de trois points au cumul devant Manitra Ratsimbazafy (260) et six de mieux que Malard Sahera
( 263).
Clap de fin de la saison golfique malagasy. Rendez-vous l’année prochaine avec l’espoir de voir plus de grands tournois de la fédération nationale à part le traditionnel championnat de Madagascar.
Rata

Les autres vainqueurs
2e série hommes :
Shaw Johan
3e série hommes :
Guillet Alexandre
Super senior mixte :
Duport Jean François
Senior hommes:
Coleman Brent
Junior 1 :
Ramarolahy Jonathan
Junior 2 :
Rakotofiringa Matteo
2e série dames :
Hiridjee Mezbine
3e série dames :
Kim Eunja
Senior dames :
Beriot Blandine

 


Coopération. La 13ème édition de l'événement littéraire baptisé « LaLitTanà » s’est tenue en  ligne et a été retransmise en direct lundi dernier sur la page Facebook de l’ambassade de l’Inde à Antananarivo. Il s’agit d’un échange culturel afin de renforcer les liens entre les deux pays à travers la littérature, notamment sous forme de poésie, poème et des écrits. Cet évènement a été organisé par l’ambassade de l’Inde et l’Académie Malagasy  D’éminents poètes indiens et malagasy y ont participé. Un poète originaire de Bombay, en Inde a ouvert les festivités avec ses recueils de poésie incluant « Vanishing Acts ». S’ensuivaient d’autres artistes venant de ce pays tels que E.V. Ramakrishnan, Vinita Agrawal qui est l’auteur de quatre livres de poésie en anglais contenant entre autres « Words not Spoken » ou encore « The Silk of Hunger ». Du côté Malagasy, Dr Nalisoa Ravalitera, le fameux écrivain local et  bien connu du public, à la fois poète, co-fondateur du Cercle des poètes et écrivains ou « Faribolana Sandratra, vice-président de l’Académie Malagasy et maître de conférences à l’université d'Antananarivo, a fait rêver l’assistance avec ses deux poèmes qui parlent de l’amour. Par ailleurs, la catégorie « jeunes talents » a été représentée par Riambola Mitia, un impressionnant jeune poète et écrivain, lui qui était venu sur place pour lire ses deux poèmes écrits en anglais.
Fierté malagasy
En outre, Hobiana, un poète malagasy très connu, a également présenté ses deux poèmes écrits dans la langue de Shakespeare. La première œuvre est classée comme surréaliste. Celle-ci, intitulée « The Painted Girl », raconte les excitations reflétées par une image d’une fille peinte sur le mur. Quant au second poème « Night Reminiscences », ceci relate le délice d’un crépuscule nocturne, la sensation de bien-être créée le bruit de la pluie. Tsiky Rabenimanga, une poétesse et écrivaine basée à Madagascar, a également fasciné les participants avec ses deux poèmes axés sur la résilience. Elle est professeure de langues et enseigne la littérature aux étudiants universitaires d’Antananarivo. Son travail a été publié dans la revue « Tsarasoratra » - commissaire de l’équipe Ranjasoa Publishing, basée à Madagascar et aux Etats-Unis - et dans Indigo Magazine, un magazine qui promeut les œuvres réalisées dans la Région de l'océan Indien. Il faut savoir que Tsiky Rabenimanga a participé au projet de traduction de 100 « Great Indian Poems », initié et édité par le poète et diplomate Abhay K.
A titre de rappel, « LaLit Tana » est un événement culturel initié par l’ambassade de l'Inde à Madagascar. Son objet consiste à inviter poètes et écrivains, aussi bien malagasy qu’étrangers à se manifester. La première rencontre s’est tenue au mois de mai 2019.
Sitraka Rakotobe


Le fameux « médiateur économique » tire sa révérence. Le monde de l’économie est en deuil. Michel Domenichini Ramiaramanana, fondateur de l’agence Première Ligne, est décédé vendredi dernier, dans la soirée. Les opérateurs, mais aussi le grand public, l’ont surtout connu dans le monde de l’organisation d’événements comme la FIM, la Foire internationale de Madagascar ou encore le SIH, le Salon international de l’habitat. Des rendez-vous devenus incontournables autant pour les entreprises que pour les visiteurs. Comme les différents acteurs dans le monde de l’événementiel, Michel D. Ramiaramanana et son équipe ont rencontré de grandes difficultés à cause de la pandémie de Covid-19. Toutefois, cela ne les a pas découragés à offrir le meilleur d’eux-mêmes. Pour cette année, il a axé ses événements sur la reprise économique de Madagascar, avec une mise en valeur du label «Go Green» en faveur de l’environnement. En tout, ce diplômé de l’école des Hautes études en Sciences sociales de Paris a donc organisé 15 éditions FIM et 23 éditions SIH, sans oublier la Foire internationale de l’agriculture, l’Asia Enjoy ainsi que le Salon international du transport, de la logistique et de la manutention avec des hauts et des bas.
A travers tous ces salons, il aimait offrir aux opérateurs économiques une plateforme de rencontres entre eux afin de nouer de nouvelles collaborations fructueuses mais surtout avec le grand public, des clients et des futurs clients. Il s’est également donné comme objectif de donner une visibilité à l’international au pays mais aussi à ses opportunités d’investissement. Un pari plus ou moins réussi avec la version en ligne de la FIM. Il faut croire que la 23ème édition du Salon international de l’habitat, qui s’est déroulé du 04 au 07 novembre dernier, au Forello Expo Tanjombato, a été sa dernière réalisation.
En plus de l’économie, Michel Domenichini Ramiaramanana était aussi très engagé dans le domaine culturel. A travers la Biennale des Arts par exemple, il permettait aux artistes malagasy de se faire connaître de tous. Ainsi, il a essayé à son niveau de contribuer au développement économique de Madagascar, un pays qui était cher à son cœur.   
Rova Randria



Les dirigeants du club Elgeco Plus Analamanga apportent un nouveau souffle à l’équipe. Quatre recrutements font le point sur la situation actuelle de l’effectif du groupe Pro. Pour ce mois de début de saison, Elgeco Plus a officiellement présenté ses nouvelles recrues, à l’instar du gardien de but, Nina et du défenseur, Lucien Kassimo et  Onja milieu.  En outre, Elgeco Plus vient de dévoiler un nouveau maillot
de la marque italienne « Macron ».
« Tout d’abord nous avons souhaité repartir uniquement avec les joueurs impliqués à 100% dans le projet. L’état d’esprit est fondamental, il faut des joueurs qui aient envie.  Notre objectif étant de gagner le titre, nous avons recruté des joueurs dont on a la conviction qu’ils peuvent évoluer dans la Pro League. Le recrutement de ces joueurs a respecté toute la formalité. Pour le moment, nous ne pouvons pas dire sur quelle période nous allons les garder. Mais ce qui est sûr, nous ne prolongerons qu’avec les joueurs qui s’impliquent et qui donnent quelque chose en retour », avançait Gérard Rajaonarison, président actuel du club.

Pour les U13, vainqueurs du tournoi « Orange Kitra Change », ils disputeront la compétition continentale en parallèle avec la CAN 2021 au Cameroun, et évolueront avec  trois types de maillots différents, le blanc, le vert et le rouge.
Pour les Elites, le club jouera, d’ores et déjà, avec un maillot third noir et gris comme sur l’image pour tous ses matchs à l’extérieur. Il évoluera sous sa couleur Orange pour les rencontres à domicile.
A trois journées du championnat, Elgeco Plus pointe à la tête du classement dans la Conférence sud après deux victoires et un match nul (1-1) contre Dato FC ce dimanche au By Pass.

Elias Fanomezantsoa


Sur son compte Twitter du 14 décembre dernier, la Fondation Mérieux a affirmé avoir détecté la présence du variant Delta sur le territoire malagasy à travers le Centre d’infectiologie Charles Mérieux (CICM) sis à Ankatso. « A Madagascar, le CICM entame le criblage des variants SARS-COV-2 par rt-PCR ciblé. Alors que dans le pays, le nombre de nouveaux cas de Covid-19 repart à la hausse, le variant Delta est détecté par ce criblage ». Déjà en plein rebondissement de l’épidémie, cette nouvelle information sous-entendant l’existence d’une nouvelle souche a vite circulé sur les réseaux sociaux et a même créé une polémique auprès des personnes à l’affût de l’actualité dans la Grande île. Quoi qu’il en soit, cette avancée demeurait contradictoire aux propos télévisés tenus par le ministre de la Santé publique, Professeur Zely Arivelo Randriamanantany ainsi que le directeur régional de la Santé à Analamanga, docteur Lalie Raharimamonjy au cours de la semaine dernière.
Par ailleurs, une source auprès du ministère de la Santé publique a souligné que ladite publication n’engage que le Centre d’infectiologie Charles Mérieux, tout en sachant qu’il ne dispose même pas d’un séquenceur, l’outil pour détecter les différents variants du coronavirus. « Normalement, dans le cadre d’une manipulation d’une nouvelle machine, il existe toujours une période de validation et de compagnonnage. Dans le cas où leur laboratoire a découvert un nouveau variant, cela doit toujours passer par deux validations. Par exemple, lorsque Madagascar par le biais du Laboratoire d'analyses médicales malagasy » (LA2M) a envoyé en Afrique des échantillons pour un test PCR, l’Institut Pasteur de Madagascar (IPM) a été toujours présent pour effectuer une contre-vérification », a insisté cette source.
Face à cette polémique, le CICM a rectifié sa publication en allant dans le sens des propos lancés par les autorités sanitaires malagasy. Dans un autre Tweet publié avant-hier, ladite Fondation a tenu à s’excuser en soulignant que ce poste visait uniquement à informer la capacité de leur méthode à identifier des variants et non à se prononcer sur la présence de potentiels variants. « A la suite des retours sur note publication initiale du 14 décembre, démontrant une formule maladroite de notre part, la Fondation Mérieux souhaite présenter ses excuses. Le criblage des variants actuellement en phase de test pour valider la méthode au CICM n’a pas encore démarré. A Madagascar, le CICM est maintenant équipé par le criblage des variants du SARS-COV-2. Alors que le nombre de nouvelles contaminations à la Covid-19 repart à la hausse, cet équipement sera capable de détecter la présence d’éventuels variants. Actuellement en test de validation, le criblage pourra commencer prochainement », a indiqué la Fondation. Et d’ajouter que ce projet vise à exploiter et renforcer les capacités des membres du réseau à pouvoir détecter les variants et mener des activités de surveillance sur les variants de la Covid-19, le tout en lien avec leurs stratégies nationales respectives.
Effectivement, avec la collaboration du ministère de la santé publique, une formation a été programmée au sein du CICM afin de démarrer l’utilisation du séquenceur récemment acquis par le LA2M. L’objet de cette étude consiste à élaborer une calque présentant une modèle pour chaque variant existant. Une fois qu’un virus ait été introduit dans la machine, le nom du variant va être automatiquement connu après quelques temps, contrairement à la situation quatre semaines auparavant.
K.R.

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Editorial

  • A chaud !
    « Madagascar persiste et signe » ! Tel est le gros titre « à la Une » d’un quotidien de la Capitale avant-hier. Dans la précédente édition du journal, dans la même colonne éditoriale d’hier, nous avions émis le souhait d’entendre sinon de lire quelque part la réaction du Gouvernement à propos de la déclaration nettement « négative » du Chef d’Etat français Emmanuel Macron sur l’éventuelle restitution des îles Eparses. Voilà, c’est fait ! Madagasikara persiste et signe. Félicitations à notre MAE, SEM Rasata Rafaravavitafika qui certainement parle au nom du Gouvernement malagasy.

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