Publié dans Culture

Hommage à Michael Jackson - Le groupe « The Jackson Boys » hypnotise le public

Publié le dimanche, 18 septembre 2022

« Legend Never Dies ». C’est avec ce slogan que le groupe « The Jackson Boys » a fait revivre le « King of Pop » Michael Jackson dans la salle du CCEsca Antanimena, hier en l’espace de quelques heures de scène. C’est dans une salle pleine comme un œuf que les jeunes artistes ont dansé les tubes du roi de la pop dans une mise en scène et des décors époustouflants, ainsi que des sons et lumières bien adaptés au show.  Ils ont même porté les mêmes accoutrements que Michael Jackson portait de son vivant lors du grand concert de la mi-temps du « Super-Bowl » à Los Angeles (Etats-Unis) ou durant le « Dangerous World Tour », ou comme dans les maquettes de ses albums.

 

Des cheveux bouclés, ses mimiques, son style, tous ces attributs de la star iconique ont été fidèlement imités par  « The Jackson Boys », à tel point que certains spectateurs croyaient être emportés en un instant dans un rêve comme quoi Michael Jackson est sorti de sa tombe, alors qu’il ne s’agissait que d’un groupe de jeunes danseurs malagasy qui sont également des adulateurs du roi de la pop. Mandresy et son équipe ont réussi à faire redonner vie aux plus grands tubes de la star en reprenant les pas de danse les plus célèbres de Michael Jackson et en réinterprétant quelques-uns de ses tubes. Les fans du célèbre chanteur se sont laissé prendre au jeu. Les  danseurs ont réussi à entrer dans la peau de Michael Jackson pour donner un spectacle digne du « King of the Pop ». Les gens ont hurlé son nom, chanté en chœur et n’ont pas manqué de saluer la performance des danseurs. Bref, le public est littéralement mis en transe et finira presque par oublier que « The Jackson Boys » ne sont que des admirateurs de Michael Jackson.

« Moonwalk »

Michael Jackson n’est pas mort. C’est quasiment cela que le public pouvait se dire en voyant Mandresy, le leader de « The Jackson Boys » sur scène. Les pas de danse dans « Sidewalk », la danse du loup-garou dans « Thriller »… tous étaient revus sur la scène. Bien entendu, comme à chaque prestation de ce groupe, le plus attendu et aimé de tous, à savoir le fameux « Moonwalk » fait bien sûr partie des éléments indispensables dans une chorégraphie en hommage au chanteur. Par ailleurs, « Billy Jean », « Smooth criminal », « Beat it » ou encore « Black or White » ont mis en transe les spectateurs venus au CCEsca. L’équipe dirigée par Mandresy a réussi à bluffer l’assistance. Cerise sur le gâteau, les fans du « King of Pop » ont pu l’approcher, avoir des autographes et prendre des photos avec leur idole. En 12 ans d’existence cette année et avec du travail acharné, le groupe « The Jackson Boys » a réussi son pari puisqu'une fois devant les projecteurs, il essaie et arrive toujours à donner l'impression que c'est bien Michael Jackson qui est sur scène. Ce groupe malagasy a réussi à transporter le public dans l’univers de la star américaine. Et même si la légende du pop n’a jamais mis ses pieds dans la Grande île de son vivant, ce show a énormément plu au public.

Sitraka Rakotobe

Fil infos

  • Nominations de préfets et de chefs de Districts - Le Syndicat des administrateurs civils répond à la polémique
  • Groupe Sodiat - 4000 employés et familles étranglés
  • Conseil des ministres - Près de 150 nominations aux hauts emplois de l’Etat
  • ACTUS BREVES
  • Concertation nationale - Le ministère d’Etat chargé de la Refondation toujours pas pleinement opérationnel
  • Actu-brèves
  • Actu-brèves
  • Présidence de la Refondation - Les 4 hauts conseillers à traiter comme des Chefs d’Etat
  • Assemblée nationale - Une séance d’interpellation dominée par les doléances locales
  • Madagascar Airlines - Aucun pilote à bord
Pub droite 1

Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

A bout portant

AutoDiff