Publié dans Economie

« Best place to Work 2020» - Teleperformance classé employeur de référence

Publié le jeudi, 07 janvier 2021


La branche de Teleperfomance à Madagascar, un leader mondial des services aux entreprises en solutions digitales intégrées, a été récemment évaluée par l’institut «The Best Place to Work», un des principaux experts indépendants en matière de certification des environnements de travail. L’entreprise a réussi l’évaluation haut la main et a reçu pour la première fois la prestigieuse certification « Best Place to Work »(BPTW) pour ses opérations dans la Grande île. « Cette certification BPTW repose notamment sur un taux de participation des employés de 70 % et des scores excellents dans chacun des huit domaines clés évalués», soutient l’institut. En effet, ce dernier s’appuie sur une méthodologie d’évaluation rigoureuse qui tient compte des toutes dernières tendances dans le domaine des conditions de travail. Les huit domaines clés évalués en toute indépendance sont alors le leadership, la gestion des ressources humaines, la rémunération, les avantages, le travail d’équipe, l’engagement des collaborateurs, l’environnement de travail et ses procédures, ainsi que la responsabilité sociétale des entreprises. « Nous sommes très fiers d'avoir obtenu cette certification Best Place to Work qui résulte de plusieurs audits indépendants complets concernant nos opérations et notre culture d’entreprise. Les excellents résultats obtenus reflètent notre capacité d’écoute, l’esprit d’entraide et la proximité avec nos employés. Nous n’aurions pu y parvenir sans notre forte culture de travail en équipe» commente David Debydeal, directeur des opérations de Teleperformance Madagascar. Cette distinction revêt une importance toute particulière alors que la crise sanitaire se poursuit, avec des défis et des ruptures majeurs pour les entreprises du monde entier. Cette certification confirme le statut d’employeur de référence de Teleperformance.
Rova Randria

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Editorial

  • Secteur en panne !
    En mauvaise posture, le secteur éducatif malagasy va de mal en pis. Tel un navire en panne, en Haute mer, le moteur bloqué, l’équipage perd le contrôle. Le bâtiment tangue de gauche à droite. A la dérive, il risque le naufrage. A l’époque coloniale, l’instruction publique représentait l’un des principaux points d’achoppement du pouvoir en place. A l’aube de l’occupation, le Général Gallieni, premier gouverneur général de Madagasikara, se heurtait à une difficulté majeure : déterminer quel type d’instruction ou quel modèle d’enseignement, devrait être appliqué dans la colonie (Madagasikara) ? Un enseignement élitiste, de haut niveau, ou un enseignement élémentaire, rudimentaire ? Et encore « quelle langue d’enseignement adoptée ? » Deux grandes orientations ont été primées par le Général gouverneur : dispenser un enseignement pour un cursus éducatif de haut niveau pour les enfants des colons. D’où la création des lycées à Antananarivo, le lycée Gallieni (1908) et…

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