Publié dans Economie

Salon du transport de marchandises et de la chaîne logistique - Offrir une meilleure visibilité aux opérateurs

Publié le vendredi, 08 février 2019

Organisé par l’agence 2HP,  le Salon du transport de marchandises et de la chaîne logistique en est aujourd’hui à sa seconde édition. Durant deux jours, les visiteurs auront l’opportunité de découvrir plus de 40 stands tenus par les différents acteurs du milieu. Pour cette deuxième édition, le salon se déroule à l’Alliance française d’Antananarivo, sise à Andavamamba. La précédente édition a eu lieu au Parvis de l’Hôtel de ville à Analakely.

« Le salon regroupe aujourd’hui tous les acteurs œuvrant directement ou indirectement dans le domaine du transport, à savoir les transitaires, les manutentionnaires, le groupement maritime, les transporteurs, les services de fret et d’expédition, ainsi que les institutions financières », énumère Hasin’ Andrianoninarivo, l’organisatrice. L’idée pour cet évènement est d’offrir une meilleure visibilité pour ces opérateurs dans le domaine du transport de marchandises et de la chaîne logistique. Il ne faut pas oublier que cette branche demeure le pilier du fonctionnement de plusieurs secteurs comme le commerce et l’import-export ou encore le secteur médical, étant donné que la plupart des matériels et des médicaments sont importés.   

De ce fait, la porte s’ouvre surtout aux entrepreneurs désirant importer ou exporter des produits. Les exposants vont détailler les démarches à suivre pour éviter les problèmes. A titre d’exemple, Gasynet y sera présent et expliquera aux visiteurs les procédures de dédouanement. De même, l’entreprise DISCOI, fournisseur de pièces détachées et d’accessoires, tiendra un stand durant ce salon. « Quand on parle de transport, on ne peut pas se passer de l’entretien. C’est pourquoi nous sommes venus participer à ces deux jours d’exposition », explique Asminah,  commerciale. A titre de rappel, l’évènement commence aujourd’hui vers 9h pour se terminer à 17h 30. L’entrée est gratuite. Cependant, une invitation est à retirer à l’accueil.

Solange Heriniaina

Fil infos

  • Nominations de préfets et de chefs de Districts - Le Syndicat des administrateurs civils répond à la polémique
  • Groupe Sodiat - 4000 employés et familles étranglés
  • Conseil des ministres - Près de 150 nominations aux hauts emplois de l’Etat
  • ACTUS BREVES
  • Concertation nationale - Le ministère d’Etat chargé de la Refondation toujours pas pleinement opérationnel
  • Actu-brèves
  • Actu-brèves
  • Présidence de la Refondation - Les 4 hauts conseillers à traiter comme des Chefs d’Etat
  • Assemblée nationale - Une séance d’interpellation dominée par les doléances locales
  • Madagascar Airlines - Aucun pilote à bord
Pub droite 1

Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

A bout portant

AutoDiff