Publié dans Economie

Responsabilité sociétale des entreprises - FILATEX toujours à la rescousse des plus démunis

Publié le mercredi, 11 septembre 2019

94 millions d’ariary. C’est la somme que le groupe FILATEX verse pour la promotion de l’éducation transversale sur la sexualité, ainsi que la prise en charge du rétablissement et du suivi des femmes réparées de la fistule obstétricale. Depuis quarante ans, dans le cadre de la responsabilité sociétale des entreprises (RSE), le groupe œuvre dans le domaine de l’enfance et l’éducation, la santé et l’environnement. « En effet, le groupe FILATEX n’a cessé d’œuvrer envers ses concitoyens en vue d’atteindre les objectifs en matière de développement durable.

Dans le volet éducation, nous avons investi dans plusieurs activités comme la construction et la réhabilitation des écoles, la dotation en kits scolaires. Nous concevons également des bibliothèques pour les écoles primaires publiques (EPP). En ce qui concerne la protection de l’environnement, le groupe Filatex procède régulièrement au reboisement des bois autochtones, à la création et à l’entretien de jardins publics ainsi qu’au curage des canaux publics. Le volet santé est également l’un de nos domaines de prédilection. A cet effet, nous travaillons dans la construction ou la réhabilitation d’infrastructures hospitalières, la dotation d’équipement médicaux et l’organisation régulière de don de sang avec le centre national  de transfusion sanguine », énumère Tanteraka Rakotoarisoa, responsable RSE au sein du groupe. Leur mission consiste en effet à offrir un apprentissage unique pour éveiller la conscience des nouvelles générations qui incarnent l’avenir de Madagascar.

Solange Heriniaina

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Editorial

  • Signal fort (III) 
    Jean louis Andriamifidy bouscule ! Le président du Comité pour la sauvegarde de l’intégrité (CSI) secoue le « système établi » afin d’éveiller la conscience et l’âme des premiers responsables dont en premier lieu les parlementaires notamment ceux de Tsimbazaza pour enfin mettre le holà à la corruption et l’impunité. Sur ce point, le président du CSI ne s’est pas trompé d’adresse. Il sait très bien à quelle porte frapper. Jean Louis Andriamifidy, président du CSI, en chair et en os, se présente devant les députés à la tribune de l’Assemblée nationale, leur demandant de prendre leurs responsabilités devant la nation. Concernant la lutte contre la corruption, il ne fallait jamais méconnaître qu’il existe deux catégories de corruption c’est-à-dire deux types de corrupteurs : le commun des mortels, les menus fretins et les membres du pouvoir à savoir élus parlementaires, anciens ministres ou en exercice, chefs d’institution anciens ou en…

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