Publié dans Economie

Objectifs de développement durable - Les entrepreneurs malagasy appelés à présenter leurs projets

Publié le dimanche, 16 février 2020

Troisième édition. L’Organisation de la jeunesse africaine, en collaboration avec la Banque mondiale et l’université de Wharton en Pennsylvanie (Etats-Unis), lance un appel à la participation des entrepreneurs malagasy dans le cadre du concours international « Ideas for Action Africa » (I4A). Il s’agit d’un financement de projet dans le cadre des objectifs de développement durable. Le rôle de la jeunesse et des femmes dans l’atteinte de l’Agenda 2030 sera le thème de cette année. Une présentation s’est d’ailleurs tenue samedi dernier au siège de la Banque mondiale à Anosy. « Nous avons réuni les entrepreneurs malagasy dans l’espoir de trouver le meilleur projet cette année. La Grande île n’est pas en reste puisqu’elle figurait déjà dans le top 3 en 2019. Plus précisément, Madagascar se trouvait à la deuxième place. On espère qu’il en sera de même pour cette troisieme édition », explique Diana Styvanley, responsable en communication au sein de la Banque mondiale à Madagascar.
Avantages

Les finalistes et les gagnants seront sélectionnés par un panel d’universitaires et de professionnels expérimentés en matière de développement, issus d’institutions publiques et privées. Ils auront par la suite la possibilité de présenter leurs idées durant les assemblées annuelles du Fonds monétaire international (FMI) et du Groupe de la Banque mondiale, tout en recevant le soutien d’un incubateur de projets à la « Wharton School ». Les lauréats bénéficieront également d’opportunités uniques de développement des capacités et de réseautage avec des experts du développement international, du monde universitaire et du secteur privé. Il faut noter que ce concours international s’ouvre aux étudiants et jeunes professionnels âgés entre 18 et 35 ans.  L’inscription sera clôturée le 29 février.

Recueillis par Solange Heriniaina

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Editorial

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    Sur la tribune, devant la presse, au salon, sous la chaumière, au marché, sur la place publique, etc., on parle de la refondation. Dans certains cercles de réflexion, la refondation enflamme les débats. Pour les nouveaux tenants du pouvoir, faire référence à la « refondation » semble être une obligation même dans certains cas, une contrainte. D’ailleurs, le numéro un du pays arbore le titre très officiel et solennel de « Président de la Refondation de la République » ! On ne jure que par ce terme magique mais parfois quelque peu trompeur, la « Refondation ».

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