Publié dans Editorial

Un couple battant

Publié le vendredi, 05 mars 2021

Le jeune couple ne se laisse guère abattre. Moralement et physiquement solides, le Chef de l’Etat et la Première dame tiennent bon et ce en dépit des attaques sordides.

Bien débout sur leurs pieds et la tête haute, Rajoelina Andry et Razakandisa Mialy bravent les insanités que les détracteurs lancent à bout portant. 

Marc Randrianisa, l’énergumène agissant pour le compte de l’Opposition, accuse à tort la famille Rajoelina, en particulier le fils aîné d’être un acro de la drogue. Une très grave accusation qui ternit l’image et l’honneur de la famille présidentielle. Il faut être quelqu’un de déraillé pour avoir osé de la sorte. En effet, quand ose attenter à la dignité morale de quelqu’un, surtout quand il s’agit du Chef de l’Etat et de sa famille, il faut le faire. Rien de plus normal pour une mère de famille et Première dame de la République, de surcroît, de s’indigner profondément. Mialy n’arrive pas à saisir l’insolence manifeste de ce pauvre concitoyen. Marc Randrianisa ne se limite pas à insulter la famille du numéro Un malagasy mais il trouve le culot de la menacer de mort. Quelle arrogance sinon d’animosité flagrante !

Ni Mialy ni Andry ne parait nullement affecté par un tel affront. Ils continuent à assumer leur tâche respective comme si  de rien n’était. Le pays attend beaucoup des actions normalement dévolues de la part du couple présidentiel. La clique à Marc n’est pas sans savoir qu’elle ne pourra pas atteindre physiquementle couple locataire d’Iavoloha. Ainsi, son triste tactique consiste à pilonner voire traquer moralement, de telle façon que le Président Rajoelina et son épouse soient atteints psychologiquement et que par conséquent, le découragement et la déception les envahissent de plein fouet. Et donc, ils vont baisser les bras ! Loin de là ! Marc et consorts trompent d’adresse. Rajoelina Andry et Razandisa Mialy forment un couple aguerri. Ils ne reculent jamais devant n’importe quel obstacle.

Le Président Rajoelina tient d’une main de fer la direction des affaires nationales. Rien n’est laissé au hasard. Il veille au maintien de l’ordre public. La pandémie du coronavirus menace sérieusement son retour. Le nombre de cas graves grimpe « par silence ». Les responsables étatiques surveillent de près l’évolution de la situation. Lors du dernier Conseil des ministres, le Chef de l’Etat a recommandé à chaque membre du Gouvernement d’étudier et de voir ensemble les stratégies efficaces pour répondre, à temps, à une éventuelle « deuxième vague ». Et le Président de la République, en personne, veille de très près à l’exécution des instructions données. Il donne aussi des consignes strictes aux commandements supérieurs des Forces de la défense et de la sécurité (FDS) pour qu’on traque sans ménagement les fauteurs de trouble, où qu’ils soient et qui ils sont. Les « dahalo », en ville et en milieu rural, n’ont pas droit de cité et ils méritent les châtiments les plus sévères. Le peuple qui a déjà trop souffert n’admet plus qu’on les « dérange ».

Madame Rajoelina parcourt monts et vallées à travers la Grande île pour soutenir les femmes malagasy dans leur combat quotidien. Elle vient en aide aux futures mères et aux mères de famille en pleine bataille contre les vicissitudes de la vie. C’est un défi personnel de la Première dame !

 

Ndrianaivo

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Editorial

  • Date maudite !
    Treize mai, date à effacer ! Ce samedi, jour pas comme tous les autres samedis, 13 mai 1972, date où les mouvements de grève des étudiants grossis par tous les élèves de la Capitale, prenaient une allure radicale, point de non retour, sur l’Avenue de l’Indépendance, devant l’Hôtel de Ville, baptisée désormais Place du Treize mai. Il y a cinquante-trois ans en ce jour du 13 mai 2025, les Forces républicaines de sécurité (FRS) chargeaient à balles réelles les manifestants à Analakely devant l’ancien Hôtel de Ville. Le sang a coulé ! Il y a eu des morts et des morts ! Les choses allaient se précipiter. Pris de panique sinon aux abois, feu Président de la République Philibert Tsiranana enchaînait des décisions qui aboutirent, au final, à la chute du régime PSD. Le Général de Division Gabriel Ramanantsoa, Chef d’ Etat-major de l’Armée prit les rênes du pouvoir suite…

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