Tous les véhicules circulant sur le territoire national doivent passer une visite technique régulière. Ce texte est valable pour les véhicules ayant été utilisés pendant plus de 5 ans, que ce soit dans le secteur privé ou public. Cependant, ces propos étaient seulement considérés comme une recommandation pour les institutions publiques.
La version indienne de l'AstraZeneca, produite par « India's Serum Institute », et qui est connue sous le nom de « Covishield » n'est pas autorisée sur le territoire européen. L'Agence européenne des médicaments (EMA) a affirmé que le fabricant n'a pas encore déposé de demande d'autorisation pour le vaccin Covishield, ce qui n'est pas le cas pour Oxford-AstraZeneca (AZ), appelé Vaxzevria. D'autant plus que l'EMA n'a pas besoin d'approuver le site de fabrication d'AZ en Inde, l'Union européenne ne recevant aucune dose de ce pays.
Une sirène retentit quelque part dans la cohue du marché d'Analakely. A l'approche, ce fut une ambulance. Il est écrit à l'arrière du véhicule, sur le pare-brise, « Ensemble pour la vie ».
L’usage du sachet en plastique reste une habitude ancrée dans le quotidien des consommateurs malagasy. C’est difficile pour eux de ne pas le demander lors de leurs achats, que ce soit pour emballer des fruits et légumes ou encore des vêtements et des chaussures. « Je fais souvent des achats imprévus.
Il est difficile d’imaginer que la valeur de l’euro redescendra en deça de la barre symbolique des 4 500 unités de la monnaie nationale. C’est le constat exposé par certains observateurs suite à la dégringolade de l’ariary ces derniers temps sur le marché interbancaire des devises. En effet, il y a encore une semaine, durant le week-end de célébration de la Fête nationale, la valeur d’un euro oscillait entre 4 505 et 4 521 ariary. Hier, la monnaie européenne était égale à 4 641,72 ariary.
« Les personnes que vous défendiez au nom du peuple sont celles qui ont obtenu des titres d'une manière frauduleuse et non ces manifestants qui vont du bruit ». C'est la petite bombe lancée par le ministre de la Justice, Johnny Richard Andriamahefarivo, lors de la séance questions-réponses entre le Gouvernement et les députés la fin de la semaine dernière.