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Le Championnat du Monde de Pétanque 2024 se déroule actuellement au Zénith de Dijon, en France, et Madagascar y réalise une performance remarquable, se classant à la 6e place après cinq tours. Ce sommet de la pétanque, qui se dispute selon le système suisse, a vu des équipes venues du monde entier s’affronter avec intensité. Madagascar, avec quatre victoires et une seule défaite, fait partie des 24 meilleures équipes, se retrouvant devant des pays comme le Cambodge et le Bénin. 

 

L'action de villageois, en vue de poursuivre des brigands, a basculé dans un bain de sang à Bevatry, Commune d'Ankisatra à Maintirano, la nuit de lundi dernier. Car de leur position de poursuivants, ces membres du Fokonolona s'en sont alors violemment pris à ceux de Tanandava Mafaijijo, ces derniers devenus alors les victimes de ces violences inacceptables car accusés à tort d'avoir volé deux zébus appartenant à cette première localité.

Mais il y a pire. Car, non contents d'attaquer uniquement les villageois de Tanandava, ceux de Bevatry se seraient également emparés de force des bœufs qui paissaient tranquillement dans la prairie, et qui appartiendraient aux assiégés de Tanandava.

 

Une prévention. Le niveau de danger augmente dans les environs d'Ambanin’Ampamarinana, selon Marius Rasedison, directeur de la Gestion des risques et catastrophes (GRC) au sein de la Commune urbaine d'Antananarivo (CUA). Outre les inondations, le Bureau national de gestion des risques et des catastrophes (BNGRC) se prépare pour un éventuel glissement de terrains engendré par les eaux de pluies, après une longue période de variation des températures. D’ailleurs, la prévision météorologique avance des précipitations supérieures à la normale saisonnière, cette année. Sur ce, le risque d’effondrement des rochers augmente. Plusieurs quartiers sont touchés dont Manjakamiadana, Ambavahadimitafo, Ambanin' Ampamarinana, Tsarafaritra, Ambohipotsy et Faravohitra. 

 

Mariées dès les premières menstruations, c’est encore le destin de nombreuses filles dans certaines Régions de Madagascar. Selon un rapport récent du Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA), près de 48 % des femmes malagasy âgées de 20 à 24 ans, et même en deçà, ont été mariées ou ont cohabité avec un homme avant l'âge de 18 ans, avec des proportions particulièrement préoccupantes dans le sud de l’île. Là-bas, la tradition veut souvent que les jeunes filles soient mariées tôt, non seulement pour des raisons culturelles mais aussi en raison des conditions économiques qui poussent certaines familles à marier leurs filles afin de réduire les charges financières. Cette pratique abominable est souvent accompagnée de violence domestique et d'une santé reproductive compromise, augmentant ainsi les risques de maladies et de complications liées à la grossesse.

 

Des opportunités

Publié le vendredi, 06 décembre 2024

CEO Summit ferma ses portes. Madagasikara, hôte d’une rencontre de haut niveau entre les chefs d’entreprise et les capitaines d’industrie de l’océan Indien, au nombre de 500 participants, se trouve en face de grandes opportunités. Environ 500 CEO, des chief executive officers, des présidents directeurs généraux, de grands leaders économiques  évoluant dans l’espace indianoceane, se concertent pour établir ensemble le schéma traçant les voies et les moyensaptes à créer un développement harmonieux au sein de l’océan Indien. Les cinq Etats membres, les Comores, La Réunion (France), Madagasikara, Maurice et Seychelles y sont représentés.

 

Le « CEO Summit », clôturé hier au Novotel, Ivandry, a posé les bases d’une nouvelle ère pour la coopération régionale. Tiana Rasamimanana, président du Syndicat des industries de Madagascar (SIM), a salué la forte participation des acteurs économiques. Lors de l’ouverture de ce sommet, 500 participants étaient présents, dont 400 responsables locaux et ceux des îles voisines. Il a souligné l’importance des échanges autour des défis et des opportunités pour l’environnement des affaires dans cette zone stratégique. La création d’un marché commun et d’une économie partagée a été au cœur des discussions, avec cinq propositions clés qui seront soumises aux Gouvernements de la région au début de l’année 2025. 

La Fondation H, pilier du soutien à la scène artistique malagasy, lance l'exposition « Ils gravèrent le sable », mettant en lumière le travail d'Andy Rasoloharivony, vice-lauréat du Prix Paritana 2024. Cette exposition, qui se tient dans l'espace Atelier de ladite Fondation, est ouverte gratuitement au public du 6 décembre 2024 au 2 janvier 2025. 

 

Les élections communales et municipales à Madagascar suscitent un intérêt inégal. D’un côté, les élections des maires captent presque toute l’attention. De l’autre, celles des membres des conseils municipaux et communaux passent presque inaperçues. Pourtant, ces deux scrutins sont indissociables et tout aussi importants pour le bon fonctionnement des collectivités.

 

Lors d'une rencontre avec Shen Xiaoming, secrétaire du Comité du PCCC pour la région de Hunan, hier au Palais Présidentiel d'Ambohitsorohitra, le Président Andry Rajoelina a abordé un point crucial pour le développement des échanges commerciaux et touristiques entre Madagascar et la Chine : la relance des vols directs entre Antananarivo et Guangzhou. Cette initiative vise à stimuler le tourisme et les investissements, en facilitant les déplacements entre les deux régions. Le Président a souligné que la réouverture de cette ligne aérienne serait un levier important pour augmenter le nombre de visiteurs chinois et renforcer les relations économiques entre les deux pays.

 

La une de 6 décembre 2024

Publié le jeudi, 05 décembre 2024

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Editorial

  • Secteur en panne !
    En mauvaise posture, le secteur éducatif malagasy va de mal en pis. Tel un navire en panne, en Haute mer, le moteur bloqué, l’équipage perd le contrôle. Le bâtiment tangue de gauche à droite. A la dérive, il risque le naufrage. A l’époque coloniale, l’instruction publique représentait l’un des principaux points d’achoppement du pouvoir en place. A l’aube de l’occupation, le Général Gallieni, premier gouverneur général de Madagasikara, se heurtait à une difficulté majeure : déterminer quel type d’instruction ou quel modèle d’enseignement, devrait être appliqué dans la colonie (Madagasikara) ? Un enseignement élitiste, de haut niveau, ou un enseignement élémentaire, rudimentaire ? Et encore « quelle langue d’enseignement adoptée ? » Deux grandes orientations ont été primées par le Général gouverneur : dispenser un enseignement pour un cursus éducatif de haut niveau pour les enfants des colons. D’où la création des lycées à Antananarivo, le lycée Gallieni (1908) et…

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