Energie intacte. La bande infernale de Mage 4 remettra ses pieds pour la troisième fois en solo au Palais des Sports pour la célébration des 30 années d’existence du groupe. Un évènement tant attendu par tous ses fans de la Capitale puisque les célébrations de cet anniversaire ont déjà démarré dans les autres Régions de la Grande île, comme à Toliara où Ken et sa bande ont effectué un véritable show. Bien sûr, c’est à Toliara, la ville où le groupe a vu le jour, que Mage 4 démontrait qu’il n’a strictement rien perdu de sa puissance, de sa dextérité et de son endurance.
« Tout ce qui brille n'est pas or », disait un écrivain français du 18e siècle. Une expression qui reprend tout son sens avec l'avènement de la FinTech et où la cryptomonnaie règne en maître depuis plusieurs années un peu partout dans le monde. Promesse de gains rapides et faciles, hameçonnage sur les réseaux sociaux, usurpation d'identité, les escrocs profitent de l'essor des crypto-actifs pour multiplier les arnaques en tout genre. Et le continent noir n'échappe pas non plus à cette généralité puisque l'explosion du cours du Bitcoin, il y a quelques années, a donné des idées à certains entrepreneurs qui proposent à présent des monnaies numériques dédiées à un certain groupe de personnes ou des populations d'un continent entier.
Le retour de l'été rime avec chaleur étouffante et l'accumulation des particules fines dans l'air. En effet, il a été constaté que le niveau actuel des particules fines PM2.5 est presque trois fois plus élevé que le seuil recommandé par l'Organisation mondiale de la santé (OMS). La situation va perdurer dans les trois prochains jours et peut-être jusqu'à dimanche, selon le bulletin du ministère des Transports et de la Météorologie pour la surveillance de la qualité de l'air à Antananarivo.
L’« Institut d’Excellence Culinaire Guillaume Gomez » fondé au sein de l’Akamasoa Ambohimahitsy a été inauguré officiellement hier. Le Président de la République Andry Rajoelina a participé à la cérémonie d’inauguration. Le Père Pedro Opéka, fondateur de l’association Akamasoa, chef Guillaume Gomez, ambassadeur de France pour la #gastronomie et les filières alimentaires, ainsi que M. Mathias Ismaïl, président de la Fondation Ecole de Félix pour l’éducation et la santé étaient également présents. Cette cérémonie officielle d’inauguration a été l’occasion d’effectuer la remise des diplômes pour les 24 étudiants de la toute première promotion des élèves de l’Institut. Il s’est ensuivi un buffet préparé par les élèves autour des produits d’OSO, La Gambas Bio de Madagascar, partenaire officiel de l’Institut d’Excellence culinaire Guillaume Gomez. Renforcer et poursuivre la formation des personnes démunies pris en charge par Akamasoa, tel est l’objectif de ce centre de formation. C’est le troisième projet porté par la Fondation Ecole de Félix pour Madagascar après la construction d’une Ecole primaire publique d’une capacité de 750 élèves à Ankarana et l’Institut de Formation professionnelle aux arts culinaires, toujours à Ankarana en 2019.
L’avenir aux jeunes
La mise en place de ce genre de centre de formation technique et professionnel correspond aux visions de l’Etat, assure le Chef de l’Etat. C’est un levier pour le développement économique et social car il garantit un futur pour de nombreux jeunes malgaches, ajoute-t-il. Le Président Rajoelina insiste ainsi sur la nécessité de soutenir ce genre d’initiatives. La formation professionnelle est une garantie pour les jeunes d’intégrer le secteur du travail durable et de bonne qualité. Elle doit aussi permettre à ces jeunes de ne plus constituer un poids pour la société et pour l'État, et encore plus que cela, la formation professionnelle doit permettre à ces jeunes de prendre part au développement durable voulu par les dirigeants actuels. Le Gouvernement élabore des projets visant à mettre en place des centres de formation similaires dans les 6 chefs-lieux de province de Madagascar. Notons pour information que Guillaume Gomez est le réputé chef des cuisines du Palais de L’Élysée à Paris. Il a récemment été choisi par l’actuel Président de la République française, Emmanuel Macron, pour être l’ambassadeur de la gastronomie française.
L.R.
Au complet. Les annonces publicitaires concernant le grand concert du groupe Ambondrona continuent d’affluer dans les stations radiophoniques, les chaînes de télévision ou encore sur les réseaux sociaux. Mais actuellement, il n’est plus utile de chercher encore un billet d’entrée pour assister à ce spectacle. En un temps record, les tickets d’entrée pour le concert, dans le cadre de la célébration du 20e anniversaire du groupe, se sont tous écoulés depuis le week-end dernier. Et comme à l’accoutumée, ce qui n’est plus une grande surprise pour le public, le groupe Ambondrona se produira encore à guichet fermé ce dimanche 9 octobre à 15 heures au Palais des sports, Mahamasina. D’ailleurs, les puristes considèrent ce palais comme la meilleure salle de concert au pays.
Ainsi, pour ne rien rater du spectacle, les fans de Kix et sa bande ont pris d’assaut les ventes en ligne et autres circuits pour occuper les six mille places de la mythique salle du Palais des sports. Et ils ont eu raison, puisqu’avec ce groupe, les fans ne peuvent s’attendre qu’à une ambiance festive. Après avoir entamé une tournée en France tout au long du mois de juillet, Ambondrona prépare une remarquable retrouvaille avec le public tananarivien. Par contre, ceux qui n’ont pas eu leur sésame pour assister au concert pourront toujours se consoler en visionnant quelques photos ou extraits d’images en vidéo du spectacle que les internautes partageront sur Facebook.
Phénomène
Aller voir un concert du groupe Ambondrona, c’est assister à un véritable show. Les spectateurs s’attendent toujours à une mise en scène bien soignée, soutenue par un jeu de lumières astucieux qui évolue au fil du temps, un décor grandiose, un son impeccable... Le tout mené par cinq hommes qui savent bien jouer leur rôle respectif sur scène. Quoique l’on puisse penser du parcours du groupe, nul ne pourra nier que Beranto et sa bande se donnent toujours à fond dans leurs concerts. Et cela depuis leurs débuts dans les années 2000. Il suffit juste de regarder sur les réseaux sociaux pour s’en rendre compte car de très nombreux fans sont déjà en effervescence et impatients de revoir Ambondrona sur scène. Un groupe devenu un véritable phénomène à lui tout seul.
Effectivement, après deux décennies d’existence, Ambondrona est toujours capable à surprendre ses fans. Une grande communauté de fidèles qui s’agrandit continuellement, qui accueille désormais en son sein une nouvelle génération et reste toujours aux aguets à l’annonce d’un événement de la part du groupe. Autant de succès, autant de titres qui devraient assurer du beau spectacle. Bref, de nombreux concerts se sont déjà succédé et d’autres restent à venir. La célébration du 20ème anniversaire du groupe Ambondrona est sans doute un important événement culturel pour cette année.
Sitraka Rakotobe
Récemment, une information concernant l’accusation de viol d’une adolescente de 17 ans par un homme d’église, a fait le tour des réseaux sociaux. Les faits se seraient déroulés dans une Commune de Tanjombato, dans l’Atsimondrano. Une source d’information rapporte donc que la victime aurait enduré les bas instincts, sinon se plier au devoir de satisfaire le libido d’un prêtre d’une paroisse sise dans une Commune d’Antananarivo-Atsimondrano, chaque fois que l’occasion se présente, selon cette source. La jeune fille devrait voir fréquemment le prêtre, par la force des choses. Car c’est elle qui joue le rôle de commissionnaire pour vendre systématiquement les produits agricoles de sa mère dont l’homme d’église a besoin. D’ailleurs, ce dernier aurait saisi la balle au bond pour profiter de ces moments de passage de la fille chez lui pour la séduire. D’abord, il aurait réussi à obtenir le numéro de téléphone de l’adolescente tout en cherchant à la mettre à l’aise, quitte à la convaincre de le considérer comme son propre père. Mais leur relation se serait allée un peu plus loin encore. Il y a des moments où la fille aurait dû passer la nuit chez l’homme d’église parce qu’il faisait déjà nuit lorsqu’elle devrait rentrer chez elle. Et ce ne serait pas une ou deux fois, mais plusieurs fois. Enfin, l’homme d’église, pour pouvoir retenir longtemps la victime, lui aurait permis d’abandonner sa soutane pour la prendre en tant que sa femme. Et cette source d’appuyer que cette jeune fille n’est pas la seule à passer dans le giron de ce prêtre qui aurait fait passer plusieurs autres femmes, et même des religieuses dans son lit.
Réaction tardive
La victime qui n’a donc réagi que tardivement, et ce, après deux longues années de cet abus ne pouvant être que sexuel, se montre actuellement intraitable.
Car outre le fait qu’elle a déposé une plainte contre l’évangéliste auprès de la Police jeudi dernier, mais elle aurait également saisi le Parquet d’Antananarivo. Elle est inflexible puisqu’elle aurait refusé de se plier à la demande de l’église qui est sous la responsabilité de l’évangéliste en cause ainsi que certains responsables de l’établissement scolaire qui y est rattaché pour que la victime retire sa plainte.
Petite, la victime aurait été abandonnée par son père et vit actuellement avec sa mère, qui est cultivatrice. Bien que la source d’information ait avancé les noms des personnes impliquées, et fourni des détails sur l’affaire, les enquêteurs semblent afficher la plus grande prudence pour s’exprimer, ni le confirmer, encore moins l’infirmer. Interrogée sur l’évolution de l’enquête, la Police de ladite Commune de l’Atsimondrano a avancé qu’elle n’est encore saisie de ce dossier même si le commissariat dispose d’un service de Police des mœurs et des mineurs (PMPM). De son côté, la Gendarmerie nie formellement avoir été saisie et affirme n’avoir pas été au courant de l’affaire. Est-ce que tout cela montre que l’affaire est assez délicate car impliquant un homme d’église, pour que les enquêteurs gardent le silence actuellement ? Affaire à suivre.
Franck R.
D’ici trois semaines, Madagascar figurera de nouveau dans l’arène continentale du football sur sable, de la Coupe d’Afrique des Nations, qui aura lieu sur la plage du Mozambique du 21 au 30 octobre prochains. La Fédération malagasy de football vient d’annoncer la liste des 20 joueurs présélectionnés pour défendre les couleurs nationales à cette joute. Avant la liste finale, un dernier regroupement déterminera les 12 meilleurs joueurs qui auront leurs billets pour Maputo, capitale Mozambicaine, pour former les Barea Beach soccer pour cette CAN.
Choisir parmi les 20 joueurs proposés par la direction technique, pour en tirer les meilleurs, n’est pas une mince affaire pour le coach Solofo Ramarolahy. A l’issue de la qualification, l’entraineur national de Beach soccer a déjà proposé des nouvelles têtes dans son effectif. Car, sur les 12 joueurs qui ont éliminé les Seychelles, son effectif était composé à 95% des champions d’Afrique de 2015.
Pour rappel, Madagascar évoluera dans le groupe B, le groupe de la mort de cette compétition. Dada, Yemelda, Jhorialy affronteront d’entrée l'Egypte, le Sénégal et l'Uganda. La première rencontre opposant Barea de Madagascar et les Pharaons est prévue le samedi 22 octobre prochain à 15h30 à Madagascar. Un premier match qui s’avèra déjà décisif pour les hommes de coach Solofo Be, car une victoire face à l’Egypte sera déjà un bon présage pour l’avenir de l’équipe pour sa sortie dans la phase de groupe, la qualification dans les phases finales.
Les Barea vont rencontrer par la suite les Zèbres ougandaises le lendemain, ou le dimanche 23 octobre.
Madagascar n’hérite pas d’un groupe facile. Pour son dernier match de groupe, les Barea devront se défaire du Sénégal, grand favori du groupe et de la compétition. Champion en titre et sextuple vainqueur de la compétition, les Lions de la Teranga sont en course pour un quatrième titre consécutif. Madagascar pour sa part est en quête d’un deuxième sacre continental après son succès en 2015.
Elias Fanomezantsoa
Liste des présélectionnés
Gardien de but
Rafalimanana Jhoraly
Rakotomalala Honoré
Raharison Jacques
Fiadananana Mario Gomez
Défenseurs
Mamy Domoa Fabrice
Rakotomalala Orlando
Fahad Chocry
Richard Marcel
Fidison Camara
Raharison Fernando Dit Dada
Milieux
Razafimanomby Yemelda
Tokindrainy Francegal
Fofo Alexandre
Rasolomandimby Bernardin
Jean Mario
Attaquants
Enidiel Régis
Rzafimahatratra Flavien
Rafidison Aimé dit Pako
Rakotoson Anderson
Jinidy Joel
A tout seigneur, tout honneur ! Dans un pays qui prend au sérieux l’avenir de la Nation, l’éducation, cette noble mission, occupe toujours le devant de la scène. Première servie, mieux traitée, l’éducation nationale se taille la part du lion !
Dans le cadre général des recrutements des agents de l’Etat, le secteur de l’éducation rafle la mise. A l’issue du dernier Conseil des ministres, l’Etat va procéder au recrutement des fonctionnaires. Dans les faits, 17.900 postes budgétaires ont été créés et répartis entre les départements ministériels et certaines institutions jugées prioritaires. Les départements gérant les domaines touchant directement la vie de la population tels l’éducation et la santé publique de même la sécurité et la Justice se partageront du plus gros paquet. En effet, sur les 17.900 postes à créer, 17.200 postes seront attribués à ces institutions susmentionnées. Et le département de l’éducation nationale s’adjurera de la plus grosse tranche avec 9800 postes budgétaires, soit plus de la moitié de l’effectif global à recruter.
Le message émis de la colline d’Iavoloha est clair ! Il faut être maladivement obscurci sinon obstrué des deux sens, de l’ouïe et de la vue, pour ne pas le capter tout au moins le saisir.
A travers le projet de Loi de Finances initiale, PLFI 2023, le Gouvernement sous la conduite éclairée des deux chefs de l’Exécutif, Rajoelina Andry Nirina et Ntsay Christian, met en évidence leur souci d’améliorer les conditions d’existence des 25 millions de malagasy. Le défi est colossal et les enjeux de taille. Concrétisation du Velirano oblige voire s’impose !
Le Velirano Point IV : « L’éducation pour tous » prévoit, entre autres, de garantir un système éducatif pour tous et promouvoir l’excellence, etc. Des engagements que le Chef de l’Etat Rajoelina n’a pas le droit d’omettre.
Mais pour un pays aux moyens matériels (financiers) limités comme Madagasikara, consacrer la plus grosse partie du Budget de l’Etat à des domaines non rentables dans l’immédiat relève d’une volonté politique hautement assumée et d’un courage de gouvernance sans risque. Pour une population jeune, à grande majorité de moins de quinze ans, le besoin sans cesse croissant en éducation se constate à l’œil nu et donc ne se discute pas. Certainement, une grande partie de ces 9800 postes attribués à l’Education seront affectés au recrutement d’enseignants notamment au niveau de l’Education de Base.
Attention, il n’y a pas que le recrutement d’enseignants, il y en a aussi et surtout leur formation. Il ne suffit pas d’étoffer en effectif les écoles publiques, il va falloir nécessairement se doter d’un Corps enseignant suffisamment « armé ». Il faut améliorer urgemment le niveau des élèves malagasy. Le rapport de l’UNICEF sur l’apprentissage à Madagasikara est accablant. Cet organisme onusien pointe du doigt l’état déplorable du niveau académique et pédagogique de ceux ou celles à qui sont confiés le transfert du savoir aux élèves du petit peuple dans les EPP et aux CEG. Le niveau des élèves baisse au fil du temps.
Rien de plus normal et légitime si les tenants du régime orange honore en première ligne l’éducation et la santé publique. Par tous les moyens, il faudra apporter une solution urgente et efficace si l’on veut contribuer à l’épanouissement des générations présentes et futures.
Ndrianaivo
Alternative. Les ressources pétrolières de Madagascar font-elles partie de la solution face à la crise énergétique et climatique qui prévaut actuellement. C’est en tentant de répondre à cette problématique qu’une série de diagnostics énergétiques ont été établis par le cabinet Rystad Energy, mandaté par le WWF Madagascar. En tant qu’organisme œuvrant pour la préservation de la nature, le WWF est de plus en plus confronté aux nombreux dilemmes que posent les crises de la nature, de la pauvreté, du climat, et plus récemment de la crise énergétique. De plus, comme le secteur pétrolier est lui-même impacté par le changement climatique. Outre les risques physiques associés au changement climatique sur le fonctionnement d’une industrie pétrolière, il y a ceux liés à la responsabilité des compagnies ou des pays qui contribuent sciemment au changement climatique, du fait des procès climatiques qui se sont multipliés ces dernières années. Par ailleurs, et c’est très important, il y a les risques liés à la transition globale vers une économie à faible émission de carbone. Cette transition globale en cours risque d’entrainer la chute du prix du pétrole. Et qui se révèle une réalité ces derniers temps avec une chute du prix du baril de près de 34% en l’espace de six mois. Ainsi, dans ce contexte, l’étude du cabinet Rystad Energy avance que Madagascar fait partie des 5 pays les plus exposés aux phénomènes climatiques extrêmes, et les dommages climatiques étaient évalués à 568 millions de dollars.
Tsimiroro ?
D’un autre côté, mis à part Tsimororo qui est toujours en phase pilote, les investissements dans ce secteur se révèlent être à perte. En effet, d’un point de vue économique et en considérant le scénario de prix, l’investissement pétrolier serait à perte. Soit plus de dépenses que de recettes engendrées pour les différents gisements de Madagascar, excepté pour le cas de Tsimiroro. De plus, il y a peu de chances que les besoins en produits pétroliers de Madagascar soient satisfaits par l’exploitation des ressources pétrolières et gazières locales. La raison étant que l’exploitation de ces ressources présente un risque économique important, un risque d’investissements à perte non attractif pour les compagnies et les financeurs. Sans oublier le fait que les ressources pétrolières non découvertes sont susceptibles d'être non-commerciales compte tenu du prix projeté du baril de pétrole par rapport aux coûts d’investissement requis. Et les coûts d’investissement requis sont supérieurs aux prix du baril sur le marché. A terme, il y a un risque que l’investissement ne soit pas récupéré. « A rappeler que l’importation de produits pétroliers représentent 14% des importations de Madagascar. L’enjeu est donc de s’affranchir de la dépendance aux produits pétroliers, tout en permettant l’accès durable et abordable de la société malgache au transport et à l’électricité», explique Voahirana Randriambola, coordinatrice du programme Energie de WWF. Une façon pour cette responsable d’avancer que ces faits nous obligent à regarder la réalité en face, et à l’affronter ensemble pour adopter et mettre en œuvre rapidement des solutions durables afin de satisfaire nos besoins croissants en transport et en électricité. En effet, dépendre sans fin des importations pétrolières ne nous mènera nulle part.
Hary Rakoto