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Allier la technologie et l’artisanat. Le salon de la créativité « Voatra », organisé par la Chambre de Commerce et d’Industrie d’Antananarivo (CCIA) commence ce jour et s’achève ce samedi à l’annexe CCIA Antanimena. Pour cette septième édition, les organisateurs ont choisi le thème « Le Vita Malagasy à l’ère du numérique. « Cette édition revêt un caractère particulier, dans la mesure où elle est préparée dans le contexte de la relance économique. La crise sanitaire de la Covid- 19 a témoigné l’obligation des entreprises de se redéfinir et de repenser leurs méthodes de fonctionnement pour intégrer les nouvelles contraintes, nées de la crise et les conséquences sur les activités économiques.

Situation alarmante. La semaine dernière, l’eau s’est raréfiée dans la ville de Fianarantsoa. Seuls quelques quartiers ont été approvisionnés « normalement ». Et aujourd’hui, la situation s’est encore aggravée. Les habitants doivent se réveiller à deux heures du matin pour collecter les quelques gouttes sortant de leur robinet. Le lac d’Antarambiby, source d’eau potable pour la ville, est complètement asséché. Et même les puits et les rizières sont à sec. Une mauvaise saison rizicole est même à craindre pour cette année, dans la Région. En effet, les conditions météorologiques des dernières années n’ont pas été favorables. Elles ont donc contribué à cette sécheresse. Les périodes de pluies sont insuffisantes pour la recharge des ressources. 

Statu quo. Les anciens ministres soupçonnés d’implication dans des dossiers actuellement en cours d’examen à l’Assemblée nationale doivent attendre encore quelques temps pour être fixés sur leur sort. Leurs dossiers n’ont pas encore été bouclés par la commission spéciale de mise en accusation auprès de la Haute Cour de Justice. Après un premier report d’une semaine, la séance de présentation des rapports des travaux de commission ainsi que l’examen et le vote d’une proposition de résolution de mise en accusation ont de nouveau été reportés. Actuellement, 4 dossiers concernant 4 ministres sont instruits par la commission spéciale au niveau de Tsimbazaza.

LA UNE DU 25 NOVEMBRE 2020

Publié le mardi, 24 novembre 2020


Apporter de la lumière dans chaque foyer. Le Gouvernement américain, à travers l’Agence des Etats-Unis pour le développement international (USAID) et l’initiative Power Africa, a accordé à trois entreprises malagasy une subvention d’une valeur totale de 1,2 million de dollars pour développer des mini-réseaux électriques à Madagascar. Lancée au mois de mai dernier, la cérémonie de remise de ce financement s’est tenue hier en zoom conférence. Dix-sept entreprises ont déposé leur candidature. Mais au terme d’une étude approfondie, des subventions ont été attribuées à Autarsys Madagascar, Hydro Ingénierie Etudes Et Réalisations (HIER) et Henri Fraise Fils & Cie. Ces subventions permettront de fournir de l’électricité à plus de 28 000 personnes dans trois Régions du pays, notamment Amoron’i Mania, Atsimo-Andrefana et Boeny.
De ce fait, Autarsys Madagascar électrifiera à l’aide de mini-solaires hybrides trois villages sis dans la Région d’Atsimo-Andrefana, plus précisément à Befandriana, Edjeda et Fatodrevo. H.I.E.R. agrandira un mini-réseau hydroélectrique existant de 560 kW dans la Région d’Amoron’i Mania. De son côté, Henri Fraise Fils & Cie construira un nouveau mini-réseau solaire de 100 kilowatt-crêtes (kWc) dans le cadre du projet présidentiel concernant l’électrification rurale dans le vilage de Manantsandry.
« Les mini-réseaux restent la meilleure solution pour les zones reculées puisqu’il s’agit d’une source d’énergie rernouvelable. Mais le secteur privé rencontre souvent des problèmes d’accès au financement pour exécuter leur projet. Cette nouvelle source d’energie permet d’alimenter plusieurs appareils dans la maison et les machines utilisées par les entreprises. Ce système aide ainsi les sociétés à mener à bien leurs activités ainsi que de créer des emplois dans la Région. La vie de la population locale s’améliorera également en même temps », ajoute Michael Pelletier, ambassadeur des Etats-Unis à Madagascar durant son intervention.
Christian Ramarolahy, ministre de l’Energie et des Hydrocarbures, a souligné l’importance de ce grand projet pour Madagascar. Selon ses dires, seulement 15 % des Malagasy ont accès à l’électricité. « Le plus terrible, c’est que ces 15 % de la population malagasy se plaignent encore des coupures fréquentes d’électricité et 85 % n’ont jamais vu la lumière qu’uniquement à travers la bougie ou la lampe en pétrole. C’est quand même dramatique de vivre une telle situation en ce 21ème siècle. J’espère que nous atteignions le taux d’électrification de 50 % d’ici 2030. Je suis déjà heureux que d’autres partenaires techniques et financiers commencent à suivre la même voie que l’USAID », s’exprime-t-il.
Solange Heriniaina


L’heure du bilan va bientôt sonner. Dans un peu plus de deux mois, le Président Andry Rajoelina fêtera ses deux années à la tête du pays. Deux années, certes éprouvantes, mais révélatrices de la volonté et de la détermination de ce jeune Président à mener le bateau du développement à bon port. L’année 2020 a été une période charnière pour la concrétisation des « Velirano » du Président de la République. Malgré la crise sanitaire liée à la Covid-19 qui a plongé le pays dans de nombreuses difficultés sociales et économiques, cette année a surtout été marquée par le coup d’envoi ou encore l’inauguration de plusieurs projets présidentiels.
L’on peut notamment citer le « Rovan’i Madagasikara » qui, un an et demi après le début des ouvrages, a déjà pu renaître de ses cendres. A cela s’ajoutent les routes nationales ou encore les stades « manara – penitra » qui sont déjà en cours de construction dans les quatre coins de l’île. Le stade de Barikadimy à Toamasina a même déjà été réceptionné pour accueillir le match retour qui a opposé les Barea aux éléphants de la Côte d’Ivoire le 17 novembre dernier. Le légendaire stade de Mahamasina qui sera baptisé « stade Barea » commence déjà à montrer son nouveau visage. De multiples infrastructures aux normes internationales viennent s’ajouter à cette longue liste de réalisations à savoir, les hôpitaux « manara – penitra », les prisons, etc.
De « Miami » à « Tanamasoandro »
Récemment, le couple présidentiel a procédé au lancement officiel des travaux dans le cadre du projet « Miami » à Toamasina. Ledit projet « Miami » vise à faire de la ville de Toamasina une destination touristique phare.  D’ailleurs, la référence à Miami, un endroit paradisiaque aux Etats – Unis n’est pas fortuite. Bien que le chantier ne soit encore qu’à ses débuts, la population s’est déjà approprié l’appellation de Miami. C’est dire à quel point les Malagasy, et particulièrement les habitants de Toamasina attendent avec impatience que le projet prenne vie. Celui – ci comprend, entre autres, l’aménagement et l’équipement d’un Beach Games ainsi que de diverses aires de sports et de loisirs (terrain de foot synthétique, terrain de basket, de beach volley, etc.). L’endroit comptera aussi des bâtiments, une allée piétonne arborée, des espaces verts et des jardins. Au cours de sa dernière visite dans le Grand Port, le Chef de l’Etat a révélé d’autres détails alléchants comme l’aménagement d’une piscine naturelle grâce à la désalinisation et le traitement de l’eau de mer. La Capitale ne sera pas en reste puisque le démarrage du projet « Tanamasoandro », qui sera finalement implanté à Imerintsiatosika, est déjà imminent.
Le meilleur est donc à venir car les trois prochaines années du mandat présidentiel seront le moment pour les Malagasy d’apprécier et de jouir des différentes réalisations entreprises jusqu’ici. La concrétisation des réformes dans les secteurs clés de la vie sociale comme la santé, l’éducation, l’industrie est d’ores et déjà attendue pour améliorer le bien – être de la population.
La Rédaction



« Interdiction de toute activité relative au football au niveau national qu’international pour une durée de cinq ans et une amende de 200.000 CHF ». C’est la décision prise par la chambre de jugement de la commission d’Ethique à l’encontre de Ahmad Ahmad, président en exercice de la CAF, et non moins candidat à sa propre succession aux élections prévues pour le mois de mars 2021 au Maroc. D’après le communiqué de la FIFA, Ahmad est notifié de cette décision qui entre en vigueur depuis hier. La FIFA accuse le président Ahmad d’avoir enfreint au devoir de loyauté, acceptation et distribution de cadeaux ou autres avantages, abus de pouvoir et détournement de fonds. A première vue du lourd, rien que du lourd. Néanmoins, pour d’autres, il ne s’agit ni plus ni moins que d’un coup bas ou plutôt d’un acharnement.
La première question à laquelle la FIFA n’a pas donné une lueur de réponse dans son communiqué a trait à la période de déclaration des sanctions. En effet, les accusations mises sur la tête de Ahmad portaient sur des faits d’il y a plusieurs mois, voire années, la plupart au début de son mandat. La FIFA ne peut pas nier qu’elle était au courant de ces dossiers et certainement les a étudiés depuis longtemps. Mais pourquoi, c’est seulement après l’annonce d’Ahmad de sa candidature pour un second mandat à la tête de la CAF et la déclaration écrite, et non verbale, de soutien faite par les 46 présidents de fédération de l’Afrique sur les 54 que la FIFA, et dans son sillage la commission d’Ethique, a finalement  pris la décision… de sanctionner le candidat classé favori.  En effet, avec 46 présidents acquis à la cause d’Ahmad, les carottes sont cuites avant même que le feu soit allumé.
Et coïncidence, quelques heures après l’annonce d’Ahmad de se porter candidat, des médias internationaux, très informés apparemment, ont laissé filer l’information que le comité d’Ethique va le sanctionner. Alors qu’aucun calendrier n’est sorti d’une manière officielle sur le site de la FIFA. Un coup bien préparé dont l’unique but n’est autre que d’écarter Ahmad de la course. En effet, Ahmad  grâce à qui Infantino, futur président de la FIFA, a fait connaissance de sa future Sg, Fatma Samoura, lors d’une soirée privée à Antananarivo le 13 novembre 2015, est devenu gênant. La guéguerre entre Ahmad, Infantino et Fatma Samoura ne date pas d’aujourd’hui.
Tout aurait commencé par la candidature du Maroc pour organiser la Coupe du monde 2026. En tant que président de la CAF, Ahmad a milité et fait campagne pour que cette fête quadriennale du sport roi revienne à l’Afrique, 16 ans après le mondial 2010 en Afrique du Sud. Une prise de position qui n’a pas plu du tout à la FIFA dont l’équipe roule plutôt pour la candidature de la paire Etats-Unis - Canada. C’est à cette dernière, notons-le, qu’est revenu l’honneur d’organiser la Coupe du monde en 2026. Le ciel bleu entre Infantino et Ahmad vire au gris et commence petit à petit à s’assombrir. L’éviction d’Ahmad s’avère nécessaire pour qu’il ne puisse pas contrecarrer le plan d’Infantino.
Le cas de Fatma Samoura, intérim à la tête de la CAF, a enfoncé encore un peu plus le clou. Administrateur délégué de la FIFA à la CAF, Fatma Samoura a vu la prolongation de son mandat à ce titre rejetée par le comité exécutif de l’instance africaine au début de cette année. Un refus qui reste en travers de la gorge de la Sg de la FIFA et de sa clique. Les dossiers sur Ahmad montés de toutes pièces ont été sortis du tiroir pour être réchauffés… Et ce fut chose faite comme l’atteste cette décision argumentée de la FIFA. 
Une institution, rappelons-le, qui a condamné et suspendu, à quelques mois des élections de la présidence de la FIFA, Michel Platini pour un soi-disant détournement ou prise d’intérêt de 2 millions d’euros.  Une accusation balayée d’un revers de main par la justice qui a blanchi l’ancien président de l’UEFA…..
Rata

Elle a réussi à berner tout le monde, même les autorités. Elle a d’abord avancé la maladie de sa fille âgée de 2 ans à l’époque, laquelle aurait souffert de graves problèmes cardiaques entraînant son inconscience répétitive à chaque émotion. Une fois l’évacuation sanitaire effectuée en 2019, avec diverses interventions auprès du Consulat de France à Madagascar, elle a de nouveau fait part de sa maladie d’insuffisance rénale chronique sur les réseaux sociaux, en sollicitant de l’aide notamment financière. Elle a réussi son coup puisque plus de 500 personnes l’a soutenue financièrement et matériellement depuis. Il a fallu que les responsables d’association qui l’ont soutenu fassent des recoupements pour constater qu’elle était derrière une escroquerie de haut niveau. « Sa fille n’était pas malade, contrairement à ce que tout le monde a cru, y compris nous. En fait, cette dame a utilisé des dossiers médicaux falsifiés pour nous duper. Après l’évacuation sanitaire de la petite, elle a été examinée dans deux différents centres hospitaliers en France, lesquels ont certifié que son cœur est normal et qu’elle n’a pas besoin d’une intervention chirurgicale », nous confie une source proche du dossier.
Placée sous mandat de dépôt
De retour au pays, en juillet 2019, après 3 mois de séjour en France, la maman de la petite a continué à inventer des problèmes et maladies pour soutirer de l’argent aux donateurs, notamment via Facebook. D’ailleurs, elle a reçu plusieurs aides versées directement par les généreux donateurs à son compte et ce depuis la soi-disant maladie cardiaque de sa fille jusqu’à son insuffisance rénale chronique nécessitant des dialyses, une autre maladie fictive. Ses manœuvres frauduleuses n’ont été découvertes qu’il y a quelques semaines, avec la poursuite de ses publications et d’autres sur des comptes « fake » sur Facebook. Les internautes ont fait le rapprochement avec les photos publiées ainsi que les contenus. Certains ont même dénoncé une escroquerie de haut niveau. Pour leur part, les associations qui l’ont aidée révisaient les dossiers, en contactant le médecin signataire des documents médicaux de la fillette, avant de constater des falsifications. Elles ont finalement porté plainte contre l’escroc, lequel a reconnu les faits. Après son rédéferrement au Parquet hier, la suspecte est placée sous mandat de dépôt à Antanimora, en attendant l’enquête au fonds prévue en début décembre. Affaire à suivre !
Recueillis par Patricia Ramavonirina



Le manque chronique de pluie est criant dans la partie Sud de la Grande Ile depuis des décennies pour ne pas dire des siècles. Le fléau se durcit ces derniers temps et pour cause, le changement climatique provoquant le réchauffement. Les habitants déplorent la rareté troublante de pluies durant les douze derniers mois. Aucun des régimes qui se sont succédé n’a réussi à changer le cours des faits. De la colonisation en passant par la Première République jusqu’à ce jour, les pauvres habitants du Sud ont dû se contenter de belles paroles, des promesses mirobolantes et des engagements non tenus. Le précédent régime de Rajaonarimampianina clamait des  « programmes émergents et structurants » qui, finalement, n’aboutissent à rien. Des études sans lendemain foisonnent. Pour certains observateurs aguerris, le grand Sud n’est autre qu’un grand cimetière de projets ! Il fut un temps où l’
« Adduction d’eau dans le Sud » (AES), en partenariat avec le gouvernement japonais, menait des études apparemment sérieuses axées sur la maîtrise de l’eau à Ambovombe (Région Anosy) et les autres localités durement touchées par la sécheresse. Mais, on se retrouve toujours à la case départ.
Il va falloir attendre l’avènement au sommet de l’Etat d’un jeune visionnaire et responsable pour que quelque chose daigne bouger. Le drame humanitaire atteint son niveau insupportable. Des vies meurent. Les enfants, surtout en bas âge, et les personnes âgées payent le plus. Les insuffisances alimentaires qui deviennent chroniques étranglent. En effet, la sous-alimentation (quantité) doublée de la malnutrition (qualité) complique sérieusement le cas. Le milieu naturel et les animaux d’élevage vivent dans des conditions intenables. Les rares cultures vivrières se détruisent à vue d’œil. L’élevage notamment bovin, principale activité économique de la région, peine à subsister. Les animaux meurent de soif. Et le malheur n’en finit pas ! Paraît-il que la malédiction s’enracine dans un cercle infernal !
Le Chef  de l’Etat Rajoelina Andry, depuis qu’il sillonnait le pays au moment de la pré et campagne électorale, avait déjà pris l’engagement d’apporter des solutions durables à ce problème … éternel. Des promesses qui ont donné visiblement beaucoup d’espoir aux habitants vivant dans cette partie déshéritée de l’Ile. A noter que c’est dans cette partie (Sud) que le candidat numéro 13 a raflé le maximum de voix.
Redevabilité oblige sinon esprit de fidélité à la parole donnée impose, le Président revient pour traduire en actes ses paroles. Des actions pour supporter à la base le développement économique de la région  seront mises en œuvre et la mobilisation immédiate des initiatives afin de prendre en charge l’amélioration des situations alimentaires invivables va être déclenchée, entre autres le « Kaly
tsinjo ».
Etant entendu l’immensité des besoins, le Gouvernement sollicite la contribution des partenaires techniques et financiers. Une démarche que les bailleurs soutiennent à bloc et ce grâce à la crédibilité des dirigeants, en première ligne le Président Rajoelina, dans la gestion des affaires nationales et qui justifie, en fait, la confiance de la communauté internationale à l’endroit du Gouvernement malagasy. Pour une fois, on peut espérer que le grand Sud, victime des aléas climatiques, verra un jour dans les meilleurs délais le déclenchement des options radicales et optimales.

La Rédaction


Cette semaine, la forte chaleur est très attendue. « Les activités et la vie quotidienne de la population des régions du Sud-ouest, Androy, Menabe et Sofia seront perturbées par des températures maximales anormalement chaudes allant de 37 à 41°C, et ce, jusqu’en fin de semaine », a alerté la Direction générale de la Météorologie à Ampandrianomby dans un communiqué hebdomadaire publié hier. Les prévisions météorologiques annoncent une hausse significative des températures maximales sur le grand sud, le centre ouest et nord-ouest. Le thermomètre affichera des températures minimales comprises entre 18 et 26° Celsius. Quant aux températures maximales, elles seront estimées à des valeurs comprises entre 29 à 41° C.
Particulièrement pour Antananarivo, le soleil sera aussi au rendez-vous avec une température maximale prévue entre 28° et 30° C. « Cette situation météorologie est due à un assèchement atmosphérique » explique un prévisionniste joint hier au téléphone. D’après ses explications, cette condition météorologique n’est pas pire que celle de l’année 2016 où Madagascar a senti le summum de la chaleur avec, et surtout, la décrue de la rivière d’Ikopa. Pour faire face à cette vague de chaleur, il est conseillé à toute la population de bien s’hydrater et de prendre les mesures nécessaires.
Pas de pluies estivales cette semaine
En outre, les orages se décaleront vers le centre ouest en s’étendant vers l’intérieur d’Atsimo- Andrefana à partir de ce vendredi. Des pluies orageuses classiques s’abattront sur la Région de  Sambirano. On prévoit quelques entrées maritimes sur le centre Est du pays en deuxième partie de la semaine. Ailleurs, le temps sera généralement sec. Bref, le retour généralisé des pluies estivales ne sera probablement pas pour cette semaine. Ce jour, un temps nuageux est prévu sur le versant ouest et sud de Madagascar, accompagné de quelques averses matinales sur Maintirano et Besalampy. Quelques faibles averses sont prévues sur le littoral d'Atsimo- Atsinanana et à Farafangana. Les côtes d'Atsinanana auront, quant à elles, des crachins locaux. Ailleurs, le temps sera nuageux ou partiellement nuageux.
Cet après-midi, des averses localement orageuses, précédées ou accompagnées de coups de vent local, seront observées sur Melaky, Bongolava, Menabe, la partie ouest des Régions d’Itasy, Vakinankaratra et Amoron'i Mania, ainsi que sur les Régions de Matsiatra- Ambony, Ihorombe, Anosy, la partie continentale d’Atsimo-Andrefana et Androy. A cela s’ajoutent des averses isolées autour de Sambirano. Le temps sera partiellement nuageux ou nuageux sur le reste.
Pour demain, des pluies toucheront les alentours de Melaky et Menabe. De plus, des averses orageuses pouvant être précédées ou accompagnées de rafales de vent seront présentes sur la partie continentale d'Atsimo-Andrefana. Il fera sec partout ailleurs. Jeudi prochain, des averses apparaîtront aux environs de Sambirano. On notera un temps sec sur le reste du pays.
Recueillis par K.R.

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Editorial

  • Une Opposition éreintée !
    L’Opposition politique que le pays a l’honneur ou le malheur de disposer aurait-elle les reins solides ? Apparemment non !En un quart de siècle d’existence, le « Tiako i Madagasikara » (TIM) montre déjà des signes d’usure, de faiblesse. Des rides avant l’heure trahissent le visage de ce parti fondé et présidé, d’une main de fer, par l’ex- magnat du lait, l’ancien Chef d’Etat Marc Ravalomanana dont l’empire économique s’effrite au fil des ans. Visiblement, le poids de l’âge pèse trop sur les épaules de « Ramose ». A soixante-quatorze ans, Ravalomanana peine à suivre le rythme mais il persiste à tenir la barre du parti. Ses lieutenants s’irritent de son entêtement. Mais on n’y peut rien ! Dada est intraitable. Et le déclin semble irréversible.Ibidem pour le « Rodoben’ny mpanohitra ho an’ny demokrasia eto Madagasikara » (RMDM), une plate-forme de l’Opposition concoctée par le pasteur Tsarahame et acolytes et…

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