Politique

Faciliter les réponses d'urgence pour sauver plus de vies. Le centre national de gestion des risques et des catastrophes au sein du Bureau national (BNGRC) est désormais opérationnel. Ce centre a pour mission de coordonner les opérations de riposte aux situations d'urgence. D'après le Coordonnateur résident du système des Nations unies à Madagascar, Issa Sanogo, Madagascar subit les conséquences du changement climatique et les catastrophes engendrent de plus en plus de dégâts. "Ce centre permet d'anticiper, répondre et suivre l'évolution de la situation. Outre la réduction des risques et des catastrophes, cela permet de sauver des vies et participer au…
Le Président de la République tend la main aux sinistrés. Pour sa première descente post-Cheneso, le Chef de l’Etat s’est rendu dans la Commune d’Ankaboka dans le District de Marovoay dans la Région de Boeny. Cette Commune a été sévèrement touchée par le passage du cyclone. 167 ménages y ont été déplacés et les boutres ont remplacé les moyens de locomotion traditionnels.
"Le miracle mauricien" était ce soir le thème de la conférence de Jean-Claude de l'Estrac, ancien ministre de l'île Maurice, ancien secrétaire général de la Commission de l'océan Indien, invité d'honneur du carrefour des entrepreneurs de l'océan Indien. Selon lui, dans les années 60, Maurice était plus pauvre que Madagascar. Maurice ne produisait que du sucre de canne.... et des enfants. Les Anglais avaient créé des écoles primaires et quelques collèges. Les jeunes mauriciens venaient faire leurs études à Madagascar où la France avait créé et soutenait une très bonne université.
Doucement mais sûrement. Alors que beaucoup pensait qu’il était mis de côté, le projet « Téléphérique » ou Transport par Câble (TPC) avance. D’ailleurs, ce grand chantier qui s’inscrit dans le cadre de la concrétisation d’un des « Velirano » du Président Andry Rajoelina a été à l’ordre du jour lors du Conseil des ministres qui s’est tenu hier au Palais d’Iavoloha. En effet, la mise en place de ce moyen de transport par câble s’aligne avec le Velirano numéro 11 qui fixe comme défi la modernisation de Madagascar.Ainsi, d’après le compte rendu du secrétaire d’Etat en charge des nouvelles…

Economie bleue - Maroc apprend de Madagascar

Publié le mercredi, 01 février 2023
« Les Marocains m’ont invité pour parler de nos efforts en économie bleue à Madagascar. Il s’agit de partager nos défis, nos succès et nos perspectives ». Le jeune ministre de la Pêche et de l'Economie bleue, Dr Mahatante Tsimanaoraty Paubert, a fait transmettre ce message.Samedi, le lendemain du lancement de la campagne de reboisement à Ilaka Est à laquelle son équipe et lui ont pris part comme tous les autres, le locataire d’Ampandrianomby s’est envolé pour la ville d’Agadir, la plus grande station balnéaire du Maroc située sur la côte atlantique du Sud du Royaume.Ce dernier est l’un des…
L’Indice de perception de la corruption (IPC) 2022 a été publié hier dans la matinée par Transparency International Initiative Madagascar. La Grande-île a le score de 26/100, soit le même qu’en 2021. La branche malagasy de Transparency international « s’inquiète » de cette « stagnation ». Cette entité de la société civile l’explique par « le manque d’investissement de l’Etat dans la Lutte contre la corruption (LCC) », citant à titre d’exemple le fait que dans la loi de finances rectificative de 2022, « le budget consacré à la lutte contre la corruption ne constitue que 0,128% du budget général…
Voyager à la rencontre des paysans et s’immerger dans leur quotidien à la campagne, tel est l’offre que l'Office régional du tourisme et la Direction interrégionale du tourisme souhaitent valoriser en tant que produit phare de la Région de Vakinankaratra en collaboration avec les spécialistes du secteur du tourisme rural. En effet, cette Région compte actuellement plus d’une dizaine de gîtes opérationnels et professionnels dans le domaine d’accueil par les villageois avec plus de 20 ans d’expérience.

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  • Nominations de préfets et de chefs de Districts - Le Syndicat des administrateurs civils répond à la polémique
  • Groupe Sodiat - 4000 employés et familles étranglés
  • Conseil des ministres - Près de 150 nominations aux hauts emplois de l’Etat
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  • Madagascar Airlines - Aucun pilote à bord

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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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