Publié dans Politique

Dénigrement du Covid-Organics - Mauvaise foi manifeste d’une certaine presse étrangère

Publié le dimanche, 03 mai 2020

Noua avions fait état dans l’une de nos précédentes éditions d’une vaste campagne médiatique de dénigrement du Covid-Organics (CVO), le remède mis au point par l’Institut malagasy de recherches appliquées (IMRA) en guise de réponse au nouveau coronavirus. En effet, il est évident que cette solution « made in Madagasikara » ne fait absolument pas l’affaire de ce qu’il convient de désigner par « mafia pharmaceutique internationale», un conglomérat  qui fait de la santé publique mondiale un véritable « pharmacobusiness »  et qui comprend, outre bien évidemment les multinationales de l’industrie pharmaceutique, des autorités sanitaires de certaines grandes puissances ainsi que, last but not least, certains grands noms de la presse internationale agissant pour le compte des précédents. Ces derniers, en première ligne actuellement dans cette mission  d’élimination de la course du CVO, ne s’embarrassent plus de scrupule et vont jusqu’à faire preuve de mauvaise foi manifeste dans le traitement des informations relatives à ce remède.

L’on constate en effet que tout ce qui peut discréditer le CVO est amplifié à outrance alors que, à l’inverse, toute information plaidant en faveur de ce remède est totalement occultée. C’est ainsi par exemple que, jusqu’à la date d’hier, certains articles de la presse étrangère continuent à reprendre les réserves émises dans son premier communiqué par l’Académie nationale de médecine de Madagascar (ANAMEM), en omettant  de signaler qu’entretemps, cette dernière a déjà publié un second communiqué  soutenant ouvertement le CVO. De même, on est prompt à dénicher et à rapporter abondamment les quelques publications sur les réseaux sociaux faisant état d’effets secondaires de ce remède mais bizarrement, on fait l’impasse sur les chiffres qui plaident en faveur du CVO depuis qu’il a fait l’objet d’une large distribution et qu’il a été utilisé dans le traitement des patients du Covid-19.

On pourrait, à la limite, comprendre cette attitude à sens unique de la part des médias étrangers dans la mesure où ces derniers ont d’évidents intérêts communs avec ceux qu’ils servent. Mais que dire de certains Malagasy de chair et de sang qui, l’on ne sait dans quel but, se mettent à jeter tout de suite le doute sur une découverte malagasy  en train de faire ses preuves. « Il serait honteux que les effets produits par le CVO soient plus désastreux  que les ravages causés par le Covid-19 lui-même », avait en effet prédit Ketakandriana Rafitoson, déléguée générale de Transparency International, dans une déclaration relayée récemment sur les réseaux sociaux. Un avertissement qui vaut ce qu’il vaut de la part d’une Malagasy sur un produit malagasy.

La Rédaction 

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Editorial

  • Quid de la précampagne !
    La CENI réagit. L’institution d’Alarobia tire la sonnette d’alarme. Elle rappelle à l’ordre et met en avant la règle du jeu sinon la loi relative à la précampagne, le moment précis avant la campagne électorale proprement dite. Mais d’emblée, une question pertinente se pose « quelle loi ? »Le décret d’application n° 2018 – 640 de la Loi organique n° 2018 – 008 du 11 mai 2018 relative au régime général des élections et référendum et le Code électoral, en particulier, ne fait pas état de manière précise sur les tenants de la précampagne notamment par rapport à la campagne électorale. La délimitation nette entre la précampagne et la campagne manque de visibilité. Le flou et le vague qui prédominent dans le cadre légal donné offrent, de fait, une occasion à certains candidats, apparemment malins, de jouer entre les mailles. Face au laxisme qui prévaut sur terrain de la précampagne…

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