Publié dans Politique

Monde des médias - Décès de Raharijaona Fabiola alias Farah Masinjanahary

Publié le mercredi, 30 septembre 2020

Le milieu du journalisme est en deuil. La journaliste spécialisée dans la rubrique social, Raharijaona Fabiola connue sous le nom de plume Farah Masinjanahary est décédée, hier, à l’âge de 43 ans. Elle a succombé à la suite d’une longue maladie des reins à son domicile à Ambanitsena. Pour beaucoup de journalistes qui ont pu la côtoyer, Farah représente la gentillesse et la simplicité incarnée. A cela s’ajoute sa grande passion et sa dévotion pour le métier. Raharijaona Fabiola intègre le monde du journalisme en 2003 en tant que journaliste social au sein du journal « Le Quotidien ». Par la suite, elle travaille chez « Tribune de Madagascar » avant d’intégrer le groupe « l’Express de Madagascar ». Toujours partante pour des descentes sur le terrain, Farah enchaînaient les reportages et formations au niveau national et international. Les droits de l’enfant et l’environnement constituent les deux principales thématiques qui lui tenaient à cœur. D’ailleurs, ses publications dans ce sens lui ont valu plusieurs récompenses. Elle était la lauréate de nombreux concours organisés notamment par l’UNICEF pendant plusieurs années successives. 
La Rédaction du journal « La Vérité » présente ses sincères condoléances à la famille de la défunte.
S.R.
 

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Editorial

  • Que d’un raccourci !
    On n’en finit … jamais d’épiloguer sur la galère que la Société nationale d’eau et électricité fait subir aux pauvres et impuissants abonnés. Il n’y a pas un jour ou une nuit sans que la JIRAMA fasse la sienne. D’après les constats quotidiens de tous, les délestages et les coupures se durcissent au fil du temps. Sur le Réseau interconnecté d’Antananarivo (RIA), c’est le gala ininterrompu des coupes et des arrêts des machines et appareils ménagers. Ampoules, frigos et autres machines délicates risquent fort d’être endommagées. Au beau milieu du souper, en pleine concentration d’une séance de film, en plein travail dans les ateliers de soudure, en pleine coupe de cheveux ou brushing dans les salons de coiffure, en pleine concentration d’un travail de connexion dans un cybercafé, etc. les coupures intempestives du courant gâchent tout ! La vie quotidienne, de jour comme de nuit, des usagers de la JIRAMA…

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