Publié dans Politique

Reboisement scolaire - Les directions régionales à l’œuvre

Publié le dimanche, 24 janvier 2021

La campagne de reboisement de l’île pour cette année 2021 a débuté le 19 janvier dernier. Le ministère de l’Education nationale compte largement contribuer à cette campagne à travers le reboisement scolaire. 

Le Président Andry Rajoelina concrétise chaque année son 10ème Velirano, la gestion durable des ressources naturelles, à travers des campagnes de reboisement intensif. Cette année, la campagne a débuté le 19 janvier dernier à Taolagnaro. Le lancement de la campagne s’est fait sous la houlette du Chef de l’Etat, avec l’assistance de nombreux ministres.

Pour le ministère de l’Education nationale, un projet particulier a été mis en place pour marquer cette campagne, le reboisement scolaire. Le lancement officiel de ce dernier s’est fait dans le District d’Ambohidratrimo, Analamanga.

Suite au lancement officiel du reboisement scolaire, les démembrements du ministère ont emboité le pas. Tel était le cas par exemple de la DREN d’Ihorombe. 50 000 jeunes plants ont été mis en terre sur une surface de 20 ha. Pour la DREN d’Atsimo- Andrefana, 5 600 jeunes plants ont été plantés.

En tout cas, pour le ministère de l’Education nationale en particulier dans le cadre du reboisement scolaire, toutes les CISCO y ont pris part activement ainsi que de nombreuses ZAP au niveau de chaque CISCO. Le but étant de sensibiliser et d’initier les jeunes élèves sur l’importance du reboisement et de la préservation des arbres en particulier et de l’environnement en général.

Mais le reboisement à lui seul ne suffit pas. Il est important de faire un suivi des plants mis en terre et de les protéger. Il s’agit d’un travail de longue durée dont chaque citoyen au niveau de tous les Fokontany est responsable.

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Editorial

  • Secteur en panne !
    En mauvaise posture, le secteur éducatif malagasy va de mal en pis. Tel un navire en panne, en Haute mer, le moteur bloqué, l’équipage perd le contrôle. Le bâtiment tangue de gauche à droite. A la dérive, il risque le naufrage. A l’époque coloniale, l’instruction publique représentait l’un des principaux points d’achoppement du pouvoir en place. A l’aube de l’occupation, le Général Gallieni, premier gouverneur général de Madagasikara, se heurtait à une difficulté majeure : déterminer quel type d’instruction ou quel modèle d’enseignement, devrait être appliqué dans la colonie (Madagasikara) ? Un enseignement élitiste, de haut niveau, ou un enseignement élémentaire, rudimentaire ? Et encore « quelle langue d’enseignement adoptée ? » Deux grandes orientations ont été primées par le Général gouverneur : dispenser un enseignement pour un cursus éducatif de haut niveau pour les enfants des colons. D’où la création des lycées à Antananarivo, le lycée Gallieni (1908) et…

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