Publié dans Politique

Opposition - Un mouvement anti – progrès !

Publié le mardi, 09 février 2021

Une opposition dépourvue de patriotisme. Tel résume les gesticulations de ces politiciens qui agissent à contre – courant en ce moment.

Les intentions des membres de l’opposition, qui enchaînent les actes de déstabilisation ces derniers jours, sont aujourd’hui plus que flagrantes. A seulement deux années de mandat du Président Andry Rajoelina et alors que la période de mi – mandat n’est pas encore atteinte, les partisans de Marc Ravalomanana et consorts osent déjà parler d’un échec du régime. Qui plus est, un échec utopique puisque les promesses de l’homme fort du pays sont déjà en cours de concrétisation. L’on peut notamment citer la réhabilitation et le bitumage du légendaire RN44 menant vers Ambatondrazaka qui est déjà praticable, la construction du stade « Barea » à Mahamasina dont les travaux approchent de leur terme et l’endroit pourra accueillir un match international dès le mois de mars prochain. Il n’en reste pas moins pour les multiples projets à venir.
« 2021 sera une année d’efforts et de réalisations ». Ces propos du Président Andry Rajoelina lors de son discours dans la nuit du réveillon du Nouvel an sont annonciateurs des grands chantiers liés aux fameux « Velirano » du Chef de l’Etat. Une fois que lesdits projets seront achevés, l’opposition sera littéralement à court d’arguments. Craignant ainsi de ne pas faire le poids lors du prochain rendez – vous présidentiel en 2023, l’opposition préfère brûler les étapes en accumulant les manœuvres anti – progrès.


Des projets impressionnants


Parmi les principaux projets pour cette année figure, par exemple, l’installation de « Tramway » comme nouveau moyen de transport. Un projet innovant qui permettra de révolutionner le monde des transports à Madagascar. A cela s’ajoute la mise en place d’une grande autoroute reliant Antananarivo et Toamasina. La construction de la nouvelle ville « Tana-Masoandro » s’inscrit aussi parmi les projets phares du régime et dont le coup d’envoi est normalement prévu cette année. Une cité qui sera finalement implantée à Imerintsiatosika et qui pourra être une solution à la surpopulation d’Antananarivo, classée comme l’une des villes les plus peuplées du monde avec près de 3 millions d’habitants.  Il va sans dire de la menace permanente d’inondation qui guette la Capitale à chaque période de pluie.
Le Président de la République a aussi insisté sur l’amélioration des interventions et surtout la transparence dans l’utilisation des ressources destinées à venir en aide à la population locale. Pour éradiquer définitivement le Kere, l’installation de forages pour un meilleur accès à l’eau potable ainsi que la mise en place d’une usine de production de compléments alimentaires s’inscrivent parmi les mesures à long terme. Le principal objectif est que la population du Sud soit la plus autonome possible à l’horizon 2021.
La Rédaction

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Editorial

  • Vouée à l’échec ?
    Le pays est en plein chantier d’élaboration d’une nouvelle Stratégie nationale pour la lutte contre la corruption (et l’impunité), la SNLCC. Celle qui est en vigueur arrivera à son terme à la fin de l’année en cours après dix ans de mise en œuvre dans la bataille contre cette « ennemie » apparemment imbattable. Mise en selle en 2014, la SNLCC actuelle finira sa course incessamment. Mi-figue, mi-raisin, le bilan de la décennie de la Stratégie nationale de lutte contre la corruption balance entre un échec et une réussite. Le Comité pour la sauvegarde de l’intégrité (CSI) se trouve dans l’embarras pour traduire la situation exacte. Sahondra Rabenarivo, la présidente du CSI, déplore plus d’une fois l’existence de certains facteurs de blocage dans le processus normal de la lutte contre la corruption. Il existe un dysfonctionnement perçu comme un frein au bon déroulement du système de lutte contre la corruption.

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