Publié dans Politique

Serial killer - Un quinquagénaire récidiviste fut repris

Publié le vendredi, 09 avril 2021

Un record en matière de crime pour cet homme de 56 ans résidant dans le quartier rural d’Ambokala, dans le District de Manakara. Le 16 mars dernier, la Police l’avait arrêté pour la première fois pour le meurtre de son épouse, la deuxième puisqu’il s’est déjà marié à une autre quelques années plus tôt. Et pourtant, ce multirécidiviste sans scrupule, puisqu’il s’en agi un, venait à peine de sortir de la prison la veille de son meurtre, la énième du genre. Et pas des moindres. En 2004, il a alors trucidé sa première épouse. Ce qui lui a valu une peine de dix années de prison. Mais sitôt remis en liberté en 2014, il a assassiné de nouveau. Cette fois, c’est son beau-père qui a payé le plus lourd tribut à ses habitudes pour tuer. Naturellement, il fut de nouveau condamné avant que la Justice ne l’ait relâché le 15 mars dernier où il a éliminé sa deuxième épouse. Mais sitôt son crime consommé, le quinquagénaire a pris la fuite pour se cacher ailleurs.
Depuis, les éléments de la direction de la sécurité publique Vatovavy-Fitovinany ont ouvert une enquête. Finalement le 6 avril dernier, leurs efforts ont été couronnés de succès. Ils ont pu retrouver les traces du fugitif à Ambokala même où le suspect fut arrêté. Pour retracer brièvement les faits, le corps sans vie de la troisième victime du quinquagénaire fut trouvé le 16 mars dernier à Ambodihara, Commune rurale de Mahabako, toujours dans le District de Manakara.
Lors d’un constat, la Police décrète que la victime avait été étranglée, et que le principal suspect dans l’affaire a disparu complètement du circuit. Depuis, les Forces de l’ordre n’ont plus voulu le lâcher.

F.R

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Editorial

  • Opération délicate
    Le faux et l’usage de faux envahissent l’Administration, grand « A » s’il vous plaît, à savoir le domaine général qui englobe tous les secteurs d’activités de l’Etat ou de la République. Faux et usages de faux, du jargon populaire « fosika », faux diplômes ou certificats de fin d’étude gangrènent presque tous les Corps de métier de l’Administration entre autres les départements clés comme l’Enseignement supérieur, l’Education nationale, la Justice, la Régie financière, les Forces de défense et de la sécurité (FDS), etc. Les concours d’entrée dans l’administration publique sont infestés de faux dossiers. Des diplômes de Baccalauréat, de Licence, de Master I ou II se trouvent les plus menacés. Il y a eu même certains de faux diplômes de Doctorat !

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