Publié dans Politique

Parti Freedom - Diriger un pays requiert une préparation

Publié le mardi, 09 janvier 2024

Il faut avoir les bagages nécessaires pour prétendre à devenir un dirigeant compétent. C’est dans cette optique que la fondatrice du parti Freedom, Lalatiana Rakotondrazafy, lors de son annuel rassemblement « université du parti » a réitéré que tout dirigeant a besoin de se préparer. « Ce n’est pas une fois au pouvoir qu’on improvise la politique à mener. Cela a besoin d’une formation de longue haleine. Ainsi, les membres du parti ont été initiés à cet état  d'esprit ». 

L’un des principaux objectifs du Freedom est l’éducation politique. Cette année il y avait donc une formation pour les membres autour de trois thèmes. D’abord, sur la participation à un débat politique, puis la prise de parole en public et enfin le leadership.  Une initiation au droit constitutionnel a été aussi menée étant donné que la connaissance des lois est fondamentale. Selon les propos de la présidente du parti, « gérer un pays requiert des compétences, de l'expérience et une préparation complète. Tous les membres du parti sont censés être des dirigeants et être responsables. C'est aussi pour cela que l'université du parti est organisée chaque année ».

En plus de cela, la justice sociale a été aussi l’un des focus lors de cette réunion. Cela rejoint en effet la politique du Président Andry Rajoelina en prenant soin  des plus démunis. « Les mesures socio-économiques comme la distribution de Vary mora et de kits solaires qui améliorent le quotidien du peuple sont en adéquation avec l’idéologie du parti », indiqua-t-elle.

Interrogée sur la possibilité d’une reconduction au prochain Gouvernement l’ancienne ministre de la Communication et de la Culture a répondu qu’elle est prête à apporter sa contribution. « Etre ministre n’est pas le seul moyen  de faire avancer notre pays. Je suis prête à accomplir mon devoir là où le Président Andry Rajoelina en décide ».

 

N.R.

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Editorial

  • Lueur d’espoir !
    Tout n’est pas noir. Une source de lumière apparait à l’horizon. Et l’espoir est permis. En dépit des galères éternelles que la misère nous impose, que l’insécurité nous étreint et que la JIRAMA nous empoisonne tous les jours, une lueur d’espoir nous embaume le cœur. Tous les efforts sont mis en branle mais la misère persiste et signe. Avec un revenu mensuel moyen de 40 euros ou 43 dollars par habitant, de sources autorisées de la Banque mondiale, Madagasikara reste parmi les cinq pays les plus pauvres de la planète. A titre d’illustration, Rwanda 76 dollars, France 3482 euros. Comparaison n’est pas raison mais les chiffres sont là. Ils évoquent certaines situations comparatives indéniables. Les insuffisances chroniques alimentaires surtout dans le grand Sud trahissent malgré les tentatives de certains responsables de relativiser le cas.

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