Publié dans Politique

Toamasina - Le corps d'un étranger retrouvé dans l'océan

Publié le lundi, 26 février 2024

Les faits sont survenus en mer dimanche dernier. En fait, le corps sans vie d'un étranger, un Européen, a dû être repêché de l'océan au large de Toamasina.

Un constat : la victime qui est dans la quarantaine était complètement dénudée, du moins selon des témoins oculaires. Les autorités maritimes locales ont alors dépêché un navire pour récupérer la dépouille de l'inconnu, qui flottait au milieu des vagues. D'après une source, la victime ne portait aucune trace de blessures, ni autres signes physiques susceptibles de penser à un simple accident, voire un suicide, ou au pire à un meurtre déguisé.

C'est là que le bât blesse car on ignore tout encore sur la victime, encore moins des circonstances de sa mort. Se serait-elle morte à la suite d'une noyade ? Ou bien, y-a-t-il d'autres motifs qui permettraient d'expliquer les circonstances de la mort de ce ressortissant étranger ? 

Difficile de répondre encore sur ce tas de questions, les autorités hiérarchiques concernées s'étant muré dans un silence tombal, du moins au moment où nous avons voulu les joindre, hier. Enfin, la balle est dans le camp des enquêteurs pour apporter des éclaircissements sur ce drame.

 

F.R

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Editorial

  • Lueur d’espoir !
    Tout n’est pas noir. Une source de lumière apparait à l’horizon. Et l’espoir est permis. En dépit des galères éternelles que la misère nous impose, que l’insécurité nous étreint et que la JIRAMA nous empoisonne tous les jours, une lueur d’espoir nous embaume le cœur. Tous les efforts sont mis en branle mais la misère persiste et signe. Avec un revenu mensuel moyen de 40 euros ou 43 dollars par habitant, de sources autorisées de la Banque mondiale, Madagasikara reste parmi les cinq pays les plus pauvres de la planète. A titre d’illustration, Rwanda 76 dollars, France 3482 euros. Comparaison n’est pas raison mais les chiffres sont là. Ils évoquent certaines situations comparatives indéniables. Les insuffisances chroniques alimentaires surtout dans le grand Sud trahissent malgré les tentatives de certains responsables de relativiser le cas.

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