Publié dans Politique

Forces armées - Pluie d’étoiles chez les officiers

Publié le lundi, 26 février 2024

Des officiers issus de la Gendarmerie et de l’Armée ont été élevés au rang de Général de corps d’armée, de division ou de brigade.

Cette cérémonie de remise de galons à Ampahibe, hier, fait suite aux trois décrets édictés le 23 février 2024 pour nommer trente militaires et gendarmes aux grades de Généraux de corps d'armée, de généraux de division et de généraux de brigade. Ces nominations ont eu un impact significatif sur la structure de commandement de l'Armée et de la Gendarmerie nationale. En tout, 17 " Général de brigade" ont été élevés au rang de "Général de division" et  11 colonels ont eu leur étoile de " Général de brigade".

En plus, parmi les grosses pointures figurent le Général de corps d'armée Lala Monja Delphin Sahivelo, ministre des Forces armées, et le Général de corps d'armée Andriantsarafara Andriamitovy Rakotondrazaka, ministre délégué chargé de la Gendarmerie nationale. Actuellement, l’Armée compte trois Généraux de corps d'armée toujours en exercice dans ses rangs avec les Généraux Richard Rakotonirina et Josoa Rakotoarijaona, anciens ministres de la Défense nationale. Du côté de la Gendarmerie on a donc deux Généraux de corps d'armée en activité avec l’ancien SEG, le Général Serge Gellé.

Porter de telles étoiles demande un dévouement à la nation « Il faut faire attention dans l’accomplissement de son devoir, il faut de la détermination pour en être digne. Tout le monde ne devient pas Général. Je souhaite que ces Généraux soient capables de remplir les fonctions qui leur sont confiées. Ils seront dignes de la confiance que leur accorde le Président Rajoelina Andry et ils porteront haut l’honneur de l'Armée malagasy », indiqua le ministre de la Défense nationale, Monja Delphin Sahivelo.  Il a aussi ajouté que cette distinction a été le fruit d’un comportement exemplaire dans leurs tâches que ce soit en matière de corruption ou de savoir-faire. En tout cas, cette pluie d’étoiles a été le moment de  des vœux pour ceux qui ont assisté à  la cérémonie.

 

Nikki Razaf

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Editorial

  • Un phare
    « Je voudrais être un phare qui voulais illuminer les démunis et leur apporter la lumière », telle est la déclaration, érigée en confession de foi, de Harilala Ramanantsoa, porte étendard n° 7 de l’IRMAR – UPAR aux communales et municipales d’Antananarivo-Renivohitra prévues le 11 décembre prochain. A l’issue d’un culte d’action de grâce et de louange au temple du Palais de Manjakamiadana, Harilala Ramanantsoa répond à la question des confrères pourquoi a-t-elle choisi ce site historique pour organiser un culte qu’elle devait déclarer ainsi. Qu’est-ce qu’un phare ? Le Robert le définit en ces termes « une tour élevée sur une côte ou sur un îlot, munie à son sommet d’un feu qui guide les navires ». Sur un véhicule, c’est un feu à longue portée pour offrir la meilleure visibilité la nuit au conducteur.

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