Publié dans Politique

Développement - Une mission spéciale de la Banque mondiale à Madagascar

Publié le lundi, 22 juillet 2024

Une collaboration renouvelée et renforcée entre la Banque mondiale et la Grande île. La directrice du Groupe économique, commercial et d'investissement de cette institution, Manuela Francisco, effectue une mission spéciale à Madagascar. Cette visite a été marquée par des discussions importantes avec le Premier ministre Ntsay Christian, mettant en lumière divers aspects liés au développement du pays. Lors de sa rencontre avec le Premier ministre, elle a abordé plusieurs points clé. D’abord la croissance du Produit intérieur brut (PIB) qui est d'un facteur clé pour stimuler l'économie et améliorer le niveau de vie des malagasy. Ensuite, la création d'emplois  afin de réduire le chômage et favoriser l'inclusion sociale. 

La priorité sur la formation des jeunes en investissant dans l'éducation et dans le renforcement des compétences pour assurer un avenir prometteur aux générations futures a été également abordée. Enfin, le secteur de l'énergie qui est un domaine crucial pour le développement durable et la compétitivité économique du pays.
La volonté de travailler ensemble et le dialogue constructif entre les différentes parties prenantes sont des éléments clés pour surmonter les défis actuels et bâtir un avenir meilleur pour tous. De ce fait, le Premier ministre a aussi partagé avec Manuela Francisco la Politique générale de l’Etat en matière de développement économique. Il a mis en avant les efforts déjà déployés et les prochaines étapes à suivre pour promouvoir la croissance et la prospérité du pays. Cette rencontre souligne l'importance de la coopération entre Madagascar et la Banque mondiale. Cette collaboration est essentielle pour atteindre les objectifs communs de croissance et de prospérité, en œuvrant ensemble pour un développement durable et inclusif. La mission spéciale de la Banque mondiale à Madagascar témoigne de l'engagement continu de l'institution envers le développement durable et inclusif des pays partenaires. 
Nikki Razaf

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Editorial

  • Lueur d’espoir !
    Tout n’est pas noir. Une source de lumière apparait à l’horizon. Et l’espoir est permis. En dépit des galères éternelles que la misère nous impose, que l’insécurité nous étreint et que la JIRAMA nous empoisonne tous les jours, une lueur d’espoir nous embaume le cœur. Tous les efforts sont mis en branle mais la misère persiste et signe. Avec un revenu mensuel moyen de 40 euros ou 43 dollars par habitant, de sources autorisées de la Banque mondiale, Madagasikara reste parmi les cinq pays les plus pauvres de la planète. A titre d’illustration, Rwanda 76 dollars, France 3482 euros. Comparaison n’est pas raison mais les chiffres sont là. Ils évoquent certaines situations comparatives indéniables. Les insuffisances chroniques alimentaires surtout dans le grand Sud trahissent malgré les tentatives de certains responsables de relativiser le cas.

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