Société

Issues en majorité des familles en situation de précarité. Les élèves inscrits au sein de l’Ecole primaire publique (EPP) Ankiliabo, dans le District de Manja de la région Menabe, ont eu des difficultés avec les conditions d’apprentissage. Une des raisons pour laquelle la société « China Railway 18th Bureau Group » a apporté son soutien pour y remédier. Le 1er décembre dernier, ladite société chinoise a ainsi remis plus de 2400 fournitures scolaires, dont des cartables, cahiers, stylos à bille, crayons et gomme, ainsi que des ballons de foot au profit des élèves et des enseignants au sein dudit établissement…
2000 ariary. Tel est le prix minimum d'une simple décoration de Noël vendue en centre-ville. Les détaillants ont augmenté de 25 à 100% le prix de ces accessoires. « Une guirlande d'un mètre vendue auparavant à 1500 ariary s'acquiert désormais à 2500 ariary. Quant au paquet de boules de 6 pièces, couleurs confondues, il se vend actuellement à 3000 ariary, contre 2000 ariary l'année dernière. En général, le prix des décorations de Noël varie entre 2000 et 200 000 ariary. Quant au sapin, le prix varie entre 12 000 et 240 000 ariary, selon la taille et la qualité.
La brigade des stupéfiants de la police a procédé à un coup de filet de sept jeunes hommes âgés entre 13 et 26 ans pour usage de drogue dure, le 1er décembre dernier à Soanierana. De plus, les Forces de l'ordre ont fait la saisie de toute une panoplie de matériels compromettants, des preuves formelles susceptibles d'enfoncer les concernés. Dans la liste, mentionnons 7 cocottes d'héroïne, quatre seringues don't l'une est encore chargée d'héroïne, trois paquets de came, enfin deux balances électroniques.
Le retour d'exil du Dais royal de Ranavalona III ne doit être qu'un début. En 1895, Ranavalona III, proclamée reine de Madagascar à l'époque, a hissé le drapeau blanc à Manjakamiadana pour affirmer sa soumission aux envahisseurs français. De coutume, dans ce genre de situation, les pays vainqueurs peuvent emporter plusieurs objets du pays vaincu pour témoigner de leur triomphe. « Ainsi, des centaines d'objets des royautés de l'époque ont été saisis, voire même séquestrés, par les envahisseurs d'antan.
Les autorités malagasy ont toujours avancé que Madagascar a maîtrisé la Covid-19. Cependant, elles précisent que le pays n'est pas encore sorti du danger. Face à une quelconque menace de reprise hypothétique de cette pandémie sur le territoire national, le ministère de la Santé publique rassure que des dispositifs ont été préparés et sont déjà prêts pour y faire face. « Des équipes composées de personnels de santé se sont mobilisées, notamment au niveau des zones épargnées par le virus. Cependant, elles ont récemment répertorié quelques individus testés positifs.
Le calvaire continue pour les habitants du Fokontany d’Ampasamadinika. Au moins 5 maisons sont menacées de s’effondrer à tout moment, y compris un musée âgé de 200 ans. Ces habitations se trouvaient auparavant à une dizaine mètres du ravin. Mais actuellement, elles n’en sont plus qu’à quelques mètres puisque les terres se trouvant aux alentours s’écroulent peu à peu. D’autres présentent déjà des fissures selon la description d’un père de famille habitant dans ce quartier par rapport au danger qui pèse sur les riverains.
La crise collective de possession dite de l’Ambalavelona” et touchant des élèves, en majorité des jeunes filles, fait parler d’elle à Mananara-Nord. L’école privée Mamafisoa d’Antanambaobe est actuellement touchée de plein fouet. Cette situation est susceptible de conduire à sa fermeture temporaire annoncée pour vendredi prochain, et du moins après les examens du 4 décembre prochain. A entendre dire une source auprès de la Gendarmerie, ce n’est pas la première fois que cet établissement scolaire a été le théâtre de telle crise de possession d’élèves. La dernière en date remonte le matin du lundi 30 novembre dernier. Selon toujours les…

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Editorial

  • Opération délicate
    Le faux et l’usage de faux envahissent l’Administration, grand « A » s’il vous plaît, à savoir le domaine général qui englobe tous les secteurs d’activités de l’Etat ou de la République. Faux et usages de faux, du jargon populaire « fosika », faux diplômes ou certificats de fin d’étude gangrènent presque tous les Corps de métier de l’Administration entre autres les départements clés comme l’Enseignement supérieur, l’Education nationale, la Justice, la Régie financière, les Forces de défense et de la sécurité (FDS), etc. Les concours d’entrée dans l’administration publique sont infestés de faux dossiers. Des diplômes de Baccalauréat, de Licence, de Master I ou II se trouvent les plus menacés. Il y a eu même certains de faux diplômes de Doctorat !

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