Société

1 000 camions circulent quotidiennement dans la Région Analamanga. Et au moins 3 000 personnes entrent et sortent chaque jour de cette Région. Cependant, le transport en commun est un moyen de transmission rapide du coronavirus. En effet, si le transport de marchandises a été libéré afin d’assurer le besoin de la population en cette période de crise, une faille dans le contrôle de la santé de ces transporteurs peut être fatale pour la Nation.
Comme nous l’avons annoncé dans l’une de nos précédentes publications, le gendarme stagiaire de la Force d’intervention (FIGN), pointé du doigt d’être à l’origine de graves blessures par tirs d’arme à feu à la fois sur son homologue, son supérieur hiérarchique, et un passant, risque vraiment gros. Les faits sont survenus au cours de la semaine passée à un check point de Gendarmerie à Ambohimangakely. Presque une semaine après, au jour le jour, le concerné était déféré au Parquet à la suite de quoi cette instance judiciaire l’avait ensuite placé sous mandat de dépôt à la maison de force à…
8177. Du 1er au 27 juillet derniers, le Centre de dépistage Covid-19 situé au Village Voara Andohatapenaka a réalisé 8177 prélèvements pour confirmer la contamination au coronavirus. Ce sont des patients présentant de formes symptomatiques qui ont recouru à cette étape importante. Aucun chiffre, se rapportant au taux de positivité après analyses au sein de laboratoires, n'a été communiqué. Mais d'après les statistiques partagées par le Dr Manitra Rakotoarivony, directeur de la Promotion de la santé du ministère de la Santé publique, ce Centre Médical Covid-19 à Andohatapenaka a enregistré 251 visiteurs victimes de problème respiratoire. Et 76 d'entre eux…
Multiplication des gestes de solidarité sur tout le territoire malagasy. Dans son engagement dans la lutte contre la Covid-19, Airtel Madagascar vient de répondre à l'appel à solidarité récemment lancé par le ministère des Postes, de la Télécommunication et du Développement numérique (MPTDN). Ledit opérateur a ainsi remis 10 000 masques lavables et réutilisables à la population dans le besoin, afin d'accompagner l'observance des gestes barrières. D'un autre côté, ladite société leader en matière de télécommunication a remis un kit de connectivité internet au profit d'un centre de traitement, pour faciliter le suivi de l'évolution de la pandémie.
Deuxième semaine d’accueil des patients de la Covid-19. Les personnels de santé œuvrant dans les centres de santé de base niveau 2 (CSB II) travaillent sans répit ces derniers jours, avec plus de tâches. A l’exemple des CSB II d’Ambohipo, Isotry central et Antanimena, ces centres accueillent en moyenne une soixantaine de patients présentant des signes de la Covid-19, en plus de ceux qui y viennent pour d’autres prestations sanitaires. « L’on enregistre des patients avec des cas légers et modérés du coronavirus, hormis quelques cas graves. Si la majorité des patients n’ont pas encore fait de dépistage, d’autres ont…
Malgré la pandémie de Covid-19, le développement et les infrastructures, qui font partie des projets présidentiels, n’ont pas été délaissés dans la Région de l’Amoron’i Mania. C’est ce qui a d’ailleurs poussé l’actuel chef de région, Laza Fanantenana Herinjakatahina, à témoigner sa reconnaissance envers le Chef de l’Etat. Il a souligné qu’en marge de notre combat contre la Covid-19 dans l’Amoron’i Mania, la construction des infrastructures est sur la bonne voie. « Les travaux progressent selon les directives du Président », a-t-il déclaré en substance.
La localité de Bemasoandro à Itaosy a été le théâtre d’une très violente scène de lynchage d’un suspect, dans l’après-midi d’hier. En effet, ils étaient deux à agresser une commerçante. Cependant, la réaction des riverains, ayant assisté au scénario de l’agression, était vive. Après avoir pourchassé les suspects après l’alerte, ils ont réussi à capturer vivant l’un des fugitifs, alors que ces derniers cherchaient à s’échapper à travers une rizière. Sans autre forme de procès, agissant en tant que justiciers, ces riverains ont lynché le suspect, le rouant ainsi de coups, manquant ainsi de lui ôter la vie.

Fil infos

  • Persécutions politiques - Les collaborateurs de Rajoelina dans le viseur du régime
  • Fête de la Nativité - Pas de trêve politique
  • Administration public - Six Chefs de Région "par intérim" nommés 
  • Haute Cour Constitutionnelle - Des soi-disant démissions contestées
  • Gouvernement de la Refondation - Distribution de vivres dans le Grand Sud en fin de semaine dernière
  • Parlement - Clap de fin pour le Sénat
  • Face-à-face entre un fourgon et un camion - Un survivant dans un état critique
  • PLFI 2026 - Un budget insuffisant et opaque selon le Collectif des citoyens
  • Famille Ravatomanga - Domicile et bureau « visités » à une heure du matin…
  • Fausses et illégales perquisitions - Des auteurs toujours en circulation

La Une

Pub droite 1

Editorial

  • Opération délicate
    Le faux et l’usage de faux envahissent l’Administration, grand « A » s’il vous plaît, à savoir le domaine général qui englobe tous les secteurs d’activités de l’Etat ou de la République. Faux et usages de faux, du jargon populaire « fosika », faux diplômes ou certificats de fin d’étude gangrènent presque tous les Corps de métier de l’Administration entre autres les départements clés comme l’Enseignement supérieur, l’Education nationale, la Justice, la Régie financière, les Forces de défense et de la sécurité (FDS), etc. Les concours d’entrée dans l’administration publique sont infestés de faux dossiers. Des diplômes de Baccalauréat, de Licence, de Master I ou II se trouvent les plus menacés. Il y a eu même certains de faux diplômes de Doctorat !

A bout portant

AutoDiff