Société

Une journaliste de terrain. Cette appellation suffit à décrire Riana Raymond (alias Riana kely, qui signifie « Petite Riana », de par sa petite taille). Cheveux courts et une allure de garçon manqué, elle donne immédiatement l’impression d’une femme forte et audacieuse. Cela fait 18 ans que cette mère de deux enfants a intégré le monde du journalisme. Curieuse de nature, elle reconnait que le journalisme constitue le seul et unique métier qui garantit son épanouissement. Son ultime objectif, combattre le fléau de corruption à travers ses investigations !
Si l’attaque ayant visé une famille et perpétrée par une vingtaine d’individus armés la nuit du 4 mars, est une affaire, l’arrestation par une patrouille de gendarmes d’un policier quelques heures après les faits et dans les parages, en est une autre. Il va sans dire que le soupçon de ces gendarmes pesait sur leur homologue de la Police du fait que ce dernier avait de surcroit son arme de service, un Patt49 ou pistolet automatique. Du coup, le commandant de l’Unité spéciale d’intervention (USI), le commissaire Patrick Andrianavalona était sorti de ses gongs : “Mon subalterne, un détaché auprès…
Yasmine Ramahakotroka est mariée et mère de deux enfants. Agée de 31 ans, elle est la directrice de l'agence de placement Ambinintsoa et la société de gardiennage Gs Pro. Dans le cadre de la célébration de la journée internationale de la femme, elle nous retrace sa vision du monde professionnel, mais aussi son engagement et ses valeurs sur lesquels elle a bâti sa carrière, sans négliger pour autant, une vie personnelle.
Malgré l’avancement de la technologie et des techniques notamment en matière d’énergie, Madagascar figure parmi les pays qui enregistrent toujours des problèmes d’électricité. Malgré un potentiel capable de couvrir ses besoins, le pays accuse un déficit criant en matière d’accès à la lumière. La faiblesse des investissements, conjuguée à un manque d’infrastructures, aggravent la situation dans la plupart des pays d’Afrique, notamment la Grande île qui enregistre régulièrement des coupures de courant. En tout cas, les divers ministères concernés sont actuellement en train de trouver des solutions avec la société JIRAMA pour essayer d’enlever ce lourd fardeau pour les Malagasy…
Jamais les kidnappeurs dans ce pays n’ont agi avec autant de cruauté et de barbarie, sauf peut-être aussi lors de la regrettable affaire Annie&Arnaud, que plus récemment et cette fois dans les environs de Maevatanàna. Car sur les 4 enfants qu’ils ont enlevés, dont une fillette de 6 ans, l’un fut exécuté dans des circonstances inhumaines et blâmables. Le malheureux qui a une dizaine d’années fut même torturé peu de temps après son rapt avant que ses ravisseurs ne l’aient finalement tué dans une localité baptisée Vodiriana près d’une mine d’or, située à 2h de route de Maevatanàna. A préciser…
Un « ouf » de soulagement pour les deux jeunes belges, Christophe et Sophie, ainsi que leur famille. Après que l’aîné a quitté le pays le 19 février dernier pour rentrer en Belgique. Sa sœur va le rejoindre bientôt. Actuellement, elle sejourne dans la Capitale et prépare tous les documents nécessaires afin de pouvoir rentrer dans son pays natal. Les faits remontent le mois dernier. Publiée dans les réseaux sociaux, l’histoire des deux jeunes a suscité une grande discussion et des émotions auprès des lecteurs. Selon les habitants et les vacanciers de Mahajanga, ils devaient prendre une vacance de 3…
Samedi matin, un jeune chef de famille de 32 ans domicilié à Ampandrana-Ouest mourut à la suite de son agression barbare car ils l’ont émasculé. Des passants l’ont retrouvé en train d’agoniser dans les buissons près de la résidence « Orchidée ». Actuellement, l’affaire connaît un développement. Bien que les enquêteurs n’aient encore donné de version officielle sur celle-ci, des bribes d’information glanées auprès de certaines sources, ont permis de savoir qu’un des amis du trentenaire, un habitant du secteur a pris une bière avec lui dans une échoppe sise rue Jean Andriamady quelques moments avant le drame, ce samedi…

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Editorial

  • Un phare
    « Je voudrais être un phare qui voulais illuminer les démunis et leur apporter la lumière », telle est la déclaration, érigée en confession de foi, de Harilala Ramanantsoa, porte étendard n° 7 de l’IRMAR – UPAR aux communales et municipales d’Antananarivo-Renivohitra prévues le 11 décembre prochain. A l’issue d’un culte d’action de grâce et de louange au temple du Palais de Manjakamiadana, Harilala Ramanantsoa répond à la question des confrères pourquoi a-t-elle choisi ce site historique pour organiser un culte qu’elle devait déclarer ainsi. Qu’est-ce qu’un phare ? Le Robert le définit en ces termes « une tour élevée sur une côte ou sur un îlot, munie à son sommet d’un feu qui guide les navires ». Sur un véhicule, c’est un feu à longue portée pour offrir la meilleure visibilité la nuit au conducteur.

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