Publié dans Société

Année scolaire 2020-2021 - Les EPP et lycées « Manarapenitra » ouvrent officiellement leurs portes

Publié le vendredi, 30 octobre 2020


Offrir un environnement adéquat aux élèves malagasy afin qu’ils puissent se concentrer à leurs études et être assidus. Tel est l’objectif du Président de la République du Madagascar, Andry Rajoelina concernant l’éducation. Pour cette année scolaire 2020-2021, 14 établissements « Manarapenitra » composés de 10 écoles primaires publiques ( EPP), à savoir celle de Soamandrakizay, Mahajanga I, Fenoarivo-Atsinanana, Ambilobe, Betafo, Ambositra, Ifanadiana, Farafangana, Toliara et Ambatondrazaka ainsi que 4 lycées, notamment celui de Toliara, Antsiranana, Antananarivo-Atsimondrano et Toamasina  ont officiellement ouvert leurs portes. Chaque établissement peut accueillir en tout 600 élèves et dispose d’une médiathèque équipée, une infirmerie, une cantine avec cuisine, une salle pour le personnel administratif. Les enfants ont déjà ainsi bénéficié de nouveaux kits scolaires, des livres d’apprentissage ainsi que des dictionnaires.
Dans le cadre du « Velirano », 1 100 nouvelles salles de classe seront construites sur tout le territoire national, dont 4 salles équipées par District - soit 476 salles et à la demande des élus dans les 119 Districts, 30 EPP à 12 salles, 8 Collège d’enseignement général (CEG) à 24 salles, 6 Lycées « Manarapenitra » à 12 salles. L’éducation est l’affaire de tous et l’Etat malagasy s’y engage afin de promouvoir son équité et sa qualité. D’ailleurs, la construction de ces infrastructures aux normes à travers le pays témoigne sa volonté et son engagement à offrir une éducation de qualité pour la jeunesse.
En rappel, une somme de 16 milliards d’ariary a été retirée du budget de chaque ministère pour financer le projet « Caisse-école ». Ceci dans l'objectif d'assurer la gratuité de l'éducation et d'alléger ainsi les difficultés subies par les parents d'élèves.
Anatra R.


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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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