Publié dans Société

Palais d’Iavoloha - Le Président Andry Rajoelina reçoit deux femmes ambassadeurs

Publié le mercredi, 11 novembre 2020

Le Président Andry Rajoelina a reçu en audience, hier, l’ambassadeur de Maurice et l’ambassadeur de Chine. Ces deux femmes ambassadeurs ont tour à tour présenté leurs lettres de créance. L’ambassadeur de Maurice, Marie Noëlle Françoise Labelle a été la première à être reçue par le Président de la République. Cette dernière a exprimé sa volonté d’œuvrer pour le développement des relations bilatérales entre nos deux pays, notamment sur le plan économique et culturel. La diplomate mauricienne a ainsi fait part des projets en cours dont l’implantation d’une zone textile à Moramanga. Grâce à sa richesse historique et culturelle, Madagascar est également invité à participer à la mise en place du Musée Intercontinental de l’esclavage. Une initiative mauricienne qui vise à la réhabilitation de l’histoire.
Ce fut par la suite au tour de l’ambassadeur de Chine, Guo Xiaomei ; de remettre ses lettres de créance au numéro un de l’Exécutif. Elle n’a pas manqué de réitérer la volonté du gouvernement chinois de coopérer avec la partie  malagasy dans plusieurs domaines y compris dans la lutte contre la Covid-19.
La Rédaction



Fil infos

  • Hauts emplois de l’Etat - Pluie d’abrogations au ministère des Finances et celui de l’Education nationale  
  • UE- Madagascar - Vers un dégel des certains financements 
  • Actu-brèves
  • Réunion de l’OMC nationale à la Primature - Sécurité et stabilité au menu
  • Tentative de dissolution de la Fédération - Le football malgache en danger
  • Université d'Antsiranana - La paix restaurée
  • Sahara Marocain au Conseil de sécurité l’ONU - Victoire du Maroc et consécration de l’initiative d’autonomie dans le cadre de la souveraineté marocaine
  • Vie de la Nation - Madagascar, cobaye des politiciens
  • Perquisition au groupe Sodiat Talatamaty - Pillage et razzia sur des véhicules
  • Actu-brèves
Pub droite 1

Editorial

  • Secteur en panne !
    En mauvaise posture, le secteur éducatif malagasy va de mal en pis. Tel un navire en panne, en Haute mer, le moteur bloqué, l’équipage perd le contrôle. Le bâtiment tangue de gauche à droite. A la dérive, il risque le naufrage. A l’époque coloniale, l’instruction publique représentait l’un des principaux points d’achoppement du pouvoir en place. A l’aube de l’occupation, le Général Gallieni, premier gouverneur général de Madagasikara, se heurtait à une difficulté majeure : déterminer quel type d’instruction ou quel modèle d’enseignement, devrait être appliqué dans la colonie (Madagasikara) ? Un enseignement élitiste, de haut niveau, ou un enseignement élémentaire, rudimentaire ? Et encore « quelle langue d’enseignement adoptée ? » Deux grandes orientations ont été primées par le Général gouverneur : dispenser un enseignement pour un cursus éducatif de haut niveau pour les enfants des colons. D’où la création des lycées à Antananarivo, le lycée Gallieni (1908) et…

A bout portant

AutoDiff