Publié dans Société

Changement de programme scolaire - Les écoles privées souhaitent la mise en place d'un comité ad hoc

Publié le mercredi, 17 mars 2021

Un changement équitable. C'est à travers cette expression que l'association des directeurs des écoles privées à Madagascar a conclu ses requêtes en ce qui concerne l'amélioration de l'enseignement que le ministère de l'Education nationale et celui de l'Enseignement supérieur véhiculent actuellement. D'après ces directeurs d'école ayant effectué, hier, une réunion à Antananarivo, le changement des programmes scolaires pour le cycle primaire et secondaire vont de pair avec les approches pédagogiques.

Ces deux composantes sont la clé de la réussite de ce changement. En effet, en même temps que la conception des programmes, les enseignants devront suivre une formation. « Si le changement des programmes est incontournable, nous souhaitons la mise en place d'un comité ad hoc, rassemblant toutes les parties prenantes pour l'étudier ensemble », soutient cette association.

Pour les établissements privés, le changement du système d'enseignement devra se faire d'étape en étape à commencer par les priorités. D'ailleurs, toutes les parties prenantes devront les connaître, ces établissements privés y compris. Les enseignants dans les écoles privées

suivent régulièrement des formations et encadrement dispensés par la Direction nationale et les responsables pédagogiques. Il est donc important de considérer leurs expériences pour ce qui est de la conception du nouveau programme d'études pour les lycées, selon ces derniers.

Anatra R.

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Editorial

  • Lueur d’espoir !
    Tout n’est pas noir. Une source de lumière apparait à l’horizon. Et l’espoir est permis. En dépit des galères éternelles que la misère nous impose, que l’insécurité nous étreint et que la JIRAMA nous empoisonne tous les jours, une lueur d’espoir nous embaume le cœur. Tous les efforts sont mis en branle mais la misère persiste et signe. Avec un revenu mensuel moyen de 40 euros ou 43 dollars par habitant, de sources autorisées de la Banque mondiale, Madagasikara reste parmi les cinq pays les plus pauvres de la planète. A titre d’illustration, Rwanda 76 dollars, France 3482 euros. Comparaison n’est pas raison mais les chiffres sont là. Ils évoquent certaines situations comparatives indéniables. Les insuffisances chroniques alimentaires surtout dans le grand Sud trahissent malgré les tentatives de certains responsables de relativiser le cas.

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