Publié dans Société

Police municipale - 22 ans au service de la population tananarivienne

Publié le mercredi, 28 septembre 2022

Assurer la sécurité de la population et l'assainissement de la ville. Telles sont en général les missions de la Police municipale. Depuis qu’il a été élu premier magistrat de la Capitale, le maire Naina Andriantsitohaina a consacré une place importante pour le corps de la Police municipale, à travers la collaboration avec la Police nationale et divers départements, pour renforcer sa compétence. D'ailleurs, ce dernier est un pilier important dans la réalisation de son " veliranon' Iarivo", qui est le respect de l’image de la ville, la décongestion de la circulation ou encore la formalisation des marchés. La Police municipale a fêté mardi dernier ses 22 ans d'existence. 

Cette célébration s'est tenue à Anosipatrana et ce, à travers diverses compétitions ainsi que le partage du gâteau d'anniversaire. "Des événements sportifs ont été choisis pour marquer cet anniversaire car le sport fait partie de son quotidien. Même si l’agent de Police municipale travaille, il devrait prendre soin de lui", soutient le responsable. Selon le chef du Corps de la Police municipale, Ostrom Whens, la plus importante et ayant marqué l'année écoulée est que le nombre des agents a augmenté autant que leur niveau. Une charte a été publiée leur permettant de mener à bien leur travail. La première promotion composée de 100 hauts gradés de la Police municipale vont bientôt finir leur formation et prêter serment. Ils seront nommés « Encadreur de la Police municipale ».

A noter que le Corps de la Police municipale compte actuellement 350 agents. Et la Commune urbaine d’Antananarivo a déjà organisé le recrutement de 200 agents de Police municipale pour le compte de cette année. L'un des slogans du groupe est "Volonté, Paix, Progrès".

Anatra R.

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Editorial

  • Etat de droit (suite)
    Nous n’aurions pas un temps assez et suffisant pour décortiquer, décrypter et détaler dans son intégralité ce concept d’Etat de droit. Tellement vaste, tellement délicat et tellement basique, le sujet nécessite une analyse pointilleuse. Elle s’inscrit dans une logique rationnelle visant à essarter l’énorme chantier de la Refondation. Comme nous l’avions déjà eu auparavant, lors des précédentes communications, l’occasion de définir les règles de base relatives à la Refondation. Il nous est impératif d’insister à apporter notre part de brique dans cette œuvre si délicate et si compliquée de refondation de l’Etat et de la Nation malagasy. Nous jugeons, plutôt je le juge indispensable de bien créer une condition de visibilité maximale autour de l’Etat de droit. Une Refondation sans l’implication et l’interaction directe de l’Etat de droit claudique assurément. Elle avancera clopin-clopant.

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