Publié dans Société

Cambriolage dans le domicile d'un gendarme - Le suspect meurt criblé de balles

Publié le vendredi, 01 décembre 2023



La maison d'un gendarme a été le théâtre d'un cambriolage à Maevatanàna, la nuit de jeudi dernier.

Mais le propriétaire a réagi en proportionnalité. En position de légitime défense, il aurait utilisé les grands moyens : l'élimination de l'intrus qui représentait un grave danger pour sa vie et les siens.
Plus tard, les éléments du GAPJ Betsiboka ont découvert dans la poche du malfaiteur gisant sans vie un téléphone Android de marque Itel A 60 double SIM au nom d'une habitante d'Anosikely- Avaratra, dans la Commune urbaine de Maevatanàna.
Là, on peut dire qu'un cambriolage peut en cacher un autre. Car quelques moments après l'élimination du suspect, la propriétaire de ce téléphone a expliqué qu' elle était victime d'un vol avec effraction à son domicile, la nuit du 29 novembre dernier et dans des circonstances indéterminées.

Cette même nuit, ce malfaiteur a donc commis deux cas d'actes simultanés de cambriolage avant qu'il ne soit éliminé au domicile de ce gendarme en service auprès de la GAPJ Betsiboka.
Le constat du praticien permet de conclure que la mort a été causée par un traumatisme au niveau de l'avant-bras, de la région précordiologie mais aussi d'un plaie hémorragique par balle d'une arme à feu.
Le corps sans vie dudit malfaiteur a été déposé à la morgue du CHRR de Maevatanàna en attendant une éventuelle récupération de sa famille. Enfin, l'identité du suspect reste inconnue.
F.R.

Fil infos

  • Fausses informations - La RFI invitée à inspecter MS Academy
  • Conjoncture - Pronostic vital engagé ?
  • Conjoncture - Le nom du nouveau Premier ministre attendu ce jour !                               
  • Mouvement  du 25 septembre 2O25 - L’Alaotra-Mangoro dans l’expectative                                             
  • Manifestations de la Gen-Z - Les journalistes victimes de grenades lacrymogènes
  • ACTU-BREVES
  • Emeutes à Madagascar - Le Gouvernement rejette le bilan de 22 morts avancé par l'OHCHR
  • Président Andry Rajoelina - - Dissolution du gouvernement - Pas de troisième mandat - Reconnaissance d'erreurs
  • Sécurité urbaine - Le couvre-feu assoupli
  • Président Andry Rajoelina - « Dirigez votre colère vers moi »

La Une

Pub droite 1

Editorial

  • Post – pillage
    Le redressement post-pillage s’organise. Une cellule du genre comité de pilotage se met en place pour étudier au cas par cas et évaluer le cas échéant les besoins en collaboration avec les représentants directs des « sinistrés ». Constatant les dégâts potentiellement dévastateurs et les ruines subies en un coup de vent par les opérateurs, le Gouvernement prend ses responsabilités. Dans les faits, l’Etat va agir en tant que facilitateur dans toutes les démarches auprès des banques ou autres institutions dispensatrices de crédit. Il (l’Etat) prendra en charge en totalité les intérêts bancaires. L’objectif étant de permettre aux opérateurs ou propriétaires victimes de vandale, de braquage ou de pillage de se remettre dans les meilleurs délais.

A bout portant

AutoDiff