Publié dans Société

Fêtes de fin d’année - Les bons gestes contre l’intoxication alimentaire

Publié le lundi, 18 décembre 2023

Mieux vaut prévenir que guérir. Le grand festin est inséparable avec la célébration de Noël et de la nuit de la Saint-Sylvestre. Parallèlement à cela, le nombre de personnes atteintes d’une intoxication alimentaire augmente durant la période des fêtes. Les aliments insuffisamment cuits, une mauvaise conservation, la propreté en sont la première cause. Viennent ensuite les aliments de mauvaise qualité ou périmés qui envahissent les marchés, et ce malgré une interdiction de vente et l'inspection réalisée par les agents du ministère du Commerce et de la Consommation. En effet, chacun veut faire la fête avec le peu de moyens dont il dispose, tandis que les commerçants malhonnêtes profitent de cette situation pour escroquer les consommateurs.

Afin de protéger la famille contre tous les risques de maladie d’origine alimentaire, il est important de prendre les bonnes dispositions. L’intoxication alimentaire provoque des diarrhées et la déshydratation. Ceux qui courent le plus de risque sont les jeunes enfants et les personnes âgées. Mais bien évidemment, tout cela peut être prévenu avec de simples pratiques. 

Pour aider les ménages, le ministère de la Santé publique a effectué une sensibilisation allant dans ce cadre, notamment en parlant des bons gestes à suivre pour prévenir l'intoxication alimentaire à travers le nettoyage des aliments et des matériels utilisés. Il est fortement recommandé de se laver fréquemment les mains, le plan de travail ainsi que les ustensiles de cuisine. Il est aussi conseillé de bien cuire les aliments jusqu’à ce qu’ils atteignent la température interne recommandée afin de tuer toutes les bactéries. Le plus important est de séparer les aliments crus et cuits afin de prévenir toute contamination croisée. Il est aussi préférable de conserver les aliments au frais, de préférence dans un réfrigérateur. Les bactéries peuvent ainsi se proliférer lorsque les aliments sont laissés à des températures qui leur sont propices. 

 

Recueillis par Anatra R.

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Editorial

  • Lueur d’espoir !
    Tout n’est pas noir. Une source de lumière apparait à l’horizon. Et l’espoir est permis. En dépit des galères éternelles que la misère nous impose, que l’insécurité nous étreint et que la JIRAMA nous empoisonne tous les jours, une lueur d’espoir nous embaume le cœur. Tous les efforts sont mis en branle mais la misère persiste et signe. Avec un revenu mensuel moyen de 40 euros ou 43 dollars par habitant, de sources autorisées de la Banque mondiale, Madagasikara reste parmi les cinq pays les plus pauvres de la planète. A titre d’illustration, Rwanda 76 dollars, France 3482 euros. Comparaison n’est pas raison mais les chiffres sont là. Ils évoquent certaines situations comparatives indéniables. Les insuffisances chroniques alimentaires surtout dans le grand Sud trahissent malgré les tentatives de certains responsables de relativiser le cas.

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