Publié dans Société

Diocèse d’Ambatondrazaka - Ordination épiscopale du nouvel évêque

Publié le lundi, 14 octobre 2024
Diocèse d’Ambatondrazaka - Ordination épiscopale du nouvel évêque

La cérémonie officielle dans le cadre de l’ordination épiscopale du nouvel évêque du diocèse d’Ambatondrazaka, Monseigneur Herivonjilalaina Orthasie Marcellin, s’est tenue hier. Il a choisi comme slogan le verset écrit par Saint Jean « Afin que tous soient un » (Jean 17, 21). La célébration eucharistique a été présidée par l'Archevêque du diocèse d’Antananarivo, Monseigneur Jean de Dieu Raoelison. Ce dernier n’est autre que le prédécesseur du nouvel évêque. La cérémonie d’accueil de Mgr Herivonjilalaina Orthasie Marcellin a déjà commencé mercredi dernier lors de son arrivée dans cette ville.

Les villageois ainsi que les représentants de la Région d’Alaotra-Mangoro, dirigés par le préfet d'Ambatondrazaka, lui ont réservé une grande fête. Un grand carnaval en partance de Vohidiala, Manakambahiny-ouest et tout au long de la ville d'Ambatondrazaka a été organisé, non seulement par les fidèles catholiques, mais aussi par les villageois.

Le Pape François a nommé, le 14 août dernier, Mgr Orthasie Marcellin Herivonjilalaina, comme évêque d’Ambatondrazaka. Il est actuellement recteur du Grand séminaire philosophique de Toamasina. Il est né le 13 septembre 1979 à Morarano Chrome, dans le diocèse d'Ambatondrazaka. Après avoir étudié la philosophie au grand Séminaire Saint-Paul et la théologie au Séminaire archidiocésain de Reggio Calabria, en Italie, il a obtenu une licence en théologie à l’Istituto Teologico Pio XI et un master en bioéthique et sexologie à Messine, toujours en Italie. Il a été ordonné prêtre le 21 janvier 2006 pour le diocèse d'Ambatondrazaka. Ce diocèse attend son nouvel évêque depuis le 5 juin 2023, lorsque le Pape François a transféré Mgr Jean de Dieu Raoelison au siège métropolitain d’Antananarivo.

 

Anatra R.

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Editorial

  • Traque aveugle (II) ?
    Nous revenons à la charge. Au risque d’être taxé d’entêté, il nous est impossible de ne pas revenir sur le thème précédent (« Traque aveugle » du 14 /11 /25) afin d’interpeller vivement ce que nous appelions, au final, de traque aveugle à l’encontre des entités de productions appartenant à des nationaux et laisser, non-inquiétés, certains ressortissants étrangers souvent naturalisés malagasy aux pratiques douteuses. Des voix commencent à s’élever et finissent par remonter en surface. Ces voix discordantes inondent la toile et dénoncent : « pourquoi s’acharne-t-on sur certains rares Gasy, capitaines d’industrie, en laissant « en paix » les … autres ! Suivez mes yeux ! Lors de la première édition de la « Traque aveugle » du 14 novembre 2025, on était amené à capter l’attention du public sur certaines opérations militaires, des fois, musclées qui sont en fait, de source avisée, des perquisitions officielles. On différencie difficilement…

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