Publié dans Société

Kidnapping à Amparafaravola - L’otage de six ans finalement libéré

Publié le mardi, 30 juillet 2019

Enlevée depuis la nuit de jeudi dernier, personne ne sait plus ce qu’est devenue Aina, cette  fillette de 6 ans. Les ravisseurs auraient demandé une rançon de 20 millions ariary contre sa libération, ce que les parents ont effectué. Hier matin, la situation a  évolué dans un sens plutôt positif à un moment où la disparition de la victime a suscité de vives inquiétudes chez ses proches et tous les autres. En effet, la fillette a été retrouvée vers 9h dans la Commune d’Ambakireny.  Dès la séquestration de la fillette, les bandits n’ont eu de cesse de réclamer cette rançon, un véritable harcèlement selon encore les informations.  Sitôt  la victime remise saine et sauve entre les mains des siens, les Forces de l’ordre se sont lancées à la poursuite des ravisseurs qui se cacheraient dans la forêt. “Jusqu’au moment où l’on parle, de violents échanges de tirs opposent les deux camps dans une zone forestière d’Amparafaravola”, rapporte une information de la région.
Jusque vers le début de l’après-midi, hier, l’on ignore comment la situation a évolué sur le terrain. Les Forces de sécurité quadrillent toute la région. L’opinion locale d’Amparafaravola est sur le qui-vive et espère que les ravisseurs soient capturés.  C’est la première fois qu’on a entendu parler de kidnapping à Amparafaravola mais la seconde fois dans la Région d’Alaotra Mangoro. Pas plus tard que le 19 juillet dernier, un autre enfant fut également kidnappé à Morarano-Chrome.  Comme la fillette d’Amparafaravola, la petite victime a été également  relâchée par ses ravisseurs depuis. 
 F.R

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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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