En servant du nouveau logiciel, les informations des candidats ont été traduites sous forme de code-barres. Et durant les épreuves écrites, les candidats auront ainsi droit à une feuille de copie en plus des brouillons et surtout un code-barres sous forme d’autocollant. Depuis de longues années, l’identité des candidats avec leurs notes respectives est connue au cours de la transcription. Désormais, elle ne sera visible que par les informaticiens à quelque temps de l’impression. Même les chefs de centre, les secrétaires, les correcteurs n’auront plus accès à cette information, précise ce premier responsable des examens nationaux.
Toutefois, l’application de cette nouvelle technologie est lancée progressivement. Ce qui veut dire que ce programme n’affecte pas tous les candidats. Mais pour la prochaine année scolaire, elle se portera sur tous les inscrits et concernera toutes les étapes d’organisation à commencer par l’informatisation de l’inscription en passant par la convocation jusqu’à la publication des résultats.
Il est à noter que 67806 candidats de l’enseignement général passeront l’épreuve écrite durant la semaine du 30 au 4 octobre et seront répartis dans 118 centres et surveillés par 5 906 personnes. Tandis que pour l’enseignement technique qui se déroulera du 07 au 10 octobre, le nombre de candidats est de 5 488. Par ailleurs, 10 d’entre eux sont des candidats spécifiques à savoir des malvoyants, malentendants et de nationalité étrangère. Le benjamin est âgé de 12 ans tandis que le senior a actuellement 68 ans. En outre, 283 agents des Forces de l’ordre seront mobilisés afin d’assurer leur sécurité et celle des centres d’examen sans oublier les sujets et les feuilles de copies. Pour que les résultats puissent sortir le mois d’octobre, 1639 individus procèderont à la correction dès la première journée de l’examen.
K.R.