Madagascar se situe actuellement en plein cœur de la saison hivernale. Jusqu’au mois d’août, les températures maximales et minimales sont toujours en baisse. Particulièrement cette semaine, le climat s’est caractérisé par un temps purement hivernal et globalement venteux avec des pluies intermittentes sans oublier les crachins locaux. Pourtant, la valeur de la température minimale ne descendra pas jusqu’à 0° Celsius, comme bon nombre d’internautes le prétend.
Reconstruire en mieux. Tel est le mot d’ordre du Système des Nations Unies (SNU) à Madagascar, notamment suite à la pandémie de Covid-19, laquelle a laissé des conséquences néfastes sur la vie de la population, surtout dans le domaine socio-économique. Il fallait récupérer et redoubler d’efforts pour les actions en faveur des ODD au cours de cette décennie d’action et ne laisser personne pour compte. Les projets menés en 2021 ont eu des impacts positifs, si l’on tient compte des résultats concrets obtenus, à en croire Issa Sanogo, coordonnateur résident du SNU Madagascar. C’était hier à Ankorondrano, lors du lancement et la présentation à la presse du rapport de réalisations onusiennes pour l’année 2021.
L'heure des sacrifices sonne ! En l'état actuel des choses, on se serre impérativement la ceinture. L'austérité n'est plus un choix à faire mais une obligation qui s'impose à tout le monde. En mars 2020, pour des motifs impérieux de santé publique, le Président de la République, après avoir consulté le président de la HCC et les présidents des deux Chambres parlementaires, a décrété en Conseil des ministres l' « état de nécessité nationale » autrement dit « l'état d'urgence nationale ».
Mort dans l’œuf. Suspendus pendant deux ans à cause de la pandémie de Covid-19, les vols de la compagnie Air Madagascar vers les Comores étaient censés reprendre au début du mois de juillet. Mais Air Madagascar, vient, une nouvelle fois, d’annoncer l’annulation d’un de ses vols, plus précisément celui qui devait rallier Moroni, aux Comores depuis la Grande île. La raison étant que les autorités auraient retiré l’autorisation de vol de la compagnie sur cette ligne.
La famille avec des paires de lunettes renouvelle l’expérience. Après une prestation émouvante et réussie, lors de son passage sur la scène de l’Ivokolo Analakely au mois de mai dernier. Le quatuor 4-Maso continue d’arpenter les scènes de la Capitale. Ce week-end, il repart avec un autre concert qui se tiendra demain 22 juillet dans l’antre de la Teinturerie d’Ampasanimalo. Une manifestation rentrant également pour défoulement après le bac. Les premières notes seront entendues à compter de 20 h.
La nomination des gouverneurs des Régions à la tête de ces entités répond à la volonté réelle du Gouvernement de concrétiser la décentralisation effective et accélérer le processus de développement. Chaque gouverneur est chargé de l'identification, de la programmation et de la mise en œuvre des projets de développement appropriés à sa propre région. Les gouverneurs des Régions sont devenus le premier responsable de la résolution des problèmes régionaux, indépendamment des membres du Gouvernement et du Chef de l'Etat.
Les autorités préfectorale et régionale d’Alaotra-Mangoro intensifieront les mesures de prévention des accidents sur l’axe routier Moramanga-Vohidiala ou la RN44 Sud. Cette desserte terrestre, appelée aussi ‘‘route du riz’’, est le théâtre de fréquents accidents matériels, corporels et mortels ces temps-ci. Du coup, la route qui, au lieu de faire vivre, tue de temps à autre.
En temps ordinaire, il est exigé à tout citoyen malagasy de se conformer à la règle et à la loi en vigueur, entre autres l’obligation pour lui de faire passer son véhicule à la visite technique, ou surtout payer son assurance. Or, c’est là que le bât blesse car le cas est souvent loin de l’être avec les véhicules administratifs. Souvent, les concernés, du moins une partie, dérogent simplement à la règle. Ces voitures de plaque rouge n’étaient soumises à aucun contrôle au niveau de la visite technique, ni assurées.
Pour le citoyen lambda, le problème surgit en cas d’accident de la circulation, ou lors d’une collision avec un véhicule administratif non conforme à la règle. Car les dommages constatés sur son véhicule par le simple citoyen, peuvent parfois d’une ampleur sans précédent. “Pris sur le fait, il arrive le plus souvent que le fonctionnaire en cause, et dont le véhicule n’est pas assuré, cherche à régler l’affaire à l’amiable avec la partie adverse, c’est-à-dire l’automobiliste ordinaire victime en lui proposant de le dédommager, sinon réparer ces dégâts par ses propres moyens”, explique un expert. Mais les utilisateurs de voiture administrative ne sont pas pour autant des Saints pour tenir parole. Car au moment fixé pour le paiement, le fonctionnaire en cause ne se manifeste pas tout simplement, laissant ainsi la victime sur ses quarante-et-un.
Pour l’automobiliste victime, il risque de se trouver davantage dans l’embarras, pour ne pas dire pris entre le marteau et l’enclume. Car même s’il dispose d’une assurance tout risque, il ne pourra, du moins dans la plupart des cas, assurer la réparation totale de sa voiture endommagée.
A la lumière de ces faits, le moment est donc venu pour un rappel à l’ordre et une meilleure équité dans le traitement des usagers de la route. Et qu’aucun fonctionnaire ou autre entité administrative donnée, encore moins aucun chauffeur de service au niveau des administrations, ne doit pas être exempt de ses obligations en matière de visite technique de son véhicule.
Franck R.