Publié dans Sport

Sport automobile - 41e RIM - Une distance de 300km au menu

Publié le mardi, 20 octobre 2020

Une distance de 300km mettra à l’épreuve les participants à la 41 ème édition du Rallye international de Madagascar qui se déroulera les 13, 14 et 15 novembre prochains dont 160 km divisés en 13 épreuves spéciales. La distance minimale est de 8 km tandis que la plus longue sera de 18km. La course aura lieu à Antananarivo aux environs d’Ambohidratrimo et d’Ivato. D’après le président de la Fédération de sport automobile, Jimmy Rakotofiringa, la FSAM a organisé cette première compétition de l’année pour pouvoir donner plus d’élan à tous les pilotes en vue de leur préparation pour la saison 2021. Elle permettra aussi aux équipages qui ont importé de nouvelles montures d’avoir l’opportunité de les tester et de s’évaluer en vue de la saison prochaine. Comme c’est la seule course de la saison, la bataille sera rude.
Dans le cadre de la protection contre la Covid-19, la FSAM ne fléchira pas devant les négligences concernant les mesures barrières. Chaque pilote devra porter une cagoule à l’intérieur de son véhicule et une fois sorti, le port de masque est obligatoire. Il en est de même pour les mécanos. Outre les mécaniciens, seuls les pilotes seront autorisés entrer dans les stands de parc.  En outre, une distanciation sociale sera de mise entre les stands de parc de chaque équipage. Les officiels et les commissaires sportifs seront dans l’obligation de porter des masques de protection et gants durant l’exercice de leur responsabilité selon les informations des dirigeants de la FSAM.
Recueillis par E.F.

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Editorial

  • Secteur en panne !
    En mauvaise posture, le secteur éducatif malagasy va de mal en pis. Tel un navire en panne, en Haute mer, le moteur bloqué, l’équipage perd le contrôle. Le bâtiment tangue de gauche à droite. A la dérive, il risque le naufrage. A l’époque coloniale, l’instruction publique représentait l’un des principaux points d’achoppement du pouvoir en place. A l’aube de l’occupation, le Général Gallieni, premier gouverneur général de Madagasikara, se heurtait à une difficulté majeure : déterminer quel type d’instruction ou quel modèle d’enseignement, devrait être appliqué dans la colonie (Madagasikara) ? Un enseignement élitiste, de haut niveau, ou un enseignement élémentaire, rudimentaire ? Et encore « quelle langue d’enseignement adoptée ? » Deux grandes orientations ont été primées par le Général gouverneur : dispenser un enseignement pour un cursus éducatif de haut niveau pour les enfants des colons. D’où la création des lycées à Antananarivo, le lycée Gallieni (1908) et…

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