Publié dans Sport

RCTS-Pachamama - « Vers un futur meilleur …»

Publié le dimanche, 21 novembre 2021


Après 21 ans d’œuvres sociales, l’association RCTS Pachamama Madagascar a de nouveau gagné la confiance de ses partenaires. Ces derniers ont confirmé leurs engagements envers l’association à vocation éducative pour les jeunes enfants issus des familles défavorisées. Une journée des partenaires a été tenue ce weekend au siège de l’association à Imamba- Soavimasoandro. Actuellement, 350 enfants et 130 jeunes bénéficient des activités de ladite association. Un repas festif a été tenu durant la journée du samedi entre les partenaires et les 450 enfants éduqués dans le centre.  La journée a été honorée par la présence du ministre de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle, Vavitsara Rahantanirina Gabriella et de la députée de la Région de Diana.
« D’ores et déjà, nous nous engageons en faveur des jeunes à travers des actions communes et nous envisageons d’effectuer des actions synchronisées focalisées sur la formation de ces jeunes », a avancé la ministre Vavitsara.
 
« Je tiens à remercier vivement les partenaires comme la Société Générale Madagascar car, grâce à eux, nous pouvons pérenniser notre projet. Et par ailleurs, nous ne cesserons de demander à l’Etat malagasy d’inscrire le terrain à l’association », martèle Avotra Tokianaina Andrianarisoa, président en exercice de l’association RCTS. 
Rappelons que cette dernière a offert des appuis scolaires pour les enfants membres, comme la lecture et le cours d’informatique. Prochainement, l’association projette de bâtir un dortoir et un dispensaire pour les membres et leur famille ainsi que pour la population riveraine, informe Daniel Besaguet, manager général de RCTS.
En 21 ans d’existence, le centre a parcouru des chemins épineux. Le terrain était une rizière marécageuse quand l’association l’a transformé en terrain aménageable. Depuis, la notoriété de l’école du RCTS a dépassé les frontières malagasy en devenant ainsi une référence en matière de réinsertion sociale.
Après deux années de litige foncier avec l’Etat, tout est rentré dans l’ordre. En effet, l’association continue ses actions tous les mercredis et samedis au bénéfice des pensionnaires. Actuellement, deux joueuses du RCTS sont sociétaires de l’équipe nationale Dames, tandis que l’équipe masculine figure en tête de poule de la Fédéral 2. L’association French Flair est le partenaire principal du RCTS depuis 2014.
Elias Fanomezantsoa

Fil infos

  • Elections consulaires des Français de l’Etranger - La liste Français du Monde revendique une meilleure prise en charge sociale
  • Refondation - « L’espoir d’un véritable renouveau démocratique s’amenuise », dixit la société civile
  • Direction Générale de l’ARAI - Un homme de l’intérieur prend les rênes
  • Premières pluies - Les infrastructures déjà mises à très rude épreuve
  • Actu-brèves
  • HCC - Trois anciennes ministres réintègrent l’Assemblée nationale
  • Concertation nationale - LES RECOMMANDATIONS D’UN CITOYEN D’AMBATONDRAZAKA
  • Détention de Rinah Rakotomanga - Son avocate dénonce des dessous politiques
  • Actu-brèves
  • Loi de finances - Nouveau huis clos des députés

La Une

Pub droite 1

Editorial

  • Désagrément séculaire
    Antananarivo, la ville basse, vit tous les ans les difficultés humainement gênantes dues aux caprices des eaux en période de pluie. En 1610, quand le Roi Andrianjaka, le demi-frère d’Andriatompokoindrindra, se décida de déménager le chef-lieu de son royaume d’Ambohimanga, à Analamanga, il ne comptait pas, à jamais d’ailleurs, s’installer sur la vaste plaine de Betsimitatatra mais il choisit le site d’une colline hautement perchée surplombant ladite plaine. Un choix délibéré et assumé ! Notons qu’Analamanga n’était pas un lieu inhabité. A son arrivée, des occupants s’y installaient déjà : les Vazimba. Ces derniers y vivaient paisiblement. Au moment où les guerriers – éclaireurs envoyés par le souverain d’Ambohimanga frappèrent à la porte, les Vazimba, premiers occupants de la Colline bleue n’ont pas déployé de la résistance. Ils obtinrent en revanche l’assurance de pouvoir se déménager à Antehiroka.

A bout portant

AutoDiff