Publié dans Sport

Pétanque - Les impayés réglés, Amir dément le communiqué de la FIPJ

Publié le jeudi, 17 mars 2022



On pourrait croire à une mauvaise blague, mais non. 24h après la mutation de l’ancien ministre de la Jeunesse et des Sports à son poste initial, la fédération de sport boules malagasy, dirigée par son président Amir Andrialemirovason, hier après-midi, à Andraharo, accompagné des deux membres fédéraux, affirme que tous les impayés liés au déplacement en Espagne sont désormais réglés et la somme a déjà été virée au président de la Fédération internationale de pétanque et jeu provençal (FIPJ).
Durant cette rencontre avec les médias, les dirigeants ont aussi souligné que les impayés ont été réglés dans sa totalité par l’Etat malagasy représenté par le ministère de la Jeunesse et des Sports. Des négociations sont en cours avec la FIPJ pour la levée de sanction de Madagascar qui est privé de participation à toutes les compétitions internationales et aux Jeux des îles de l’océan Indien.
Notons que c’est la deuxième fois après les mondiaux juniors et dames à Kaihua , Chine en 2014 que le même cas d’hébergement impayé se répète. Et c’était Claude Azema qui a réglé personnellement l’ardoise de la délégation malagasy.

En ce qui concerne le communiqué paru dans le site de la FIPJ indiquant que seul l’hébergement du ministre de l’époque, Hawel Mamodali et son directeur général de sport, Rosa Rakotozafy, était bizarrement payé mais pas les joueurs, Amir Andrialemirovason a précisé qu’il n’y a qu’une seule facture qui règle toutes les ardoises de la délégation malagasy .

Il a aussi avancé que Madagascar s’est déjà engagé aux mondiaux de Danemark prévus au mois de mai et que le sponsor de la FSBM a promis de régler toutes les dépenses de la délégation. D'après la lettre de la fédération internationale, cette sanction s'applique jusqu'à la régularisation de la situation.
E.F.
 

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Editorial

  • Secteur en panne !
    En mauvaise posture, le secteur éducatif malagasy va de mal en pis. Tel un navire en panne, en Haute mer, le moteur bloqué, l’équipage perd le contrôle. Le bâtiment tangue de gauche à droite. A la dérive, il risque le naufrage. A l’époque coloniale, l’instruction publique représentait l’un des principaux points d’achoppement du pouvoir en place. A l’aube de l’occupation, le Général Gallieni, premier gouverneur général de Madagasikara, se heurtait à une difficulté majeure : déterminer quel type d’instruction ou quel modèle d’enseignement, devrait être appliqué dans la colonie (Madagasikara) ? Un enseignement élitiste, de haut niveau, ou un enseignement élémentaire, rudimentaire ? Et encore « quelle langue d’enseignement adoptée ? » Deux grandes orientations ont été primées par le Général gouverneur : dispenser un enseignement pour un cursus éducatif de haut niveau pour les enfants des colons. D’où la création des lycées à Antananarivo, le lycée Gallieni (1908) et…

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