Publié dans Sport

Préparation pour la qualification CAN 2023 - Trois nouveaux joueurs dans la pré-liste de Nicolas Dupuis

Publié le jeudi, 18 août 2022

Le sélectionneur national des Barea de Madagascar, Nicolas Dupuis vient de dévoiler, cette semaine, une pré-liste de 40 joueurs convoqués en vue de la fenêtre FIFA du 19 au 27 septembre prochain. Dans cette nouvelle pré-liste figure les noms de trois joueurs. Il s’agit du milieu de terrain et capitaine des Barea U23 qui évolue au FC Deolois Paul Kalvin (National 3 France), de Boto Kenji Van de l’AJ Auxerre (Ligue 1 France), d’un gardien de but Allan Rakotovazaha du Club US Créteil Lusitanos (National France). Le nom de Remy Vita revient aussi dans la liste malgré l’indécise de ce joueur de Fortuna Sittard D1 Pays-Bas.

Hormis Sacha Vandersteen, joueur malagasy évoluant aux États-Unis, Fabien Boyer de la JS Saint- Pierroise, Abel Anicet a été écarté de la liste des joueurs convoqués.  Toutes les pièces maitresses sont là. Mais les observateurs restent sceptiques en voyant les noms des vétérans comme Jeremy Morel (sans club), Voavy Paulin (Ghazl Mahala SC Egypte), Pascal Razakanantenaina dit Bapasy de la JS Saint- Pierroise (La Réunion), et Mamy Gervais USS Tamponnaise (La Réunion) ou Njiva Rakotoharimalala, de l’Al Jandal (D2 Arabie Saoudite) qui ont été encore convoqués.

 Mais Nicolas Dupuis a fait appel aussi au service des locaux des Barea CHAN pour honorer le maillot des Barea A, comme Tsilavina Rahamahandrisoa d’Elgeco Plus, Naurah Safidinomenjanahary de CFFA, Lalaina Rafanomezantsoa de l’Ajesaia, Avizara Solofinaiana de Fosa Juniors, Dax de Fosa Juniors, Tantely Avotriniaina de CFFA, Rajo Razafindraibeharimihanta de Jet Kintana et enfin Rojolalaina de l’Ajesaia.

Une liste de 23 joueurs sera publiée dans quelques semaines pour rejoindre le regroupement en vue de la préparation de la qualification CAN 2023 en Côte d’Ivoire contre le Centrafrique pour les 3e et 4e journées des éliminatoires.

Elias Fanomezantsoa

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Editorial

  • Secteur en panne !
    En mauvaise posture, le secteur éducatif malagasy va de mal en pis. Tel un navire en panne, en Haute mer, le moteur bloqué, l’équipage perd le contrôle. Le bâtiment tangue de gauche à droite. A la dérive, il risque le naufrage. A l’époque coloniale, l’instruction publique représentait l’un des principaux points d’achoppement du pouvoir en place. A l’aube de l’occupation, le Général Gallieni, premier gouverneur général de Madagasikara, se heurtait à une difficulté majeure : déterminer quel type d’instruction ou quel modèle d’enseignement, devrait être appliqué dans la colonie (Madagasikara) ? Un enseignement élitiste, de haut niveau, ou un enseignement élémentaire, rudimentaire ? Et encore « quelle langue d’enseignement adoptée ? » Deux grandes orientations ont été primées par le Général gouverneur : dispenser un enseignement pour un cursus éducatif de haut niveau pour les enfants des colons. D’où la création des lycées à Antananarivo, le lycée Gallieni (1908) et…

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