Publié dans Sport

Cosafa Women’s Cup - Les Barea dames vont mal

Publié le lundi, 09 octobre 2023

L’équipe nationale féminine de football, les Ladies Barea, n’a réussi à faire mieux au Cosafa Cup. En effet, les Barea de Madagascar dames enchaînent une série de défaites dans cette compétition opposant les équipes nationales d’Afrique australe. Battue 2 buts à 1 par l’Eswatini en premier match, l’équipe nationale malagasy s’est également inclinée devant sa bête noire, les Banyana Banyana d’Afrique du Sud, sur le score de 3 buts à 1 lors de son deuxième match.  La faille se trouvait dans la défense malagasy.

L’équipe hôte a ouvert le score à la 14ème minute sur une pénalité transformée par Shamase. Anjara et ses camarades égalisent avant la pause à la 42ème. Au retour des vestiaires, les Sud-Africaines renversent la vapeur et doublent la mise à la 65ème sur une œuvre de Selena et à la 75e, le but du K.O.

Les protégées de Théodore Béatrice, coach des Barea dames, ne peut espérer qu’une simple figuration pour leur retour à la Cosafa Women’s Cup après 2 ans d’absence. Ce jour, les Malagasy livreront un baroud d’honneur face aux Malawites, pour leur dernier match de la compétition au stade UJ Soweto Campus.

 Mais ce ne sera pas une mince affaire car le Malawi, déjà qualifié pour les demi-finales, a écrasé à plate-couture, l’Eswatini, tombeuses des malagasy en match inaugural sur le score fleuve de 8 buts à rien. Cette même équipe de Malawi a battu l’Afrique du Sud sur le score de 4 buts à 3, lors de son premier match.

Depuis 2018, l’équipe nationale féminine malagasy ne cesse de dégringoler au classement FIFA, faute de participation aux compétitions internationales. A rappeler qu’elle est passée de la 117e à la 154e place en début d’année. Actuellement, Madagascar ne figure plus dans le classement FIFA parmi les 186 pays membres. C’est l’Ile Maurice qui est la lanterne rouge au classement du mois d’août dernier. Les Comores et les Seychelles se trouvent respectivement à la 182e et 164e place.

 

Elias Fanomezantsoa

Fil infos

  • Nominations de préfets et de chefs de Districts - Le Syndicat des administrateurs civils répond à la polémique
  • Groupe Sodiat - 4000 employés et familles étranglés
  • Conseil des ministres - Près de 150 nominations aux hauts emplois de l’Etat
  • ACTUS BREVES
  • Concertation nationale - Le ministère d’Etat chargé de la Refondation toujours pas pleinement opérationnel
  • Actu-brèves
  • Actu-brèves
  • Présidence de la Refondation - Les 4 hauts conseillers à traiter comme des Chefs d’Etat
  • Assemblée nationale - Une séance d’interpellation dominée par les doléances locales
  • Madagascar Airlines - Aucun pilote à bord
Pub droite 1

Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

A bout portant

AutoDiff