Publié dans Sport

Passation de service - Le nouveau ministre de la Jeunesse et des Sports déjà en action

Publié le vendredi, 23 août 2024


La passation de poste entre le ministre Abdulah Marson Moustapha, fraîchement nommé au département de la Jeunesse et Sports et le ministre sortant intérimaire Valéry Ramonjavelo s'est déroulée, en toute fraternité, ce 23 août au Palais des Sports et de la Culture de Mahamasina.
Après avoir procédé à la série de signatures, ces deux hauts responsables ont, tour à tour, pris la parole devant la grande famille du ministère de la Jeunesse et des Sports, dans la salle de conférence du palais des Sports, à Mahamasina. Le ministre par intérim des Sports, Valéry Ramonjavelo, a exprimé sa profonde gratitude envers les membres de son cabinet, les directeurs généraux, son personnel et tout le personnel du MJS pour les services fructueux qu'ils ont fournis et à ses côtés pendant les quelques mois qu'il a passés à la tête de cette institution. Quant à Abdoulah Marson Moustapha, il a exprimé sa profonde reconnaissance.
« C’est un grand honneur pour moi d’être nommé nouveau ministre de la Jeunesse et des Sports. Avant tout permettez-moi de rendre hommage à Monsieur le Président de la République Andry Rajoelina pour la confiance qu’il a placé en moi par cette responsabilité. La Politique générale de l’Etat comprend des projets ambitieux mais réalisables. Quand on est nationaliste, quand on aime son pays, on se donne le maximum pour son développement. C’est  un défi que je lance avec mes collaborateurs. Madagascar est une nation forte et prospère. Certes, en voie de développement mais nous avons le potentiel, des talents.
Mon père a été président de la ligue régionale de football de Boeny durant deux décennies. A l’époque, nous avons pu réaliser des rencontres avec des grands clubs africains avec la Sotema. Si on pouvait faire cela à l’époque pourquoi pas aujourd’hui ? Cherchons des moyens techniques  et des financements pour la mise en place des Académies pour former nos jeunes et allons-y en profondeur voire à partir des petits clubs de Districts, des Fokontany, des arrondissements,  pour leur donner un moyen jusqu’au niveau national afin de relever ensemble le niveau du sport à Madagascar. », a-t-il souligné.
Comme l'a annoncé le ministre, son défi est de procéder à l'homologation du stade Barea dans les plus brefs délais.
« C'est un défi que nous avons décidé de relever avec mes collaborateurs. Nous mettrons tout en œuvre pour obtenir des résultats rapidement. Nous explorerons les moyens nécessaires, solliciterons nos partenaires et lancerons des appels d'offres pour accomplir cette tâche.», a confié ce ministre.
Au passage, il  a également fait appel aux présidents des fédérations sportives qui ont des innovations, des idées de projets en cours ou en suspens, de venir au minist des directeurs concernés du ministère.

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Editorial

  • Quid d’une volonté politique
    En panne d’une réelle volonté politique, la lutte contre la corruption fait du surplace à Madagasikara.Un décalage flagrant s’interpose entre ce qui a été dit et ce qui est fait ! Le pays stagne. Les Indices de perception de la corruption (IPC) éprouvent les peines du monde d’évoluer vers le sens du positif. Plutôt, ils reculent. Quid d’une volonté politique pour cerner ce « mal », la corruption, qui sape le fondement de l’essor de l’économie nationale.Créé le 17 décembre 2004, le Bureau indépendant anti-corruption (BIANCO) fête ses 20 ans d’existence. Immédiatement, la question qui surgit : « quel bilan ? » BIANCO, de par son nom, ambitionne de combattre la corruption à Madagasikara. Après 20 ans, où en sommes-nous ?D’un avis généralement partagé, on hésite. Ecartelée entre une appréciation tranchée de réussite et d’un constat amer d’échec, l’opinion publique vague à l’âme. Le bilan mitigé semble dominer la partie.…

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