Publié dans Sport

35e anniversaire du judo club des cheminots (UASC) - Une devise ambitieuse : « Sahia manova, sahia miova »

Publié le dimanche, 16 février 2025

Un avenir prometteur. Le club de judo UASC célèbre cette année son 35e anniversaire. Un événement marquant pour cette association sportive qui compte parmi les plus dynamiques de Madagascar. Fort de son histoire, de ses valeurs et de son dynamisme, l'UASC se tourne vers l'avenir avec confiance. Le club entend continuer à former des judokas de talent, à promouvoir le judo auprès des jeunes et à contribuer au développement de cette discipline à Madagascar.

Avec la devise, " Sahia manova, sahia miova", qui signifie "Oser changer, oser évoluer", incarne l'esprit de renouveau qui anime le club.

Elle se traduit par des actions concrètes dans le domaine de l'éducation et de la promotion du judo. L'objectif est de redorer l'image de cette discipline et de redonner au judo ses lettres de noblesse. Un héritage riche et une reconnaissance unanime.

Sous la présidence d'Andriamiharivolamena Liva Zavamanitra, le club nourrit de grandes ambitions pour cette année. L'inauguration officielle du dojo, un espace dédié à la pratique du judo, est l'un des moments forts attendus.

Au-delà de cette infrastructure, le club se concentre sur l'enseignement technique des jeunes judokas et la préparation aux différentes compétitions. L'UASC affiche sa détermination à relever ces défis et à s'imposer sur la scène locale et nationale.

L'UASC peut s'enorgueillir d'un palmarès éloquent, témoignant de la qualité de la formation dispensée et de l'engagement de ses judokas. Les célébrations du 35e anniversaire ont débuté à Tanàna SOA Ambohimanga, en présence de nombreux clubs de la Région d'Analamanga.

Cet événement a été l'occasion de constater l'attachement des anciens membres et judokas au club, dont les dirigeants et représentants étaient présents. Des marques de reconnaissance et des cadeaux commémoratifs ont été offerts aux participants.

La cérémonie s'est déroulée en présence du magistrat de la ville d'Ambohimanga, du maire Rova Rajaonarivo Sedera Gunther, et de Maître Joujou Rakotoarison, ceinture noire 6e dan et doyen de la Fédération malagasy de judo.

Elias Fanomezantsoa

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Editorial

  • Lueur d’espoir !
    Tout n’est pas noir. Une source de lumière apparait à l’horizon. Et l’espoir est permis. En dépit des galères éternelles que la misère nous impose, que l’insécurité nous étreint et que la JIRAMA nous empoisonne tous les jours, une lueur d’espoir nous embaume le cœur. Tous les efforts sont mis en branle mais la misère persiste et signe. Avec un revenu mensuel moyen de 40 euros ou 43 dollars par habitant, de sources autorisées de la Banque mondiale, Madagasikara reste parmi les cinq pays les plus pauvres de la planète. A titre d’illustration, Rwanda 76 dollars, France 3482 euros. Comparaison n’est pas raison mais les chiffres sont là. Ils évoquent certaines situations comparatives indéniables. Les insuffisances chroniques alimentaires surtout dans le grand Sud trahissent malgré les tentatives de certains responsables de relativiser le cas.

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