Publié dans Sport

Comité de normalisation - Election - FMF Pour une révision du code électoral

Publié le lundi, 25 février 2019

Pas pour bientôt. Quatre mois après sa nomination par la FIFA (Fédération Internationale de football) à la tête du football malagasy, le Comité de normalisation n’a toujours pas avancé une date pour l’élection tant attendu par les férus du ballon rond à Madagascar. Trop occupé par les affaires courantes du football, ledit comité ne semble pas pressé sur la mission que l’instance internationale lui a confiée, celui d’organiser une élection. Par ailleurs, la FIFA lui a donné jusqu’au 20 mai 2019 pour accomplir cette tâche. Actuellement, le comité de normalisation de la Fédération Malgache de football compte revoir une partie du code électoral, prochainement. Il s'agit de corriger les points pouvant créer des litiges. Le nouveau code sera, par la suite, soumis à la validation d’une assemblée générale, ainsi que de la FIFA. Ce n’est qu’après que ledit comité organisera le scrutin fédéral tant attendu. Selon les bruits qui courent, il se pourrait que ce comité envisage de demander un rallongement de son mandat à la tête de la FMF et ce, dans le but d’amener les Barea de Madagascar à la Coupe d’Afrique des Nations.
 E.F.

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Editorial

  • Lueur d’espoir !
    Tout n’est pas noir. Une source de lumière apparait à l’horizon. Et l’espoir est permis. En dépit des galères éternelles que la misère nous impose, que l’insécurité nous étreint et que la JIRAMA nous empoisonne tous les jours, une lueur d’espoir nous embaume le cœur. Tous les efforts sont mis en branle mais la misère persiste et signe. Avec un revenu mensuel moyen de 40 euros ou 43 dollars par habitant, de sources autorisées de la Banque mondiale, Madagasikara reste parmi les cinq pays les plus pauvres de la planète. A titre d’illustration, Rwanda 76 dollars, France 3482 euros. Comparaison n’est pas raison mais les chiffres sont là. Ils évoquent certaines situations comparatives indéniables. Les insuffisances chroniques alimentaires surtout dans le grand Sud trahissent malgré les tentatives de certains responsables de relativiser le cas.

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