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La dépression tropicale dans le Canal de Mozambique s’est intensifiée en tempête tropicale et a été baptisée Guambe. Hier, la Direction générale de la météorologie (DGM) à Ampandrianomby a confirmé que son virage prévu vers le Sud-sud-est puis Sud devrait laisser Madagascar en dehors de danger potentiel. « Il n’y a pas d’alerte cyclone à Madagascar.

Comme le taxi-brousse est le moyen de transport le plus prisé pour se déplacer d’une ville à une autre, le risque de propagation de la Covid-19 par voie terrestre est énorme pour le cas de Madagascar. En tenant compte de cette situation, il est primordial de s’assurer du respect méticuleux des dispositions sanitaires.

 

L’université de Barikadimy, à Toamasina, a été le théâtre d’une émeute estudiantine vers 9h, hier matin. Une information de dernière heure, reçue sur place, avance que des mesures de sécurité ont été prises par les autorités. L’entrée et la sortie de la ville de Toamasina sont interdites jusqu’à nouvel ordre. Dans l’après-midi d’hier, 8 autres étudiants furent arrêtés, selon une source locale de la Gendarmerie.  Les concernés auraient été soumis à un interrogatoire dans les locaux de la Gendarmerie à Toamasina, du moins jusque dans la soirée, hier.

 

10 jours à 2 mois. Telle est la durée des travaux de réhabilitation des routes dans la Commune urbaine d’Antananarivo (CUA). Les travaux sont déjà achevés pour les axes des 67ha et Ambondrona. Les chantiers de route seront bientôt terminés du côté de Behoririka, Ambohijatovo et Namontana. Si les travaux de réfection ont débuté la semaine dernière sur les axes Ankadilalana et Ambohipo, ils vont commencer d’ici quelques jours à Antohomadinika, Andraisoro et Nanisana. « La réhabilitation des routes dans la ville d’Antananarivo s’accélère en ce moment, grâce à la collaboration entre la CUA, la Région d’Analamanga et le ministère des Travaux publics », avance le maire Naina Andriantsitohaina. C’était hier lors d’une descente pour visiter les routes déjà réhabilitées aux 67ha, Ambondrona et Antaninandro.

 

 Le procès-verbal qui rapporte le contenu de la réunion entre les paramédicaux et des membres de la Présidence de la République va être signé ce jour. Le paiement de l’indemnité de réquisition et celle de l’éloignement spécial ainsi que le recrutement massif sera donc accordé, mettant ainsi fin à la grève du Syndicat des infirmiers et sages-femmes de Madagascar (SISFM).

 

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Talon d'Achille !

Décidément, les stupides agissements des acteurs politiques revendiquant le statut d'opposants ne cessent de nous interpeller. Des pêcheurs encore plus des nageurs en eau trouble et sale, ils perturbent l'ambiance et polluent l'atmosphère. Agités, énervés, surexcités et radicalisés, les Hanitra Razafimanantsoa et consorts, par « radio miara-manonja » interposée, foncent dans le tas et persistent et signent. Ils ne dévient point de leur funeste objectif initial à savoir plonger le pays dans le chaos.

482 929. Tel est aujourd’hui le nombre total d’individus exerçant l’artisanat comme activité principale. Ces personnes se répartissent notamment dans les 22 Régions du pays, mais la majorité partie se localise dans les Régions d’Analamanga, de Vakinankaratra mais aussi de Haute Matsiatra et d’Atsinanana. Ces chiffres sont les résultats du recensement général des artisans réalisé par l’Institut national de la statistique (INSTAT) dans le cadre du troisième Recensement général de la population et de l’habitat (RGPH-3).

La Région Sud de Madagascar possède du potentiel, et ce dans plusieurs secteurs comme le tourisme, la logistique ou encore l’agriculture. Toutefois, l’exploitation à bon escient de ce potentiel repose sur le développement des infrastructures, plus particulièrement les routes. « Connecter le port d’Ehoala, grâce aux infrastructures routières, aux Régions productrices de l’ouest, du centre ainsi que du Sud-est de Madagascar offrirait des opportunités économiques significatives pour le Sud du pays.

 Hier, vers la fin de matinée, Johnelie Jacques Michel, 23 ans, en 2e année d'études économiques à l'université de Toamasina, natif de Mampikony, a perdu sa vie des suites d'une grave blessure au cours d'un affrontement avec les Forces de l'ordre.

 

L’opposition va aller jusqu’au bout de son idée. Elle n’entend pas reculer devant son projet de manifestation à Ambohijatovo. En face, les autorités sont sorties de leur mutisme. Le Préfet de police, le général Angelo Ravelonarivo affirme que la tenue d’une manifestation à Ambohijatovo serait illégale d’un point de vue de la procédure car n’ayant par exemple pas l’autorisation d’occupation du lieu par la Commune urbaine d’Antananarivo, propriétaire du lieu. Cette dernière, dans une correspondance à la Préfecture, refuse d’ailleurs d’accorder le lieu au projet de manifestation de l’opposition en raison de travaux dans l’enceinte de la « Place de la démocratie ».

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Editorial

  • Date maudite !
    Treize mai, date à effacer ! Ce samedi, jour pas comme tous les autres samedis, 13 mai 1972, date où les mouvements de grève des étudiants grossis par tous les élèves de la Capitale, prenaient une allure radicale, point de non retour, sur l’Avenue de l’Indépendance, devant l’Hôtel de Ville, baptisée désormais Place du Treize mai. Il y a cinquante-trois ans en ce jour du 13 mai 2025, les Forces républicaines de sécurité (FRS) chargeaient à balles réelles les manifestants à Analakely devant l’ancien Hôtel de Ville. Le sang a coulé ! Il y a eu des morts et des morts ! Les choses allaient se précipiter. Pris de panique sinon aux abois, feu Président de la République Philibert Tsiranana enchaînait des décisions qui aboutirent, au final, à la chute du régime PSD. Le Général de Division Gabriel Ramanantsoa, Chef d’ Etat-major de l’Armée prit les rênes du pouvoir suite…

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