« Et l'amour en est le plus grand ! » Tel est le thème-phare cher au TGV/MAPAR. Une « profession de foi » que Rajoelina Andry Nirina porte en lui dans la profondeur de son cœur et de son âme, et cela, depuis sa tendre enfance et qu'il aime témoigner à tout vent, n'importe où et n'importe quand. A Ambilobe ou à Amboasary Atsimo ou à Toamasina ou à Antsiranana ou même à … Paris, Zandry Kely ne cesse de partager à quiconque qui veut l'entendre son amour pour sa patrie, pour ses compatriotes surtout ceux dans la tourmente. Une conviction voire un credo que le leader de la Révolution Orange, Rajoelina Andry, devenu Président de la République de Madagascar entend « prêcher » haut et fort. Le livre « Par Amour de la Patrie », à l'allure d'une autobiographie, qu'il publiait chez « Les guetteurs du Vent » à Paris en septembre 2018 et qui retrace le parcours parfois exceptionnel de ce jeune dirigeant au destin exceptionnel, reflète parfaitement la vérité en lui.
Ce n’est plus pour longtemps. L’Etat proposera une nouvelle structure de prix des carburants avant le 1er juin. C’est ce que le ministre de l’Energie, de l’Eau et des Hydrocarbures (MEEH), Vonjy Andriamanga a annoncé, hier, dans son siège à Ampandrianomby. « L’Etat a déjà entamé un protocole d’accord avec les opérateurs pétroliers. L’Etat proposera alors une nouvelle structure de prix des carburants avant le 1er juin. Mais ce qui est sûr, c’est que le prix à la pompe tend à la baisse dans cette nouvelle structure. D’ailleurs, le Président de la République Andry Nirina Rajoelina a déjà annoncé cette décision lors de son bilan de 100 jours », avance le ministre.
Fin de campagne avant les législatives. Ce jour, les candidats et leurs équipes jetteront leurs dernières forces dans la bataille pour essayer de convaincre les derniers électeurs indécis. Ouvert le 6 Mai dernier, la campagne s'arrêtera ce samedi à minuit. A partir de cette heure-là, toute activité de propagande est désormais interdite. Lundi, 10 millions d'électeurs malagasy sont appelés à choisir leurs 151 députés. Les bureaux de vote doivent ouvrir à 6 heures, pour fermer à 17 heures. Le vote pèsera dans le rapport de forces sur la scène politique. Pour beaucoup, le scrutin de ce lundi s'apparente comme le troisième tour de l'élection présidentielle. Pour le pouvoir en place, l'objectif est simple : placer le maximum de candidats de la coalition Isika rehetra miaraka amin'ny Prezida Andry Rajoelina sur les bancs de l'Assemblée nationale afin de pouvoir mettre en œuvre son programme.
Alors que l’émotion causée par la détention préventive à Antanimora d’un sénateur-entrepreneur ne s’est pas encore estompée, une autre affaire concernant un parlementaire se profile à l’horizon. Cette fois-ci, le soupçonné a une stature d’une grande personnalité puisqu’il s’agit d’un vice-président du Sénat doublé du titre d’ancien chef de Région. Le dossier concernant ce dernier ainsi que quelques autorités publiques de la Région Analanjirofo a trait à une acquisition illicite de terrain au sein d’une réserve spéciale dans le District de Soanierana-Ivongo, dénommé « Pointe à Larrée ».
Le vent de changement qui souffle au sein de la direction générale de la Cnaps risque d'emmener avec lui la section sportive au sein de cet établissement, notamment l'équipe de football. Evoluant dans la division supérieure nationale, la Cnaps sport représentait depuis son retour dans la catégorie de l'élite Madagascar dans les compétitions africaines ou de l'océan Indien. Ce qui veut tout simplement dire que la formation d'Ampefiloha a toujours remporté au moins un titre national à chaque saison, coupe ou championnat.
Deux prisonniers, Alain Zaheraly Rostand, alias Karana et Eric Mario dit Rambô, se sont échappés, vendredi dernier, de la prison de Vohitany, dans la Commune d’Ejeda à Toliara. Depuis, les autorités ont perdu toutes leurs traces et ignorent où les fugitifs peuvent-ils bien se trouver en ce moment, ce qui a rendu les recherches plutôt compliquées pour bien de raisons. Les fugitifs sont issus de familles riches. Ce qui laisse supposer qu’ils ont des moyens pour fuir et ne pas rester dans la Région.
Aversion contre les tracasseries administratives, peur de l’inconnu. Telles sont, entre autres, les raisons qui poussent les simples citoyens à choisir la solution de facilité de recourir à la corruption lorsqu’ils s’adressent à un service public. Une situation que les préposés peu scrupuleux ne manquent pas d’exploiter sans état d’âme pour soutirer le maximum aux usagers.
S’il suffisait de monter dans un avion, s’envoler pour la France serait un jeu d’enfant. Seulement voilà, dans la vraie vie, c’est plus compliqué. Pour un Malagasy, partir pour l’Hexagone ressemble parfois au parcours du combattant. Car avant d’embarquer à l’aéroport d’Ivato, il faut obtenir le droit d’entrer sur le territoire français en décrochant le fameux et précieux visa pour la France. Or, beaucoup ont déjà connu des difficultés sur cette étape obligatoire qui n’a rien d’une simple formalité. Les plaintes sur Internet et sur les réseaux sociaux ne cessent aujourd’hui de se multiplier. Plusieurs demandes sont refusées. Et pourtant, les dossiers fournis sont déjà en règle.
A quelques encablures de la date fatidique du 27 mai, il faut mettre le paquet. Le régime IEM doit concentrer tous les efforts pour que le pays ne rate pas le coche. Un tournant décisif pour tous les Malagasy et une étape cruciale pour les tenants du pouvoir ! Tout dépend du choix intime de chacun dans le secret de l'isoloir. Cette fois encore, le verdict des urnes impactera sur l'avenir des 25 millions de Malagasy. En effet, un bon choix dans les urnes comblera le pays de la sérénité et de la prospérité.