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Corban performance Consulting a publié depuis sa page Facebook que les usagers de la route dépensent quotidiennement trois heures dans les embouteillages soit 15 heures par semaine, 60 heures  par mois. En une année,  le nombre d’heure perdue à attendre que la circulation se libère s’élève à 720 heures soit 1 mois équivaut à 30 jours. En tenant compte du Salaire minimum interprofessionnel garanti (SMIG) fixé récemment à 200 000 ariary, une entreprise  qui embauche perd mensuellement la  somme de 100 000 ariary y compris les heures de travail. En une année, un  trou à plus d’un million d’ariary est constaté dans le livre de caisse. Toutefois, une telle somme représente un important investissement notamment  pour une société en épanouissement.

 

Réédition d’une version remaniée du guide des usagers de la route, publiée en 2008. Etant donné que les axes routiers sont les principales artères de la vie économique interne de Madagascar, ils assurent la communication et le flux de biens et des personnes dans tous les coins de l’île. Vu l’ampleur des trafics routiers et la fréquence d’interactions et de transactions sur les axes routiers, force est de constater que ces axes sont à haut risque de corruption. En parallèle, le nouveau Code de la route d’août 2017 a apporté des changements notables qui ne sont pas encore bien connus par la population et les usagers de la route.

 

L'assassinat de façon inhumaine d'un retraité français de Guadeloupe, du nom de Francisco Perez (64 ans), de Monica Soa (48 ans) - sa femme malagasy - et de Ferlando Randrianjaka (7 ans), l'enfant adoptif du couple, dans leur maison de dépôt à Vohitsara Toamasina, n'en finit pas d'horrifier l'opinion locale. En attendant que la Police puisse avancer l'enquête, le gardien qui était au service des victimes, et qui a disparu depuis l'éclatement de l'affaire, reste encore introuvable. Il est l'un des principaux suspects dans celle-ci.

 

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Drôles de candidats !

Le pays se trouve de nouveau à la croisée des chemins. Après l’élection présidentielle du 19 décembre 2018 (second tour), on s’achemine vers les Législatives du 27 mai prochain. Une seconde étape toute aussi décisive et vitale que la première. En effet, dans l’ordre de préséance protocolaire, le Parlement en tant institution de la République vient immédiatement après celle du Chef de l’Etat (l’Exécutif). Une sacrée mission attend les députés.

 

Deux signatures en une journée. La signature de la convention entre le ministre de l’Economie et des Finances, Richard Randriamandranto et la Banque mondiale ainsi que le Fonds d’intervention pour le développement (FID) s’est tenue hier au Palais de Mahazoarivo. Cette somme soutient les réformes pour améliorer la viabilité des finances publiques et la gouvernance du secteur d’électricité.  

La solution à huit kilomètres. Une nouvelle rocade reliera bientôt Andranobevava et By-Pass. Les automobilistes peuvent déjà entrevoir la terre rouge qui se dessine à travers les champs de rizière situés sur Nanisana et Ambohimahitsy, en passant par Soamanandrariny. Ainsi, cette nouvelle infrastructure routière a pour principal objectif de réduire considérablement les embouteillages dans la Capitale, plus particulièrement sur la partie Nord Est-Est.

 

Abhay Kumar, le nouvel ambassadeur de la République de l’Inde à Madagascar a présenté ses lettres de créance au Président de la République, hier dans la matinée, au Palais d’Etat d’Iavoloha. L’occasion pour lui d’annoncer qu’un appareil de radiothérapie sera bientôt inauguré par l’Inde et Madagascar très prochainement, qui permettra de traiter des milliers de patients atteints du cancer. Dans le domaine de l’énergie renouvelable, l’Inde fera parvenir deux ingénieurs spécialisés dans l’énergie solaire pour donner des formations quant à l’utilisation des panneaux solaires.

« Fidio ny député TIM fa rehefa maro an’isa izahay dia afaka manongam- panjakana », traduction littérale : « Votez pour nous députés TIM, pour que nous puissions renverser le régime si nous sommes majoritaires ». Tel serait le slogan de propagande de certains candidats du Tiako i Madagasikara au cours de l’actuelle campagne électorale pour les législatives. Force serait dans ce cas de se demander où donc est l’intérêt de la population et des électeurs dans tout cela ? A en juger par ces propos largement partagés sur les réseaux sociaux, les députés se présentant sous la bannière du parti fondé par l’ancien Président Marc Ravalomanana ne viseraient, en effet, que la déstabilisation voire le renversement de l’actuel régime actuel. Ces prétendants à un siège de député seraient visiblement tentés de faire passer ainsi leurs intérêts personnels ou celui de leur grand patron, avant les intérêts de la population.

 

Ce samedi, Madagascar entre dans la 3e édition du tagnamaro. Un concept initié par le ministère de la Communication et de la Culture et copié du Rwanda qui, au lendemain de la fin de la longue et meurtrière guerre civile, l’a inventé pour d’un côté, cimenter l’union nationale et la reconstruction du pays de l’autre. Si le Rwanda a réalisé  le  développement qui fait pâlir d’envie actuellement certains, ce travail communautaire obligatoire chaque dernier samedi du mois constitue une des explications.

 

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La UNE du 16 MAI 2019

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Editorial

  • Ambition légitime !
    Encore et toujours dans le cadre global des deux évènements de haute importance et d’intérêt supérieur pour Madagasikara, à savoir la visite d’Etat et le Sommet de la COI, le pays vise à devenir le grenier de l’océan Indien. Une ambition légitime que les dirigeants de la Grande île n’ont pas cachée aux membres de la délégation à travers les réunions préparatoires et durant les cérémonies officielles. En réalité, le pays compte fermement redevenir le « Grenier de l’océan Indien ». En fait, la Grande île le fut déjà durant la Première République. L’autosuffisance alimentaire fut une réalité vécue au quotidien. On exportait, à part les produits de rente tels la vanille, le cacao ou autres, du riz (le fameux « riz rouge » ou le riz de luxe, le Madrigal) en Europe jusqu’aux Etats-Unis d’Amérique, sans parler des îles voisines. Epoque où la Grande île portait fièrement l’étiquette l’« …

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