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La une du 4 décembre 2023


Depuis vendredi dernier, précisément vers 6h du matin, un petit garçon répondant au nom de Mahery Razanabololona, alias Hery (6mois) a disparu au marché de Soamanatombo là où sa mère vend des letchis. Mais le nourrisson n'est pas le seul à ne pas donner signe de vie. Nekena (10 ans), cette fillette à qui la maman du bébé l'avait confié, a disparu aussi en même temps que lui. Hier après-midi, l'affaire connaît un rebondissement et tout semble s'éclairer subitement : les proches de l'enfant auraient reçu un sms duquel on peut lire un mot, ou plutôt un ordre des ravisseurs, leur demandant la somme de 700 000 ariary comme rançon contre la liberté du nourrisson. Il s'agit donc bel et bien d'un kidnapping qui fait paniquer et qui exaspère les parents du gosse, en particulier sa mère.
Mais une heure à peine avant qu'on ait pu avoir une explication à la disparition du bébé, hier après-midi, deux membres de sa famille nous expliquaient leur désarroi total. "Pour le moment, les Forces de l'ordre n'ont pas pu encore lever un coin de voile à l'affaire", trancha Olivier Andriamihaja Rakotovoahangy, le père du petit Mahery. Ce dernier n'en croyait toujours pas à ses yeux devant la disparition subite de son fils : "Il se trouvait derrière l'étal où sa maman était en train de ranger ses letchis. Il y avait aussi cette fillette lorsque mon épouse les a perdus subitement de vue", continue l'homme.
De son côté, la tante du petit affirme que la famille ne soupçonne encore personne. Et que tous les proches n'ont, eux non plus, aucune nouvelle du nourrisson, du moins jusque vers le milieu de l'après-midi, hier.
Une mention particulière à propos de Nekena. D'après toujours notre interlocutrice, cette fillette aurait commencé à s'occuper ainsi du bébé depuis 2 semaines, moyennant une certaine somme. En réalité, Nekena serait plutôt une petite mendiante qui veut aider la maman du petit Hery pendant les moments où la femme est prise par son travail.
A part ce rebondissement lié à cette information se rapportant sur l'enlèvement, puis cette demande de rançon par les ravisseurs du nourrisson, un autre venait s'ajouter aussi au premier. Aux dernières nouvelles, un suspect aurait été arrêté, selon une source officieuse. Pour le moment, le suspense continue et cela met rudement à l'épreuve les parents du petit. Ils lancent un appel afin qu'on les soutienne pour retrouver la trace de leur enfant. Ce n’est pas la première fois qu’un bébé avait été enlevé. Il y a quelques mois de cela, un autre nourrisson était également victime. A l’époque, c’était sa nounou, de complicité avec les bandits, était impliquée. Heureusement, le petit otage était sain et sauf.
Franck R.

Afin de mettre à terme la propagation du Sida dans le monde, l'ONUSIDA lance un appel en faveur du transfert du leadership aux communautés. Un rapport récent met en lumière le rôle joué par ces acteurs, tout en soulignant les défis liés au sous-financement et aux obstacles entravant leurs efforts pour lutter contre le VIH. Cet organisme exhorte les Gouvernements du monde entier, lors de la célébration de la Journée mondiale du 1er décembre, à confier le leadership aux confréries pour mettre fin à cette pandémie.
Le rapport, intitulé « Confier le leadership aux communautés », démontre que la disparition du Sida en tant que menace pour la santé publique d'ici 2030 dépend du soutien en première ligne des Gouvernements et des donateurs envers les communautés. Winnie Byanyima, directrice exécutive de l'ONUSIDA, souligne que les communautés dans le monde entier sont prêtes à diriger le chemin vers la fin du Sida. Cependant, celles-ci ont besoin de surmonter les obstacles et de disposer des ressources nécessaires. Elle insiste sur le fait que les congrégations ne sont pas un problème à gérer, mais des leaders à soutenir. Le rapport met en évidence le rôle des communautés dans le progrès contre le VIH. Leur mobilisation a conduit à des changements politiques significatifs et à une amélioration de l'accès aux traitements génériques.
Des exemples concrets au Nigeria et en Tanzanie démontrent l'impact positif des programmes dirigés par des organisations communautaires. Les communautés sont également à l'avant-garde de l'innovation, utilisant des méthodes telles que des projets auto-financés au Namibie et des applications Smartphone en Chine. Les congrégations exercent également une responsabilité significative, comme en Afrique du Sud, où des réseaux communautaires ont influencé les protocoles de santé. Malgré ces succès, les communautés font face à des obstacles tels que la répression de la société civile et des droits humains, ainsi que le sous-financement. Les financements alloués aux initiatives communautaires ont diminué, compromettant leur efficacité.
L'appel est lancé pour éliminer ces obstacles et permettre aux communautés de jouer un rôle central dans la lutte contre le Sida. L'ONUSIDA conclut en appelant à replacer le rôle des confréries au cœur des plans anti-VIH, à assurer un financement adéquat et pérenne pour leur leadership, et à éliminer les obstacles entravant leur rôle. Alors que chaque minute compte dans la lutte contre le Sida, les communautés sont identifiées comme les protagonistes essentiels pour éradiquer la pandémie d'ici 2030.
Le bilan mondial du VIH
Voici les derniers chiffres officiels du Sida dans le monde : en 2022, 39 millions de personnes vivaient avec le VIH, marquant un défi malgré des progrès notables. Au cours de cette année, 1,3 million de personnes ont été nouvellement infectées, soulignant la nécessité continue de prévention et d'accès aux soins. Les maladies liées au Sida ont tragiquement coûté la vie à 630.000 personnes en 2022. D'un côté encourageant, 29,8 millions de personnes avaient accès à une thérapie antirétrovirale, offrant un espoir de vie et de gestion de la maladie. Depuis le début de l'épidémie, 85,6 millions de personnes ont été infectées par le VIH, soulignant la persistance du défi, avec 40,4 millions de décès liés au Sida. Ces chiffres soulignent l'importance continue des efforts mondiaux pour combattre cette pandémie.
Carinah Mamilalaina

Une figure malagasy qui a encore fait des étincelles dans un concours international. Le verdict est tombé samedi dernier. Les membres du jury lors de la 4ème édition du Prix NO’O Cultures de la critique d’art en Afrique, consacré à la photographie, ont annoncé la victoire du journaliste culturel et critique littéraire malagasy, Elie Ramanankavana. La critique qu’il a émise dans le cadre de ce concours porte sur la série photographique de la célèbre photographe sud-africaine Jodie Bieber. Intitulée « Comment photographier demain », sa réalisation a ainsi été plébiscitée par le jury », selon le communiqué de NO’O Cultures infos. Dans sa délibération, le jury note que l’article montre « une bonne compréhension de l’œuvre et l’objectif de la photographe. L’auteur a apporté un regard assez analytique et critique sur l’œuvre et a su bien structurer son analyse. L’utilisation de la langue est assez variée et même lyrique parfois. La lecture est fluide et l’auteur ouvre une fenêtre sur cette œuvre artistique et les personnes prises en portrait ». Journaliste, critique malagasy, poète et écrivain résidant dans la Capitale, Elie Ramanankavana a fait son entrée dans le milieu artistique en 2018 en devenant galeriste au sein Is'Art Galerie,  le seul centre d'art contemporain d'Antananarivo. Il y côtoie ainsi de nombreux artistes peintres, plasticiens, sculpteurs et photographes.
Entourage
Ayant suivi les pas de son mentor Tahina Rakotoarivony, pionnier de l’art contemporain malgache, Elie Ramanankavana a appris les rudiments de l’histoire de l’art, et commençait à conceptualiser des expositions. Par la suite, il a quitté cette galerie pour mieux y revenir, mais n’a jamais cessé de travailler avec les artistes. Il est connu pour ses contributions régulières au Prix Paritana, avec de multiples collaborations avec les lauréats comme Richiany Ratovo, Olivia Bourgois ou encore Ophélia Arilala.
Initié et organisé depuis 2019 par l’Association Nord-Ouest Cultures, le Prix NO’O Cultures vise à reconnaître et récompenser le mérite des critiques d’art africains. Chaque année, une discipline artistique est mise en avant. Après le cinéma en 2020, la musique en 2021 et la littérature en 2022, la photographie a été mise à l’honneur cette année. Cette 4ème édition est organisée en collaboration avec Critiques africaines - le Réseau panafricain et pluridisciplinaire des critiques d’art, le Goethe-Institut Johannesburg, les ateliers Sahm et la plateforme Obatala.
Si.R

USCAR, FTM Manjakaray, TAM Anosibe et Cosfa sont les quatre équipes demi-finalistes de la Coupe de Madagascar de rugby. Une affiche qui promet déjà le spectacle le weekend prochain.

A la grande surprise, le Tanoran’Anosibe Milalao (TAM) vient d’éliminer l’équipe du ministère de la Santé publique, le 3FB, au forceps hier, à l’issue du troisième match des quarts de finale de la Coupe de Madagascar, sur le fil de 26-24 au score final. Après avoir disputé le  match de barrage pour rejoindre les quarts de finale en battant Manga’Art Manjakaray, les hommes de Coco, joueur et coach de l’équipe, continuent leur parcours vers la demi-finale en augmentant leurs gains. Après avoir empoché 500 000 ariary après le match de barrage,  le TAM rajoute 800 000 ariary à ses soldes en montant en quarts, et en demi-finale, l’équipe vient de rajouter un million d’ariary à ses cagnottes. En cas de qualification pour la finale, l’équipe gagnera 1 200 000 ariary de plus dans son escarcelle.  

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Record mondial !

Dans l’attente de la seconde et dernière phase, l’étape finale et cruciale, de l’avènement plutôt du retour aux affaires de Rajoelina Andry Nirina, tentons d’ouvrir d’autres fenêtres pour nous aérer davantage, nous ressourcer et pour scruter d’autres horizons.

L’ancien secrétaire d’Etat des Etats-Unis Henry Kissinger décède à l’âge de 100 ans. Il détient à ce titre le record planétaire de longévité parmi les anciens chefs de la diplomatie du monde. Juif allemand de souche, né en Bavière en 1923, Heinz Alfred Kissinger parvint à quitter l’Allemagne nazie et débarqua aux Etats-Unis et obtint par la suite la naturalisation américaine en 1943, à 20 ans. Intégré aux services de contre-espionnage de l’armée américaine, le jeune Kissinger enrichit ensuite son parcours par de brillantes études à Harvard, la prestigieuse université américaine où il devint par la suite un éminent professeur.

Au lendemain de l'annonce de sa réélection par la Haute Cour constitutionnelle et avant son investiture officielle en tant que Président de Madagascar prévu en fin de semaine prochaine, Andry Rajoelina s'est retrouvé sur une scène internationale à la COP28 à Dubaï. Cette conférence mondiale sur le changement climatique, organisée par les Nations unies, se déroule du 30 novembre au 12 décembre 2023. 

« Devant Dieu, le pays et le peuple malagasy, je fais le serment de réaliser suivant les normes en vigueur et dans l’intégrité, les nobles fonctions et la haute responsabilité du Président de la République. Je fais aussi le serment de mettre en œuvre tous les pouvoirs qu’on me prête, en faisant tout mon possible pour défendre et raffermir l’unité nationale, et le respect des droits de l’homme. Je fais aussi le serment de respecter la Constitution et l’orthodoxie financière, pour le bien de toute la population ».

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Irrévocable !

Ça y est, c’est officiel et définitif. Par-dessus tout, irrévocable !
La Haute Cour constitutionnelle, au cours d’une audience solennelle, proclama les résultats officiels et définitifs de l’élection présidentielle du 16 novembre 2023. Le candidat n ° 3 Rajoelina Andry Nirina obtient 55,95 % des suffrages exprimés. Les douze autres durent se répartir des 44 % et plus des voies restantes. Siteny Andrianasoloniaiko et Ravalomanana Marc, les concurrents directs, ont été crédités chacun des 14 % et quelque des voies. Le reste dut se contenter des miettes. Le verdict des  urnes en a décidé ainsi ! En fait, l’auguste Institution d’Ambohidahy a confirmé ou validé les résultats officieux proclamés par l’entité chargée de gérer les élections à Madagasikara sise à Alarobia. Nous l’avions déjà annoncé par projection que rarement Ambohidahy désavoue Alarobia. Une question de principe et non de complicité. En fait, les deux institutions co-responsables de tout scrutin au suffrage national direct travaillent sur la base des mêmes documents dans un état d’esprit respectant la neutralité et dans un cadre strictement indépendant. Sauf à la différence que les résultats émanant d’Ambohidahy, la HCC, revêtent le caractère définitif et irrévocable. En effet, aucun recours ne peut être engagé. Aucune juridiction de la République n’a compétence à juger ni émettre des avis sur les arrêts ou décisions de la HCC.
En dépit d’un taux de participation ou taux d’abstention significativement bas ou élevé, c’est selon, dans certaines régions de l’île, la validité du vote et la légitimité de la victoire n’ont rien été affectés. La preuve, presque tous les observateurs nationaux et internationaux reconnaissent la crédibilité de l’élection du 16 novembre. Les partenaires techniques et financiers, de même voix, admettent la victoire du numéro 3 évidemment accompagnée des recommandations d’usage pour la circonstance. En tout cas, quand la communauté internationale, dans son ensemble, accorde sa bénédiction, la messe est dite.
En attendant le prochain étage qui n’est pas des moindres, le sacre du Président de la République élu, il va falloir dès maintenant s’apprêter à tourner la page. L’élection présidentielle tire à sa fin. C’est fini les remous du scrutin ! D’ores et déjà, il faut ouvrir une nouvelle page. C’est une aberration de fantasmer encore et toujours sur une chose dont l’importance et le poids ne vaut pas plus qu’un brin de paille. Il faut oser se tourner vers l’avenir. L’année prochaine sera marquée par un autre scrutin aussi important que la présidentielle : les législatives ! Les acteurs politiques qui ont le vrai sens du pouvoir doivent militer pour avoir la mainmise du Parlement. La Constitution attribue aux parlementaires le pouvoir de contrôle aux actions du Gouvernement. Ceci étant, il faut agir de telle sorte qu’on obtienne la majorité au Parlement. Tout au moins réussir à avoir une représentativité au sein de l’Assemblée nationale capable de faire le poids face à une majorité proche du pouvoir. L’entêtement de vouloir gagner la cause sur un scrutin déjà jugé et dont les résultats sont irrévocables relève d’absurdité à éviter.
Compte tenu de la nouvelle donne après la proclamation des résultats officiels et définitifs, à chaque état-major politique de redéfinir la nouvelle stratégie à entreprendre. Pour les vainqueurs, l’heure est à la prise de conscience des défis et des enjeux qui attendent.
Ndrianaivo



L'abandon scolaire est un défi majeur à relever dans le pays. Malgré les efforts du Gouvernement dans la construction des infrastructures, le recrutement ainsi que la formation des enseignants, le taux de décrochage scolaire est encore trop élevé, notamment en milieu rural. Plusieurs facteurs en sont les causes dont la faiblesse du revenu, la grossesse précoce, la culture,…
Dans le cadre du programme « Apprendre », financé par l'Agence française de développement (AFD), les résultats des recherches sur les déterminants de la réussite de la transition école -collège à Madagascar ont été présentés hier à l'Université catholique de Madagascar (UCM) sise à Ambatoroka. Les travaux de recherche ont été menés dans trois Régions, notamment Analanjirofo, Amoron'i Mania et Menabe avec l'équipe du Centre de recherche pour le développement au sein de l'UCM.
Les travaux de recherche menés révèlent que ce phénomène de décrochage scolaire est en partie dû à la faiblesse du revenu des ménages. En effet, le coût de la scolarisation d'un enfant est relativement élevé pour ceux qui vivent dans la précarité. L'abandon scolaire est relativement élevé pour les enfants dont les parents ont un revenu inférieur à 250.000 ariary. Ainsi, ceux ayant des parents qui exercent dans le secteur primaire sont aussi les plus concernés. Il a été aussi observé que le coût mensuel de la scolarisation d’un enfant constitue 36 % du revenu des ménages. Les frais d'écolage, les salaires des enseignants FRAM pour les écoles publiques, les fournitures scolaires, les frais de déplacement et les cours de renforcement de capacité constituent cette dépense. Au début de l'année scolaire, le budget moyen consacré à l'inscription ainsi qu’à l'achat de fournitures scolaires d'un enfant pourrait atteindre 250.000 ariary, voire plus.
Selon la statistique du ministère de l'Education nationale, le taux de transition du niveau primaire au collège a atteint 67,12 % en 2017-2018, après avoir connu une hausse jusqu'à près de 72 % l'année précédente. Le taux d'achèvement au niveau primaire est en moyenne de 56 %,  dont 86 % pour les couches plus aisées et 18 % pour les familles vulnérables. Pour le collège, ce taux diminue de 26 % avec respectivement 67 % et 3 % pour les deux couches sociales précédemment citées. Parmi 100 enfants inscrits en début de primaire, seuls 44,5 % d’entre eux atteignent la dernière année et à peine 33,5 % parviendront à entrer dans le niveau secondaire.
Afin d'atténuer ce phénomène, les chercheurs ont avancé des résolutions comme l'accompagnement des ménages sur le volet financier, c'est-à -dire l'amélioration du niveau de vie de chaque ménage à travers les activités génératrices de revenus. Ils ont ainsi proposé la bourse d'excellence afin de motiver les parents et les élèves.
Anatra R.

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Editorial

  • Education complète !
    Un sujet délicat ! Une initiative pilote mise sur les rails par le département de l’Education nationale (MEN) en partenariat avec le Mouvement malagasy pour le planning familial (MMPF) dans le cadre du Programme d’appui aux droits et la santé sexuelle et reproductive (PADSSR) dont le lancement officiel s’est tenu ce lundi 5 mai à Antaninarenina – Antananarivo. L’initiative vise à étoffer les jeunes y compris les adolescents (élèves) sur les risques qu’ils encourent dans les aventures précoces aux rapports sexuels. En effet, le projet pilote a pour but de réduire les grossesses prématurées, la propagation des infections sexuellement transmissibles (IST) qui ont malheureusement tendance à s’intensifier surtout dans les milieux populaires et de promouvoir l’autonomie des jeunes en matière de santé reproductive. Louable initiative !

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