Publié dans Culture

Festival Sômarôho - Le groupe SODIAT présent sur tous les fronts

Publié le vendredi, 08 août 2025
Le cœur de l’île de Nosy Be a dansé, chanté, participé à diverses activités et vibré au rythme du carnaval le plus envoûtant de l’année Le cœur de l’île de Nosy Be a dansé, chanté, participé à diverses activités et vibré au rythme du carnaval le plus envoûtant de l’année

La 12ème édition du festival Sômarôho bat son plein. La population, les vacanciers et les touristes internationaux sont en effervescence depuis ses trois jours de fêtes. Hier, le marathon du festival a été le point d’orgue de cette célébration. Quarante-cinq coureurs ont été équipés de gourdes et de débardeurs, conçus pour allier performance et fierté, témoignant de l’engagement du groupe SODIAT en faveur du sport et de la solidarité. Un soutien concret qui illustre ses valeurs, transformant chaque foulée en symbole de dépassement de soi et d’unité collective.

L’apport actif du groupe à cette journée sportive souligne son attachement à promouvoir la cohésion sociale à travers des initiatives énergiques et porteuses d’espoir. L’atmosphère du festival, quant à elle, est à la fête permanente. Des plumes colorées, des tambours vibrants, des corps en mouvement, des déguisements flamboyants, des acrobaties spectaculaires et des défilés de sponsors créent un véritable kaléidoscope culturel.

La première participation officielle du groupe SODIAT, menée par son président-directeur général Mamy Ravatomanga, a été saluée par une foule enthousiaste. Le groupe a habillé de nombreux participants lors du carnaval, apportant une touche d’élégance et de cohésion à cette journée où Nosy Be a dansé, chanté et vibré au rythme d’une fête envoûtante. Le cœur de l’île a battu au rythme des spectacles nocturnes, ayant débuté dès mercredi dernier. Artistes locaux et internationaux tels que Rim-Ka, Harena Vanilli, Jeddy Mopcaan, Mama Red, Tanjona Randrianarivelo, Stella Lyncha, Lucky Dube Bad ou encore Wawa, l’initiateur du festival, ont offert des performances mémorables.

Ces moments de partage, de musique et de danse ont renforcé le sentiment d’appartenance et de fierté malagasy, transformant Nosy Be en une scène vivante où la culture, la fête et la solidarité fusionnent pour créer une expérience unique. Ce week-end s’annonce tout aussi riche, avec de nombreuses activités et concerts programmés jusqu’à la clôture dimanche. Le festival de Nosy Be s’affirme une nouvelle fois comme un rendez-vous incontournable, où l’énergie collective et l’esprit de fête prennent tout leur sens. Le Groupe SODIAT, partenaire fidèle et devenu sponsor officiel de cet évènement, continue d’incarner ces valeurs à travers ses actions concrètes. Le principal objectif étant de faire de chaque instant un souvenir mémorable, empli de soleil, de culture et de partage.

 

Petit bémol

Lors d’une performance en « live », Anatal a manifesté de la nervosité, ce qui a affecté sa prestation. Sur scène, il a coupé son micro et quitté la scène prématurément, laissant son morceau inachevé. Selon des témoins, il semblait stressé, notamment à cause de problèmes techniques. Le retour audio ne fonctionnait pas correctement, ce qui compliquait sa performance. Malgré ses efforts pour continuer, la pression et les critiques du public ont accentué sa détresse, le poussant à abandonner. Par la suite, Anatal a présenté ses excuses pour son comportement, reconnaissant avoir laissé transparaître une nervosité excessive, et a promis de mieux gérer ses émotions lors de ses futures prestations.

Si.R

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Editorial

  • Post – pillage
    Le redressement post-pillage s’organise. Une cellule du genre comité de pilotage se met en place pour étudier au cas par cas et évaluer le cas échéant les besoins en collaboration avec les représentants directs des « sinistrés ». Constatant les dégâts potentiellement dévastateurs et les ruines subies en un coup de vent par les opérateurs, le Gouvernement prend ses responsabilités. Dans les faits, l’Etat va agir en tant que facilitateur dans toutes les démarches auprès des banques ou autres institutions dispensatrices de crédit. Il (l’Etat) prendra en charge en totalité les intérêts bancaires. L’objectif étant de permettre aux opérateurs ou propriétaires victimes de vandale, de braquage ou de pillage de se remettre dans les meilleurs délais.

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