Economie

Environnement - Madagascar en feu !

Publié le lundi, 15 novembre 2021
Ankarafantsika, Zombitse, Mandraka, Andasibe... Ce ne sont que des exemples voire des échantillons de feux de brousse qui se sont déclenchés à Madagascar en un mois. Effectivement, ces feux sont loin (mais très loin) de refléter la dure réalité sur le terrain. Ils ne représentent même pas un dixième des feux actifs dans les quatre coins du pays. Pour la journée d’hier par exemple, on a pu observer sur le site de la plate-forme Firecast Conservation International que plusieurs centaines de feux sont actifs. Firecast utilise notamment les satellites pour localiser les feux et les perturbations forestières. Elle fournit donc…
Samedi après-midi, alors que toute sa famille se repose à la maison après une longue semaine, Onisoa, 27 ans, rejoint ses amies, Sylvia et Tiana, à Antaninarenina. Ensemble les trois jeunes filles vont visiter le salon Bons Plans Tourisme Madagascar. « Désormais, nous prévoyons de faire un "friendtrip", un voyage entre amies pour la fin de cette année ou au tout début de l’année 2022.
Les producteurs misent plutôt sur la qualité que sur la quantité, mais cela n'empêche en rien la hausse de la production locale. Pour l'année dernière, selon les chiffres publiés par l'Organisme Economic Development Board of Madagascar (EDBM), la quantité de fèves de cacao exportée par la Grande île a tourné autour de 12 432 tonnes, soit d'une valeur exportée de 23 millions de dollars, ce qui équivaut à 87 milliards d'ariary. Cette production a augmenté de 3 000 tonnes, sachant qu'en 2018, elle tournait entre 8 000 et 9 000 tonnes.
Le nouveau plan-cadre de coopération des Nations unies pour le développement durable (UNSDCF) vient d’être présenté conjointement par le Système des Nations unies (SNU) et le ministère de l’Economie et des Finances, hier à Anosy. S’élevant à hauteur de 423 millions de dollars, ce plan cadre de coopération se veut être représentatif du renouvellement de l’engagement du SNU en faveur de la Grande île en matière d’atteinte des objectifs de développement durable en visant notamment à reconstruire le pays au mieux sur le plan de la relance post-padémie de Covid-19. Se construisant autour d’une série de défis cruciaux au développement…
La situation se répète. De longues queues auprès des bornes-fontaines. Des coupures d’eau à n’en plus finir. Les camions citernes font des allers-retours. Comme l’année dernière, presque à la même période, la ville de Fianarantsoa se retrouve une fois de plus privée d’eau. Depuis plusieurs jours, pour ne pas dire des semaines, les abonnés de la Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA) de cette ville souffrent de la raréfaction de l’eau. Le lac d’Antarabiby, principale source d’eau potable de la Région, est complètement asséché. Face à ce problème, la JIRAMA en collaboration avec le ministère de l’Eau, de l’Assainissement et de…

Formations - Les hôteliers se préparent à la reprise

Publié le mercredi, 10 novembre 2021
Les faiblesses et fragilités révélées par la crise doivent être rapidement traitées et la relance de l’activité est l’opportunité pour les entreprises de conduire des changements stratégiques et tactiques à inscrire dans la durée. C’est dans ce contexte que les opérateurs du secteur hôteliers se voient offrir des formations gratuites portant sur la « Gestion de la reprise des activités » par l’établissement ESCM Business School. La réouverture des frontières, après près de deux ans de blackout causés par la crise sanitaire, est un réel challenge pour les opérateurs du tourisme à Madagascar.
Les frontières de la Grande île rouvrent progressivement, depuis la fin du mois d'octobre dernier. « C'est une stratégie bien étudiée », confie Tinoka Roberto, ministre des Transports et de la Météorologie, hier, en marge d'une rencontre avec la presse. « Nous avons décidé une réouverture progressive pour voir comment la pandémie de Covid-19 évolue sur le plan international.

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Editorial

  • Signal fort (III) 
    Jean louis Andriamifidy bouscule ! Le président du Comité pour la sauvegarde de l’intégrité (CSI) secoue le « système établi » afin d’éveiller la conscience et l’âme des premiers responsables dont en premier lieu les parlementaires notamment ceux de Tsimbazaza pour enfin mettre le holà à la corruption et l’impunité. Sur ce point, le président du CSI ne s’est pas trompé d’adresse. Il sait très bien à quelle porte frapper. Jean Louis Andriamifidy, président du CSI, en chair et en os, se présente devant les députés à la tribune de l’Assemblée nationale, leur demandant de prendre leurs responsabilités devant la nation. Concernant la lutte contre la corruption, il ne fallait jamais méconnaître qu’il existe deux catégories de corruption c’est-à-dire deux types de corrupteurs : le commun des mortels, les menus fretins et les membres du pouvoir à savoir élus parlementaires, anciens ministres ou en exercice, chefs d’institution anciens ou en…

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