Economie

La société Aéroports de Madagascar (ADEMA) dans le rouge. L’ADEMA a présenté des résultats financiers négatifs pour l’année 2020.
La Direction générale des douanes (DGD) avec la concurrence des différentes parties prenantes entendent réduire à sept jours, soit une semaine, le délai de dédouanement des produits d’ici 2023.
482 929. Tel est aujourd’hui le nombre total d’individus exerçant l’artisanat comme activité principale. Ces personnes se répartissent notamment dans les 22 Régions du pays, mais la majorité partie se localise dans les Régions d’Analamanga, de Vakinankaratra mais aussi de Haute Matsiatra et d’Atsinanana. Ces chiffres sont les résultats du recensement général des artisans réalisé par l’Institut national de la statistique (INSTAT) dans le cadre du troisième Recensement général de la population et de l’habitat (RGPH-3).
La Région Sud de Madagascar possède du potentiel, et ce dans plusieurs secteurs comme le tourisme, la logistique ou encore l’agriculture. Toutefois, l’exploitation à bon escient de ce potentiel repose sur le développement des infrastructures, plus particulièrement les routes. « Connecter le port d’Ehoala, grâce aux infrastructures routières, aux Régions productrices de l’ouest, du centre ainsi que du Sud-est de Madagascar offrirait des opportunités économiques significatives pour le Sud du pays.
La Banque mondiale fait pression sur l’Etat malagasy pour le maintien en application de la nouvelle grille tarifaire de la JIRAMA dénommée Optima. C’est pour beaucoup, ce qui ressort, de la lettre du directeur pays de la Banque mondiale adressée au ministre de l’Economie et des Finances et qui circule sur les réseaux sociaux. Dans ladite correspondance, l’Institution de Bretton Woods remet en cause les ajustements pris par la JIRAMA et donc la décision prise par le Conseil des ministres du 20 janvier 2020, enjoignant justement la JIRAMA de revoir sa nouvelle politique tarifaire. La Banque mondiale va jusqu’à remettre…
L’année 2020 a été une année catastrophique pour le secteur industriel, mais plus particulièrement pour les industries minières. Ambatovy, l’industrie minière spécialisée dans l’exploitation du nickel et du cobalt, a par exemple été obligée d’arrêter sa production au début du mois d’avril 2020. La majeure partie de la main-d’œuvre nationale a ainsi été envoyée en chômage technique. Avec cette fermeture, la production annuelle n’a atteint que seulement 9 908 tonnes pour l’année 2020, soit la plus faible production depuis 2013 où elle tournait autour de 25 148 tonnes. En 2019, cette industrie a notamment produit près de 33 733 tonnes…

Prix Anzisha - La candidature malagasy encouragée

Publié le lundi, 15 février 2021
100 000 dollars à la clé. Le Prix Anzisha a procédé hier au lancement de l'édition 2021 de la plus grande récompense d'Afrique pour les jeunes entrepreneurs âgés de 15 à 22 ans. « Le monde de l'emploi a radicalement changé alors que nous sommes confrontés à une pandémie. Les jeunes entrepreneurs sont restés inébranlables et ont aidé leur communauté à surmonter les difficultés. Nous sommes ravis de récompenser les 20 prochains jeunes chefs d'entreprise qui sont, sans aucun doute, essentiels à la création d'emplois sur le continent », a déclaré Melissa Mbazo-Ekpenyong, directrice adjointe du Prix Anzisha.

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Editorial

  • Signal fort (III) 
    Jean louis Andriamifidy bouscule ! Le président du Comité pour la sauvegarde de l’intégrité (CSI) secoue le « système établi » afin d’éveiller la conscience et l’âme des premiers responsables dont en premier lieu les parlementaires notamment ceux de Tsimbazaza pour enfin mettre le holà à la corruption et l’impunité. Sur ce point, le président du CSI ne s’est pas trompé d’adresse. Il sait très bien à quelle porte frapper. Jean Louis Andriamifidy, président du CSI, en chair et en os, se présente devant les députés à la tribune de l’Assemblée nationale, leur demandant de prendre leurs responsabilités devant la nation. Concernant la lutte contre la corruption, il ne fallait jamais méconnaître qu’il existe deux catégories de corruption c’est-à-dire deux types de corrupteurs : le commun des mortels, les menus fretins et les membres du pouvoir à savoir élus parlementaires, anciens ministres ou en exercice, chefs d’institution anciens ou en…

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