Economie

Le décalage entre la réouverture du marché européen et américain et l’instauration de l’état d’urgence sanitaire à Madagascar pèse lourd sur les activités des entreprises franches. En effet, avec le déploiement rapide des vaccins, les activités économiques reprennent dans les pays développés.
Tous les moyens sont bons pour survivre. Afin de limiter la propagation de la pandémie de coronavirus, plus particulièrement dans la Capitale, tout en permettant aux opérateurs de continuer à travailler, les autorités ont décidé de permettre aux restaurants de rester ouverts, à condition que le nombre de clients soit réduit de moitié afin de respecter la distanciation physique dans chaque salle.
Dans le cadre des préparatifs de la fête des mères, les grandes enseignes de la Grande île proposent plusieurs idées de cadeaux. A l’instar de la Société Baolai, qui met à la disposition du public un large panel d’appareils électroménagers neufs de premier choix. Pour ne citer que les Laser TV 100 pouces, Smart TV et téléviseurs LED, disponibles entre 22 et 85 pouces (tous garantis 1 an), Gsm, subwoofer, cuisinières à gaz et électriques, synthétiseurs, machines à laver, climatiseurs, fer à lisser (pour cheveux), réfrigérateurs, tables de mixage, fours à micro-ondes,… « Pour leur fête, les mères de famille…
Dans le cadre de la mise en œuvre du projet « Transparence et anti-corruption dans le secteur de l’électricité à Madagascar » (TACSE-M), le ministère de l’Energie et des Hydrocarbures (MEH), le Bureau indépendant anti-corruption (BIANCO), le projet Promotion de l’électrification rurale par les énergies renouvelables de l’Agence de la copération allemande à Madagascar (GIZ-PERER) et la Fondation Friedrich-Ebert-Stiftung (FES) ont signé une convention de partenariat, vendredi dernier. Actuellement, le secteur énergétique est particulièrement exposé à la corruption. Face au danger qui guette mais aussi afin d’améliorer la performance du secteur, les parties prenantes, à travers cette signature, entendent renforcer…
75 000 ariary le kilo de la vanille verte. C’est le prix de référence annoncé par Lantosoa Rakotomalala, ministre de l’Industrie du Commerce et de l’Artisanat (MICA) il y a deux semaines. Cependant, une circulaire publiée sur les réseaux sociaux a créé la psychose à la veille de l’ouverture de la campagne de collecte, mardi dernier.
De la lumière pour tous. Aujourd’hui, plus de 85 % de la population malagasy n’ont pas accès à l’électricité. Il s’agit de l’un des taux d’accès les plus faibles en Afrique. La société nationale d’eau et d’électricité compte bien renverser cette tendance avec son projet « Herinaratra mora ». Ce dernier consistera à améliorer les conditions de vie des gens les plus vulnérables en leur facilitant l’accès à l’électricité.
La réhabilitation des digues autour de l’Ikopa et de Sisaony font également partie du Projet de Développement urbain intégré et de Résilience du Grand Antananarivo (PRODUIR). Prévu pour une durée de 5 ans, ce projet vise en effet à améliorer le cadre urbain tout en réduisant les risques d’inondation de la plaine sud d’Antananarivo. Une grande partie des travaux menés sera concentrée à la réhabilitation du canal C3, d’une longueur de 12 km, depuis le bassin tampon d’Anosibe jusqu’à la station de pompage d’Ambodimita en passant dans les quartiers d’Andavamamba, des 67 Hectares ainsi que d’Antohomandinika. L’autre partie concernera le…

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Editorial

  • Secteur en panne !
    En mauvaise posture, le secteur éducatif malagasy va de mal en pis. Tel un navire en panne, en Haute mer, le moteur bloqué, l’équipage perd le contrôle. Le bâtiment tangue de gauche à droite. A la dérive, il risque le naufrage. A l’époque coloniale, l’instruction publique représentait l’un des principaux points d’achoppement du pouvoir en place. A l’aube de l’occupation, le Général Gallieni, premier gouverneur général de Madagasikara, se heurtait à une difficulté majeure : déterminer quel type d’instruction ou quel modèle d’enseignement, devrait être appliqué dans la colonie (Madagasikara) ? Un enseignement élitiste, de haut niveau, ou un enseignement élémentaire, rudimentaire ? Et encore « quelle langue d’enseignement adoptée ? » Deux grandes orientations ont été primées par le Général gouverneur : dispenser un enseignement pour un cursus éducatif de haut niveau pour les enfants des colons. D’où la création des lycées à Antananarivo, le lycée Gallieni (1908) et…

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